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3,23

sur 593 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
L'ouverture de ce livre était prometteuse, la suite beaucoup moins à part le rebondissement final.

Anna vient d'avoir un accident et ne se souvient de rien hormis de son prénom, c'est au même moment qu'elle fait la rencontre de Wynter Seth-Smith, riche héritier de l'empire du même nom, avec une sensation étrange : "J'étais sûre de le connaître, certaine de ne l'avoir jamais vu."
Ce début était prometteur mais j'ai bien vite décroché.

Pour une amnésique, Anna se rappelle de son adresse, du chemin pour aller chez elle, de son majordome, bref dès qu'elle revoit quelque chose de connu tout lui revient en mémoire.
L'histoire commençait dès lors à perdre en crédibilité.
Et puis cela a continué par la suite.
Je n'ai pas aimé la vie de lycéenne d'Anna, l'auteur s'attarde trop sur la vie des jeunes gens aisés, cela n'apporte absolument rien à l'histoire, au contraire j'ai même eu l'impression qu'il s'était senti obligé de placer ses personnages dans un contexte de richesse et de luxure, et à quasiment aucun moment les personnages ne côtoient le "petit peuple", autant dire que cet élitisme ne m'a pas plu du tout.
Ensuite l'histoire sombre trop dans la mièvrerie amoureuse, Anna finit par dire : "Peu à peu, j'en vins à me considérer comme une princesse de roman à l'eau de rose.", le problème c'est que l'auteur l'a effectivement transformée en princesse de roman à l'eau de rose, cette histoire d'amour est d'une facilité déconcertante et ne repose que sur des clichés maintes fois utilisés en littérature. J'ai commencé à m'ennuyer pendant cette partie du roman à force de ne rien voir venir côté action et rebondissement.
Jusqu'à l'arrivée du personnage du Masque, là au moins il y a un peu plus d'action, le problème c'est que cela m'a mise sur la piste du rebondissement final.
Les ficelles déployées par l'auteur ne sont donc pas très subtiles et ne renouvellent absolument pas l'éternelle lutte entre la Vie et la Mort.
Les personnages ne sont pas non très attachants, Anna est trop insaisissable et incapable de réfléchir toute seule pour s'attirer la sympathie du lecteur, Wynter est bien trop beau pour être honnête et crédible, il est manipulateur et n'invite pas du tout au rêve.
De plus, Fabrice Colin a un style d'écriture en phrases courtes et cela m'a gênée lorsque j'ai commencé cette lecture.

J'ai trouvé deux points positifs à cette lecture.
Le premier concerne le lieu de l'histoire : la ville de New-York.
L'auteur a choisi de lui donner un côté irréel en s'inspirant des bâtiments existants mais en déformant la réalité, c'est à la fois une bonne chose car cela donne une dimension irréelle à son histoire et s'accorde assez bien avec le titre du livre et à la fois une mauvaise chose, car cela peut mettre sur la piste du dénouement final.
L'aspect positif l'emporte tout de même sur l'aspect négatif et permet de rendre un peu d'intérêt à cette histoire : "Les toits de New York, sur les bords de l'Hudson, dessinaient sous la brume un patchwork éblouissant. Partout, des géants d'acier et de verre se frayaient un chemin vertical entre des lacis de ponts aériens. Des faisceaux argentés fouaillaient le ciel."
Le deuxième concerne l'épilogue de l'histoire et le rebondissement final.
C'est même là que réside tout l'intérêt de ce livre et son originalité.

En conclusion, cette histoire comporte trop d'inconnues pour l'héroïne et du même coup pour le lecteur.
Elle commence bien mais a très vite cessé de me captiver par manque d'action et de rebondissement, d'autant plus que l'héroïne n'est pas attachante du tout et que j'ai été mise assez rapidement sur la piste du dénouement.
C'est trop confus car mal maîtrisé par l'auteur, trop mièvre car celui-ci a privilégié une histoire d'amour à classer dans la série Harlequin, la construction de cette histoire étant à l'image du New-York imaginé par Fabrice Colin : en verre, fragile, facilement cassable et s'auto-détruisant par elle-même.
La lecture devient intéressante uniquement à l'épilogue, ce qui est fort dommage pour un roman.
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D'habitude j'aime beaucoup Fabrice Colin, j'avais adoré Big fan, La poupée de Kafka, j'avais été émerveillée par la saga des Mendelson, j'ai été touchée par La vie extraordinaire des gens ordinaires …. Et j'ai encore quelques livres en attente dans ma PAL, mais malheureusement je n'ai pas été emballée par Bal de givre à New York. (je ne parle même pas de la couverture)

