L'Inconnu de la forêt

Je me plonge toujours avec plaisir dans les romans d' Harlan Coben .
En règle générale , de l'action , de l'humour , des péripéties...
Mais le plaisir de lecture n'est pas toujours le même ...
il m'est arrivé d'être déçu . C'est le cas cette fois-ci .
"L'inconnu de la forêt" se lit très facilement , sans ennui , mais je n'ai pas trouvé l'intrigue passionnante ! Rien de palpitant !
Ah ... il est loin le temps des enquêtes décoiffantes de Myron Bolitar
et de son compère Win !
Je ne fais donc pas figurer "L'inconnu de la forêt" dans ma liste
des meilleurs romans de l'auteur .

Ravie d'avoir lu "l'Inconnu de la Forêt " cela faisait bien longtemps que je n'avais pas ouvert un Harlan Coben....., Attiré par la couverture ... je vais pas faire un résumé , juste dire que les personnages sont attachants , Wilde de par son histoire , Matthew, et surtout la jeune Naomi font de ce roman sombre et finalement actuel puisque H. Coben utilise les réseaux sociaux .

L'intrigue part dans tous les sens : le "sauvage" Wilde dont on ne saura rien du passé malgré le titre du livre, la jeune Naomi dont les disparition successives finissent pas laisser la place à celle de de Crash ; à chaque fois le centre se déplace sans que les énigmes précédentes soient résolues.
Quelques passages intéressants sur la façon de manipuler la vérité et de tromper les médias et les réseaux sociaux (comment ne pas songer à Trump dans ce roman américain, même s'il n'est nommé qu'une seule fois).
Pas le meilleur Coben, loin s'en faut.

Pour une fois, la Pirate n'a vraiment pas assuré !?
Contactée par Babelio en octobre 2020 dans le cadre d'une Masse Critique spéciale, j'avais accepté de faire partie des cinquante privilégié(e)s, destinataires de L'Inconnu de la forêt de Harlan Coben, à l'occasion de sa sortie en France… Et puis, j'ai eu de gros ennuis de santé qui ont affecté durablement ma vision (celles et ceux qui me suivent assidument savent…) et pris beaucoup de retard dans mes lectures, ne retrouvant mon rythme habituel, surtout pour les livres « papier » qu'en février 2021.
L'Inconnu de la forêt était donc bloqué dans ma P.A.L. et je me suis excusée du contretemps auprès de Babelio, pour ce livre et d'autres en instance que j'ai lus depuis…
Mais, celui-ci, de bloqué, s'est retrouvé déplacé, oublié ; devant être lus dans le mois qui suit leur réception, je ne note pas les Masses critiques sur mes listes d'attentes et l'avais (sans vouloir faire de mauvais jeu de mots) perdu de vue…
C'est donc avec un inexcusable retard que je rends ma copie… Pardon Babelio, pardon Belfond…

Pour vous racontais-je tout cela, me direz-vous ? Peut-être pour meubler un peu parce que je n'ai, en plus, pas grand-chose à dire sur ce roman…
Si j'avais joué le jeu dans les temps, j'aurais dû publier une critique sous forme de lettre à un(e) ami(e) qui, si mon billet avait figuré parmi les vingt les plus convaincants et percutants, aurait fait gagner le roman à la personne en question…
N'ayez pas de regrets, ami(e)s lecteurs et lectrices, avec moi, vous n'auriez sans doute pas gagné !

Un enquêteur aux méthodes assez spéciales dont le parcours est insolite : Wilde a été trouvé, enfant, dans les bois où il semble avoir survécu, seul… Depuis, il a un CV atypique mais convaincant avec un passage par les Forces Spéciales...
Dépaysement au New Jersey
Des adolescents qui disparaissent sur fond de harcèlement scolaire et de défis à relever…
Un milieu aisé, proche du pouvoir… Des gens qui se croient au-dessus des lois…
Des chantages politico-financiers… Les effets pervers des réseaux sociaux…
Des héros plus compliqués que complexes, auxquels je n'ai pas vraiment réussi à m'intéresser… Un petit faible peut-être pour l'avocate septuagénaire, veuve et amoureuse, qui ne mâche pas ses mots… Quant au personnage De Wilde, le petit Mowgli devenu Tarzan, vivant dans sa capsule connectée dans la forêt, je l'ai vraiment trouvé peu crédible… le dénouement, par exemple, ne colle pas, selon moi, avec sa personnalité
Une problématique générale autour d'une question, jusqu'où peut-on aller pour sauver des millions de vies ?, et d'un système défaillant, mais accepté en tant que tel : « c'est le système ».

