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4,21

sur 5022 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
A travers une écriture riche et complexe, Maxime Chattam signe un thriller à la française des plus inquiétants. Une plongée au coeur de l'esprit humain qui, si elle est documentée, n'en demeure pas moins prévisible. Un récit "américanisé", intéressant par son processus de création, mais souvent dense et compact dans son écriture. Une première approche de l'oeuvre de Maxime Chattam néanmoins intéressante.
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Deuxième incursion dans le monde tourmenté de Maxime Chattam. Après avoir commencé ce voyage avec son dernier roman, « La conjuration primitive », qui m'a laissé un excellent souvenir, voilà que je poursuis par son premier roman, « L'âme du mal », premier opus de la « Trilogie du mal » selon Chattam (avec « In Tenebris » et « Maléfices »).

C'est l'occasion de découvrir de façon plus approfondie l'inspecteur Joshua Brolin qui fait une apparition à la fin de « La conjuration primitive ».

Joshua Brolin est un jeune inspecteur profileur qui a fait ses classes au FBI, mais qui s'est tourné vers la police afin de se confronter au travail de terrain.
Dans la première partie assez courte du roman, on découvre l'inspecteur Joshua Brolin de la ville de Portland, sur les traces de Leland Beaumont, un tueur en série qui a la particularité de brûler à l'acide le front des femmes qu'il assassine et de découper leurs bras pour les emporter.

Alors que Leland a enlevé une jeune étudiante en psychologie, Juliette Lafayette, et s'apprête à la tuer, Joshua débarque et tire une balle dans la tête du tueur qui décède sur le coup.

La seconde partie nous présente les mêmes deux personnages un an après. Joshua est en charge d'autres affaires et Juliette reconstruit sa vie de son côté, sans avoir oublié son sauveur.

C'est le moment que choisit un psychopathe pour tuer des femmes avec le même Modus Operandi que Leland Beaumont. Il n'en faut pas plus aux journalistes pour s'intéresser de nouveau à Juliette et pour que celle-ci renoue avec Joshua, chargé de l'enquête.

Pourtant, tout indique que seuls Leland Beaumont et les enquêteurs étaient au courant du détail des meurtres que reproduit le nouveau tueur. Sachant que Leland Beaumont s'intéressait de très près à l'occulte, la peur que celui-ci soit revenu du royaume des morts commence à s'infiltrer dans l'esprit pourtant très cartésien de Brolin et de son équipe.

Ce premier roman de Maxime Chattam, écrivain français, se déroule à Portland, aux É.-U.. Ce choix est sans doute pour faire plus vrai, beaucoup considérant les É.-U. comme le berceau des tueurs en série et des profileurs, mais cela demeure un choix contestable.

Pourtant, force est de constater que Chattam met tout en oeuvre pour rendre crédible son histoire en apportant des informations précises sur le profilage, les autopsies, le comportement des tueurs en séries et bien d'autres éléments de l'enquête.

C'est d'ailleurs ce choix qui permet au lecteur de s'accrocher à l'histoire, car, malgré une volonté de créer une histoire rocambolesque et crédible, Chattam ne fait que s'embourber dans une histoire bien conventionnelle.

Je ne m'attarderai pas sur tous les éléments censés faire croire aux lecteurs que le nouveau tueur est le fantôme ou la réincarnation de Leland Beaumont pour, au final, s'en sortir avec un retournement que l'on a trop souvent subi dans ce genre d'histoire, que ce soit au cinéma ou dans la littérature (je vous laisse découvrir cette révélation finale que vous pouvez retrouver dans un roman de J.C. Grangé, dans de multiples séries comme « Crimes en série » avec Pascal Légitimus » et bon nombre de films).

Mais, comment passer outre le poncif de l'enquêteur qui tombe amoureux de celle qu'il a sauvée ou qu'il doit protéger ou, plus largement, l'histoire du héros qui se tape l'héroïne ?

Car, si Joshua Brolin s'avère, au fil du livre, un personnage intéressant, sa relation avec Juliette parasite totalement le suspens de l'ouvrage et n'apporte rien du tout. L'auteur aurait tout aussi bien pu faire participer cette étudiante en psychologie à l'enquête, et même la faire protéger par Joshua Brolin, sans que celle-ci soit forcément très belle et très attirante, et sans que Joshua s'en éprenne, comme de bien entendu.

Je pense même que la distance entre les deux personnages aurait rendu l'histoire plus attrayante que cette romance à l'eau de rose que l'on a trop l'habitude de découvrir dans ce genre de romans (il faut toujours que le flic tombe amoureux de sa coéquipière ou de la personne qu'il doit protéger).