Dès les premières pages j'ai bien aimé cette ambiance un peu fantastique, la présentation de Jacob, l'architecture de la ville, le personnage d'Anna. Nous ne savons pas trop où on est, et au début ça marche plutôt bien.
Mais toute la partie « romantique » était un peu trop cucul à mon goût. Anna et Winter m'ont tapé sur les nerfs. C'est seulement vers le milieu de la 3ème partie que tout s'enchaine et qu'on s'éloigne enfin du « côté soap opéra » et que l'histoire prend forme.

Sans trop révéler la conclusion de ce roman, dès le début on peut deviner vers quelles pistes l'auteur nous entraine. On devine un peu les raisons de la présence d'Anna dans les rue de « New York », certes l'explication des circonstances de cet accident remet le livre à l'endroit mais au final je me suis dit tout ça pour ça ....
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Anna Claramond est une jeune fille de 17 ans. Elle a eu un accident et ne se souvient plus de rien.
Pour commencer, le résumé de l'éditeur ne raconte pas l'histoire (le mien non plus d'ailleurs !!) et c'est une histoire très compliquée à raconter. Cela vient surement de fait que l'histoire est très mal construite et que l'on ne comprend pas le rapport entre le livre (les trois parties) et le prologue.
Je déconseille fortement.
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L'histoire : Lu il y a un petit moment déjà, l'histoire ne m'a pas laissé un souvenir impérissable. de mémoire, je dirai que le roman m'a paru un peu cousu de fil blanc, avec une trame prévisible et une chute confuse dans mon esprit.

Les personnages : Des riches très très très riches, une jeune belle et naïve héroïne, un méchant très méchant ou pas autant que ça finalement, tout cela est très cliché...

Le style : L'avantage de ce roman est le style, léger et très facile à lire. Tout à fait ce qu'il faut quand on n'a pas envie de lecture qui donne à réfléchir, quand on est en vacances ou fatigué ...

Et la couverture alors ? Sans plus pour moi... assez classique pour un roman jeunesse.

En conclusion ? Un livre qui ne laissera pas une trace dans ma mémoire. J'aurai probablement beaucoup aimé le lire à 13 ou 14 ans, mais là, je suis un peu trop vieille je crois. Je suis passée totalement à côté.
Lien : http://sofynet2008.canalblog..
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Je vais le dire clairement, je n'ai rien compris à l'histoire. J'étais aussi perdue que l'héroïne. J'ai essayé de le relire mais cela ne m'a mené à rien. C'est un livre sans intérêt avec des personnages inintéressants.
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Le seul mot qui me vient à l'esprit concernant ce livre est : « étrange ». Vraiment très étrange ! Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire. Au début on presque l'impression de lire une histoire sur la vie d'une adolescente normale à deux ou trois détails près. Puis l'histoire, « fleur bleue », se mue en une espèce de « thriller/dystopie » sans jamais vraiment en être. Et le pompon est la fin ou tout s'accélère sans réellement comprendre pourquoi…

Livre lu dans le cadre du CWC 2016-2017 : 7/12.
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Dans un New York enneigé une jeune fille perdue pleine d'incompréhension à l'écart de la route après avoir faillie être renversée sent le danger environnant. Elle ne sait pas seulement un prémices d'embrun de mémoire, un accident dont les mots ne parviennent pas jusqu'à elle. L'ambiance de Bal de Givre se veut onirique alors que l'écrivain fait danser le lecteur dans une ronde de frustration jusqu'à la fin du périple. Une touche de magie, une touche de fantaisie recouvert de neige pourpre de son malheur, du sang des riverains. L'amour soudain qu'une distance de trois jours fait parvenir à la tête d'une adolescente étreinte de réflexion de son âge, nous ne sommes pas mâture à dix-sept ans. Bal de Givre à New York, littérature jeunesse quelques personnages, quelques moments intenses, mélopée chimérique, leçon de survie peut-être alors que Fabrice Colin emploie des mots poétiques à la façon d'un style particulier, des descriptions ni trop longues ni trop courtes étreinte de beauté. Pataugement de mesure, questionnement, froncement de sourcils : est-ce que le livre m'a plu ou bien... ?