J'ai déjà lu, et apprécié, par le passé, des romans d'Harlan Coben ; je me souviens de Mauvaise base, Ne le dis à personne (mon préféré) et Dans les bois… Ce sont des thrillers efficaces.
Celui-ci m'a un peu déçue… le côté enfant sauvage De Wilde n'apporte rien à l'enquête alors que la quatrième de couverture en fait l'élément primordial… Les « ramifications inimaginables » promises ne m'ont pas vraiment captivée.

L'oubli de ce livre, dans les abysses de ma P.A.L., involontaire ou acte manqué, était sans doute lourd de sens.

Je suis l'amie qui a reçu grâce a ce concours le nouveau roman d'Harlan Coben. Il y a très longtemps que j'avais arrêté de le lire, mes lectures et mes envies ayant évolué, elles se sont tournées ailleurs et m'ont fait découvrir d'autres auteurs qui ont répondu avec plus de complétudes à ces évolutions. Je vous épargne le topic de l'histoire, d'autres ici le feront mieux que moi, je vous livre simplement mon ressenti après la lecture de ce livre. J'y ai pris beaucoup de plaisir je dois bien le dire, Coben est un excellent page turner et le désir de savoir la fin de toute cette histoire m'a tenue en haleine jusqu'au bout. Alors, oui ce n'est pas l'écriture qui m'a transportée, je ne me suis pas arrêtée sur la beauté d'une phrase mais cela, je le savais car c'est ce qui m'a fait le quitter il y a tant d'années ! reste tout de même cette puissante caractéristique qui nous détermine, nous les humains, celle de savoir, connaître, comprendre...la curiosité quoi ! et là Harlan Coben sait faire le job ! je me suis laissée embarquer avec délectation ! merci à toi Hervé.

Il y a quelques années, je lisais beaucoup de Coben. C'était une lecture facile, doudou… mais j'ai perdu le fil de ses publications un moment donné, tant il y en avait. Quand je suis tombée, en bouquinerie, sur ce roman, je me dis : tiens pourquoi ne pas retenté. Bon, est-ce que j'ai bien fait ? Pas si certaine. J'ai retrouvé la plume facile de Coben. La fluidité avec laquelle le roman se lit, est quand même un point positif. Mais bon, l'histoire ne paie pas des mines, qui était pourtant plutôt prometteuse. Une histoire d'harcèlement scolaire, qui mène à une disparition. C'était chouette… mais cette histoire ne dure que quelques chapitres. Après, Coben se lance dans le même scénario, mais avec cette fois une magouille politique et du chantage… Elle là, le récit devient long, ambigu et sans grand intérêt. Une lecture plutôt du côté mauvais que bonne.

Alors que j'ai apprécié la plupart des livres de Coben que j'ai pu lire, j'ai quelques réserves pour celui-ci.
Comme toujours chez cet auteur, les personnages sont travaillés et ne sont pas manichéens (enfin, pas tous !).
Le personnage principal, celui De Wilde, est original, bien campé, et ses réactions face aux évènements et aux personnes qu'il rencontre sont parfois déconcertantes. C'est une qualité, même s'il ne faut pas que l'auteur pousse le bouchon trop loin. Il est facile en effet de glisser du déconcertant à l'insolite et de l'insolite au tarabiscoté, mais ce n'est pas le cas pour Wilde, dont le personnage d'ancien « enfant sauvage » trouvé dans une forêt est construit par Coben avec une certaine finesse. Il réussit à le rendre crédible et sympathique au lecteur que je suis, et sans doute aussi à beaucoup d'autres.
Ce n'est pas le cas pour le second personnage principal, celui d'Hester Crimstein, avocate ultra-médiatique que Coben a eu visiblement du plaisir à créer, mais que j'ai trouvée incohérente et professionnellement antipathique à souhait, alors qu'elle est censée être un des personnages positifs du roman. Ma réaction est sans doute basée sur les différences culturelles entre nos deux pays, des différences particulièrement fortes au niveau judiciaire, qui deviennent abyssales quand on parle du rôle des avocats dans nos systèmes judiciaires respectifs. de ce point de vue, Hester dans le chapitre 2 qui nous montre une émission télévisée consacrée à un procès en cours dans lequel elle représente un accusé, n'hésite pas à manipuler ses invités – et surtout les téléspectateurs – pour défendre son client, et elle le fait d'une façon que j'ai trouvée odieuse et insupportable, ce qui n'est évidemment pas l'effet qu'Harlan Coben a cherché à produire chez le lecteur.
D'autre part, j'ai été souvent gêné par les dialogues, bien trop nombreux à mon goût et dont la platitude est souvent pénible. Un exemple à la page 28, parmi cent autres identiques :
« – Je ne sais pas, répondit-il. Tu veux que je lui envoie un texto ?
–Je veux bien.
– Mamita ?
– Oui, chéri ?
– Ne lui parle pas de ça.
– De... ?
– Naomi.
– Pourquoi ?
– S'il te plait !
– OK.
– Tu me le promets ?
– C'est bon, répliqua-t-elle, légèrement agacée. Puis plus gentiment :
– Bien sûr que je te le promets. »
Pour compenser cette faiblesse, l'intrigue est astucieuse et sophistiquée à souhait, et le suspense maintenu jusqu'à la dernière page. Je n'ai donc pas lâché le livre avant d'avoir eu le fin mot de l'histoire.
Au bout du compte, un plaisir de lecture mitigé : de bonnes choses, mais insuffisantes pour que ce livre reste longtemps dans ma mémoire. le film qui en sera sans aucun doute tiré sera peut-être meilleur... en tout cas le scénariste n'aura pas un gros travail à faire sur les dialogues !

