Johann Celdran/5
3 notes
Pensées et poèmes à l’érotisme léger, à peine voilé, se succèdent et s’assemblent en un seul, comme pour surprendre et suspendre le désir d’un incessant ressassement...
Lié d'abondance, du même noyau de sens, un récit plus large, amoureux, prend peu à peu naissance, jusqu'à l’obsession d’un seul discours, constamment suspendu, jamais arrêté...
Résumé :
Pensées et poèmes à l’érotisme léger, à peine voilé, se succèdent et s’assemblent en un seul, comme pour surprendre et suspendre le désir d’un incessant ressassement...
Lié d'abondance, du même noyau de sens, un récit plus large, amoureux, prend peu à peu naissance, jusqu'à l’obsession d’un seul discours, constamment suspendu, jamais arrêté...
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Un recueil de poésies érotiques qui vous transporte dans l'univers d'attente et de désir. On enchaine les pages les unes après les autres en se demandant si l'inspiration va finir ou non par abandonner l'auteur. Il n'en ai bien sûr rien... le style est à la fois léger et précis, avec un rythme plaisant, des images qui font forcément écho en nous tous... On se laisse porter en tout cas... Une belle surprise.
Un mouvement fugace, un vêtement qui tombe, une brûlure, une esquisse... la poésie parvient ici à capturer l'insaisissable.
Est-elle un rêve, cette princesse autour de laquelle dansent les mots ? Peu importe... Tout se joue dans le creux de son ventre, et l'écriture tend chaque nuit vers cet inconnu à conquérir.
Attente vertigineuse d'un désir à jamais inassouvi.
Un très joli recueil.
Est-elle un rêve, cette princesse autour de laquelle dansent les mots ? Peu importe... Tout se joue dans le creux de son ventre, et l'écriture tend chaque nuit vers cet inconnu à conquérir.
Attente vertigineuse d'un désir à jamais inassouvi.
Un très joli recueil.
Citations et extraits (3)
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J’attends ta venue,
l’absence en prémices…
J’attends l’instant où,
troublés de nos gestes,
les bras noués dans le soir,
mes lèvres prendront les tiennes…
l’absence en prémices…
J’attends l’instant où,
troublés de nos gestes,
les bras noués dans le soir,
mes lèvres prendront les tiennes…
Là où tout frôle,
éperdu en ton jardin d’éden,
effleurant tes berges de ma peau veinée,
aimanté par l’espoir,
d’une exaltante et divine alliance,
je finis par venir en toi,
chercher refuge en un chaos de vagues ciselées,
me noyer au plus juste de ton regard …
éperdu en ton jardin d’éden,
effleurant tes berges de ma peau veinée,
aimanté par l’espoir,
d’une exaltante et divine alliance,
je finis par venir en toi,
chercher refuge en un chaos de vagues ciselées,
me noyer au plus juste de ton regard …
L’âme enfantine,
par-delà l’absence,
ma déraison me l’assure,
reclus en ce lieu même,
cette nuit encore,
je t’attendrai,
là où je ne t’ai jamais donné rendez-vous…
par-delà l’absence,
ma déraison me l’assure,
reclus en ce lieu même,
cette nuit encore,
je t’attendrai,
là où je ne t’ai jamais donné rendez-vous…
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