Du coup, j'ai eu un peu de mal à entrer dans le roman (du moins bien plus que dans « La conjuration primitive » du même auteur) et il m'a fallu attendre un peu pour vraiment prendre du plaisir à suivre cette enquête. de même, la sensation que l'on allait me servir pour la énième fois la même révélation pour rendre possible l'impossible, a en partie dynamité ce même plaisir de lecture.

Pour autant, soyons juste, « L'âme du mal » est un premier roman, ou presque, et donc comporte certains tics de tout premier roman, dont celui de vouloir se démarquer des autres livres du même genre pour, au final, ne faire que trop s'en rapprocher.

Cependant, on peut déjà reconnaitre à l'auteur un certain talent de narration bien qu'il abuse des chapitres courts et qu'il alterne un peu trop rapidement entre les scènes pour dynamiser artificiellement son récit. On peut aussi le féliciter pour la maitrise des enquêtes et des profilages.

Au final, « L'âme du mal » est un premier roman tout à fait honorable, mais qui ne révolutionne pas le genre. L'auteur met en place un personnage intéressant, mais pas tout à fait abouti et une histoire qui se veut originale, mais qui utilise trop souvent de grosses ficelles du genre. Pour autant, on peut être assuré que les prochains romans de Chattam seront mieux maitrisés et seront encore plus plaisants à lire.
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Maxime Chattam, pseudonyme de Maxime Drouot, romancier français, né en 1976 à Herblay, dans le Val-d'Oise, qui, à la suite d'études en criminologie, s'est spécialisé dans le roman policier. L'Ame du mal, paru en 2002, était son premier roman et premier opus d'une trilogie avec In Tenebris et Maléfices.
Le roman se déroule à Portland en Oregon. Juliette Lafayette, étudiante en psychologie, est enlevée par Leland Beaumont, un tueur en série, surnommé le « Bourreau de Portland », abattu d'une balle dans la tête par l'inspecteur Joshua Brolin, ce qui sauve de justesse la jeune femme. Un an plus tard, une femme dont le corps est atrocement mutilé est découverte dans un squat de la ville. L'autopsie révèle que le meurtre a été effectué selon le même modus operandi utilisé par Leland Beaumont... Joshua Brolin mène l'enquête et Juliette replonge dans l'angoisse quand un second meurtre tout aussi cruel est commis.
Globalement, le roman est réussi. le genre de bouquin parfait pour vous accompagner lors d'un long trajet en train par exemple. le thriller est prenant, avec ses crimes sordides, sa touche d'occultisme et l'Enfer de Dante en toile de fond. On ne peut pas le nier et le lecteur cravache pour arriver au terme de cette histoire atroce, quitte, pour accélérer le mouvement à lire en biais certains passages un peu nunuches.
Car si j'ai dit globalement réussi, c'est qu'il a aussi ses faiblesses. En fait on croirait qu'il a été écrit à deux mains. L'une est parfaite pour narrer l'aspect purement enquête, faire monter la tension et entretenir le suspense, décrire de façon particulièrement réaliste les scènes de crimes obscènes, les peu ragoûtantes autopsies à la morgue ; dans le croquignolet, cette main excelle et avouons-le, c'est le principal pour ce type de bouquin. La seconde main, elle, est beaucoup plus faiblarde pour nous donner les inévitables scènes de rapprochement sentimental entre Juliette et Joshua, nous tombons alors dans le roman pour midinette ou lecteur naïf. Un contraste assez saisissant entre la noirceur profonde et très réelle des crimes et le côté fleur bleue des deux héros. Cette main-là manque de style et l'écriture s'en ressent, ne nous épargnant pas des phrases un peu lourdingues du genre, « Un léger vent venait de se lever, la nuit drapait lentement la forêt de sa cape de fraicheur. »
Soyons indulgent, ce n'était alors que le premier roman de Maxime Chattam et je l'ai dit, malgré ses défauts sur les détails, il tient bien la route sur l'essentiel.
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c'est le premier tome de la trilogie du mal, que je suis en train de lire.
le suspens et l'histoire sont bien menés, on a hâte de connaître le fin mot de cette histoire de tueur en série revenu d'entre les morts continuer son oeuvre...
correctement écrit, j'aime pas les petites phrases que Chattam utilise pour essayer de faire redondance au suspens, à l'angoisse.... du genre, il ne sait pas encore qu'il entre dans une histoire terrible...
l'histoire devrait se suffire à elle-même...
mais bon, je lis la suite pour savoir !! ;-))
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Chronique complète sur Instagram.
Ce roman a été une bonne lecture. Les personnages sont intéressants et le récit prend une direction inattendue, tout en montrant que toutes les histoires n'ont pas leur happy end.
Pour moi, c'est plus un policier qu'un thriller. J'aurais aimé qu'il soit plus sombre, plus haletant, addictif, frissonnant et dynamique.
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J'ai eu du mal à accrocher, c'est trop long. L'histoire est réglée dans les premières pages et non, tout recommence. le jumeau caché était plus que prévisible, quelle autre alternative sinon ? Beaucoup d'explications techniques mais la trame est pliée dès le début. Ca devient plus intéressant une centaine de pages avant la fin. Tout est basé sur les descriptions macabres, mais c'est au détriment du suspense et de l'intrigue, dommage.
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Alors que dire ?
A la fois que j'ai aimé ce livre et que j'en ai été un peu déçue.
Pourquoi ?