Ce n'est certainement pas le meilleur Harlan Coben, loin de là !!!

Le noeud du roman tourne autour d'un sénateur US qui voudrait et pourrait devenir président, si ce n'est qu'il traine de nombreuses casseroles et qu'il existerait des bandes enregistrées qui prouveraient ces bruits.

Fugues, kidnapping, demande de rançon (les bandes), avocate, homme des bois, ... , tout me semble confus et martyrisé afin que l'histoire fasse semblant de tenir la route.

Bref, à ne lire qu'en cas de manque réel d'alternative !

J'avais beaucoup entendu parler de Coben ces dernières années, et je n'avais encore jamais ouvert un de ses livres. J'avoue, les "grands noms" qui font l'actualité littéraire ne m'attirent pas plus que cela, il faut que le sujet de l'histoire me plaise vraiment pour que je me lance. le résumé de ce dernier thriller de Harlan Coben m'a intriguée et je me suis laissée tenter. La forêt, l'homme au passé mystérieux, les disparitions... Autant de thèmes qui m'alléchaient.

Le roman ne m'a cependant pas emballée. J'ai passé un bon moment mais, peut-être à cause de la renommée de l'auteur, je m'attendais à être époustouflée et ce ne fut pas le cas. Les rebondissements sont là, le suspense aussi et le rythme est bien tenu. le personnage De Wilde est intéressant même si un peu caricatural par certains côtés et surtout peu crédible (l'enfant "sauvage" qui aurait appris à lire en se glissant en cachette dans des maisons vides et en regardant la télé, là j'avoue que j'ai sourcillé). le final est un peu trop gentillet au vu de l'esprit du reste du roman, plutôt noir. J'ai beaucoup aimé la manière dont le sujet du harcèlement scolaire était abordé par exemple, sans concession. de même, les manipulations sur contexte d'enjeux politiques et d'affaires troubles surgies du passé sont en phase avec l'actualité et bien orchestrées, la noirceur humaine est dépeinte dans toute sa réalité. Par contre, j'espérais davantage de la fameuse "forêt" qui apparaît sur la couverture, dans le résumé et dans le titre, mais elle ne jour finalement qu'un rôle assez secondaire et son potentiel de terreur n'est pas assez exploité à mon goût.

J'ai cependant lu beaucoup de critiques de lecteurs fans de Coben qui étaient mitigées sur ce roman, aussi me laisserai-je sans doute tenter par un autre de ses livres, par curiosité.

Ce n'est pas le meilleur d'Harlan Cobben...
Le synopsis ne correspond par ailleurs guère à l'intrigue...
Découpé en 2 parties, la lecture est facile et rapide, et l'histoire somme toute sympathique.
Naomi, jeune adolescente mal dans sa peau est la victime préférée des harceleurs de son lycée, une proie faible et facile, un vilain petit canard. Quand elle disparait, Matthew, un camarade de classe, se sent coupable de n'avoir pas réagi et demande de l'aide à sa grand mère, une ténor du barreau et vedette de télé. Celle-ci déploie l'artillerie lourde et aidé De Wilde, le parrain de Matthew, - un ex-enfant sauvage retrouvé dans la forêt, ex des forces spéciales et encore un peu marginal - , l'affaire est vite pliée.
Mais ce n'est que le coup de pouce d'une vendetta contre l'un des candidats à la maison blanche.
Entre magouilles, trahisons, soif de pouvoir, mais aussi les affres de l'adolescence, ce roman est divertissant ...sans plus...
Quel intérêt de ce héros sauvageon? Est-ce pour un tome ultérieur? Et quid de ces "x" allusions à la mort du père de Matthew?.. Quant à la conclusion, elle est un peu cousue de fil blanc mais on le dévore rapidement et sans râler.