De fait, trois éléments semblent empêcher une correcte appréhension de ces données : l’incapacité à intégrer l’importance des effets d’aubaine, peut-être pour partie délibérée chez des acteurs qui en bénéficient, l’absence de réflexion sur la nature des emplois créés et en particulier le fait qu’ils représentent souvent un très faible nombre d’heures, et enfin la difficulté à accepter l’idée que même fortement subventionnés ces services restent trop chers pour une grande partie des ménages.
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