J'en avais entendu tellement de choses... Certaines personnes m'avaient dit qu'elles avaient eu peur, qu'elles sursautaient au moindre bruit, qu'elles regardaient sous leur lit, qu'elles avaient fait des cauchemars... Mais je n'ai rien ressenti de tout ça, que ça soit lors de la description des cadavres ou lors de l'autopsie ! Juste une vague de dégoût lors de l'épisode de la mouche qui pond des oeufs dans un oeil alors que je mangeais ma pizza... Mais je pense que c'était plus dû aux hormones de la grossesse qu'à autre chose. J'ai quand même dû poser le livre le temps de finir de dîner au risque de rendre mon repas (fichues hormones !). Mais à part ça... Néant ! Nada ! Que chie ! Rien !
Est-ce parce que j'ai commencé à lire la collection Gore (avec des passages bien yerk !) lorsque j'étais ado ou parce que ça fait des années que je regarde Les Experts et Esprits Criminels ? Mais je n'ai pas du tout trouvé ce livre gore ou insoutenable, même s'il est indéniablement noir.
Suis-je anormale ? lol

Pour en revenir à des choses plus positives, j'ai été ravie de retrouver la plume de Maxime Chattam qui m'avait déjà pas mal plu dans ses deux nouvelles dans 13 à table ! 2015 et 2016 ainsi que dans Carnages. J'ai découvert ici mon premier "gros" roman de cet auteur et je n'ai pas été déçue à ce niveau. L'écriture est toujours aussi agréable à lire.

On ne peut aussi que saluer les recherches qui ont été faites, la documentation qui a été rassemblée. Certains ont pu dire qu'ils trouvaient ce livre trop académique, trop linéaire, trop scolaire à ce niveau. Je ne suis personnellement pas de cet avis. J'ai apprécié ce que l'auteur a voulu nous communiquer, les informations qu'il avait à nous faire passer et même s'il y avait parfois beaucoup de termes techniques, ça ne m'a pas dérangé (du fait des séries policières que je regarde, sans compter que j'aime beaucoup Robin Cook qui est un très bon auteur de thrillers médicaux). Tout comme le fait qu'il y ait beaucoup de briefing m'a semblé complètement naturel.

Concernant les personnages, je n'ai pas eu de coup de coeur, néanmoins j'ai tout de même apprécié les côtoyer, suivre l'enquête et poursuivre le meurtrier à leurs côtés.
Joshua Brolin a une passion pour le thé fruité depuis qu'il a arrêté de fumer et possède un esprit aiguisé ; Larry Salhindro possède un humour qui se remarque ainsi qu'un très fort embonpoint ; Juliette est une magnifique jeune femme au passé douloureux qui montre des signes évidents de faiblesse mais aussi, paradoxalement, une assez grande force.
Sans parler de Bentley Cotland que j'ai aimé prendre en grippe avec son côté "j'ai fait des études, je suis pété de tunes et je suis le neveu du district attorney donc vous me devez le respect tout en me mangeant dans la main".

Concernant l'histoire, je n'ai pas été déçue à ce niveau même si j'ai pu y trouver quelques légères longueurs, sans pour autant m'ennuyer. On y découvre un esprit malade qui tue et mutile des femmes de manière plutôt horrible et dans un but plutôt obscur. D'ailleurs y en a-t-il un ou est-il juste fou ? Et que dire de ce tueur mort qui semble être revenu parmi les vivants pour parachever son oeuvre ?
C'est ce que va tenter de résoudre Joshua Brolin, jeune inspecteur aux affaires criminelles de Portland et formé au profilage au FBI.
Seulement le tueur semble bien plus intelligent que la moyenne et ne laisse aucun indice derrière lui tout en se permettant de narguer les forces de l'ordre. Comment arriver à le coincer ?

Concernant la fin, je m'étais un peu douté d'un truc, sans pour autant avoir tout cerné, ce qui est une bonne chose parce que j'aime être surprise. ^^
J'ai adoré l'épilogue qui laisse promettre une suite intéressante !

En résumé, j'ai aimé ma lecture mais je l'aurais sans doute plus appréciée si on ne m'avait pas autant encensé son côté gore et terrifiant que je n'ai pas retrouvé... Après, pour un/e novice en thriller/policier, certaines scènes/descriptions pourraient peut-être "choquer", mais pour une habituée comme moi cela reste relativement soft. Néanmoins, je ne peux nier son côté noir et malsain avec les meurtres horribles d'un esprit malade.
Je lirai avec plaisir la suite et saurai certainement plus les apprécier maintenant que je sais à quoi m'attendre. ^^
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Mon premier Chattam, présentement en cours de lecture. Étant fréquemment confronté à des autopsies durant mes lectures, cette fois-ci, la plus descriptive de toutes. J'ai cru sentir l'odeur.
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Mon premier livre de l auteur et je ne sais quoi dire car ,l histoire est bien ,
bien ficelé mais a mon goût par moment des scènes ou explications trop détaillée ou je m'ennuyais un peu ,je n'ai pas été entraînée (j'ai pu lâchée mon livre sans problème voir plusieurs jours) mais curieuse quand même de connaître l'issue ,car l'écriture et l'histoire est bonne .
j aime l'idée de fin qui n est pas comme toujours un happy end . Je ne vais pas m arrêter à ce titre la car a mon avis ce n est pas le meilleurs de l'écrivain .
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Portland, Oregon, de nos jours. L'homme que les policiers surnomment « le Bourreau de Portland » sévit dans la ville. Il a capturé l'une de ses proies en la personne d'une jeune étudiante de psychologie, Juliette. Au moment où le tueur en série s'apprête à commettre l'irréparable surgit Joshua Brolin, inspecteur de police d'une trentaine d'années qui a été formé en psychiatrie criminelle et excelle à traquer les tueurs. Il élimine le Bourreau de Portland et sauve de ce fait d'une mort certaine sa victime. Une année s'écoule paisiblement. Puis des meurtres atroces secouent de nouveau la ville qu'on croirait commis par le Bourreau de Portland, tant la signature des meurtres lui ressemble. S'agit-il d'un copycat ? Ou bien alors du fantôme du bourreau ? En voulant approcher la vérité, Juliette et Joshua courent droit vers l'Enfer…

Maxime Chattam signe avec « L'âme du mal » le premier tome de sa « Trilogie du mal ». J'ai lu l'ensemble de la trilogie mais dans le désordre : avec « L'âme du mal », je boucle la trilogie. Je dois dire que je regrette un peu de n'avoir pas lu cet opus introductif en premier. En effet, je connaissais déjà la fin, tout du moins l'un des épisodes majeurs de l'histoire. Cela a fait décroître quelque peu le suspens. Je conseille de lire les différents opus, notamment le premier, dans l'ordre afin de conserver le suspens.

J'ai retrouvé l'écriture efficace de Maxime Chattam, les éléments essentiels qui composent son style. Tout d'abord, l'oeuvre est très glauque, même si le début reste très soft et peut justement attirer de ce fait. L'auteur aime à nous entraîner dans les salles d'autopsie, se plaisant à fournir à son lecteur maints détails lugubres et médico-légaux. D'ailleurs, contrairement aux autres tomes, je le trouve très didactique dans cet opus : il a le souci d'instruire son lecteur (un peu trop à mon goût) en décrivant les ressorts des enquêtes de police scientifique ou de la psychiatrie criminelle. Il pousse un peu trop l'idée selon laquelle Joshua Brolin se met dans la peau du tueur en série, faisant preuve d'une véritable empathie. Après les premiers meurtres, Joshua est capable de dresser un portrait – physique et psychique – très précis du tueur. Cela m'apparaît peu crédible et ôte beaucoup au suspens. D'ailleurs les autres protagonistes du récit ne croient guère non plus à la véracité du portrait-robot dressé par Joshua.

On trouve beaucoup d'action, notamment à la fin, beaucoup de mystère, de suspens, un peu de sexe également, sexe déviant, à travers le meurtrier, pulsions plus avouables entre Joshua et Juliette.

Maxime Chattam a écrit un thriller terrifiant et l'on se demande même à un moment donné s'il ne va pas basculer dans la sphère du fantastique, autre domaine qu'il affectionne particulièrement (à travers par exemple sa saga « Autre-monde »).

Je n'ai guère accroché à la deuxième partie (la partie majeure de l'opus) ; mon intérêt s'est davantage mobilisé lors de la troisième partie, la partie finale et conclusive, un peu comme pour « Maléfices » (3ème opus). Même si j'ai bien aimé la troisième partie, j'ai trouvé le final assez peu crédible.

Une oeuvre divertissante dont la fin annonce bien les deux autres opus, mais trop glauque et trop didactique.
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