Ce roman dans ma main est tombé timidement, hésitant dans cette haute librairie de Paris où les férus de lecture viennent se repaître de mots comme certains se nourriraient de chocolat, dans ma pile à lire plus encore ce livre a dormi partageant un sommeil de glace avec d'autre titre encore oublié, encore assoupi attendant sagement que ma main dévoreuse ne viennent les enlever. Combien de temps si ce challenge de l'été n'avait pas eu lieu saint messie pour ce contenu incrédule ; combien d'année encore resté dans son écrin d'ivoire ? En une journée et demie l'histoire mangée car, le début chaotique grâce à des descriptions enjolivées, une plume charmeuse m'a fait continuer sur les lignes, les rues de la ville ; grâce à des commentaires me redonnant courage j'ai pu savamment deviner à quelques pages dernières l'intrigue mystérieuse. Malheureusement mes yeux saigne d'un travail inachevé, d'un développement grivois. Qui dit jeunesse ne dit pas forcément bâclé. Les idées étaient très bonnes, très mal exploitées, si seulement ce fut des passes-passes de lieux communs (car il y en a au début, stéréotype d'un majordome manchot, s'exprimant en "nous" qui m'a fait sourire d'une couleur jaunâtre) je n'aurai pas regretté les cadavres de mots négatifs que je m'apprête à distiller le long de cette critique. Bien sûr un temps au temps et tout s'explique ; l'auteur a voulu nous plonger dans une mer d'incompréhension mais les idées, encore une fois, auraient méritées tels des joyaux brut d'être dorlotées. Il faut suivre jusqu'au bout pour avoir ce Graal de réponse bien attendant pour s'apercevoir que presque tout prend sens comme la voiture suit sa route, ici nous prenons les virages essayant de ne pas se renverser par les intempéries nombreuses qui se succèdent dans le roman.

Des références sympathiques font front commun à plusieurs moments comme le surréalisme d'où quelques noms emblématiques le Chien Andalou ou encore plus récemment l'Ecume des Jours de Boris Vian que j'ai pu entrapercevoir brièvement dans la sauce moderne jeunesse, quelques indices apposés narquoisement mais toujours un flou quémandeur de réponses qui nous pousse plus loin encore et encore à lire les dernières pages. Egalement un sentiment de fascination contre le gré du lecteur car des détails viennent joncher notre critique de phrases "mais ce n'est pas logique !" auxquelles je répondrais maintenant par "mais attend avant de juger le veau". Car, le bonus éclatant remontant l'estime du jugement se tient à la fin de bonnes trouvailles mais non exploitées correctement, je n'en demandais pas tant cher Fabrice mais peut-être qu'utiliser toute cette mythologie riche en trésor aurait donné un exquis repas à cette mordue de lecture. Ainsi notre cher compatriote nous met-il et se met-il en position dangereuse car la pensée jaillissante de "j'abandonne' m'a traversé une fois l'esprit, j'ai fais taire cette voix mes mains tremblantes d'un désir de savoir. L'homme de la caverne a trouvé la lumière enfin !

Je ne sais si j'ai pleinement apprécié cette histoire comme elle se doit car malgré un début lent et ennuyant (alors qu'il aurait pu être lent mais brillant), des passages mal expliqués au niveaux des détails, des incohérences immondes rats venant se terrer entre certaines phrases j'ai pu quand même rattraper cette sentence par la fin. Tout réside dans l'incompréhension la plus totale bien que le plaisir s'en trouve alors désavoué. C'est un cataclysme qui s'y découle fontaine de jouvence. Je ne me permettrais pas de vous dire quoi faire concernant cette lecture mais je le sais, parler de cette histoire prendrait des soirées autour d'un thé ou d'un café entouré d'un feu de cheminé, à débattre de tel et tel sujet puis de valser sur un autre car, de matières premières ces pages sont issues. Mal exploité. C'est dommage.
Lien : http://envoledepage.blogspot..
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Ce roman a été un coup de coeur pour beaucoup de personnes, et bien pour moi ce fut une grande déception.

Tout d'abord, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire à cause du style de l'auteur. J'ai eu l'impression qu'il essayait d'utiliser le plus de mots "savants" possible dans ses descriptions. C'est un livre jeunesse, donc je ne m'attendais pas à un vocabulaire si recherché et qui ne colle pas vraiment avec le récit, puisque c'est Anna, qui nous raconte son histoire. J'ai donc trouvé les descriptions plutôt pompeuses et ça donne au final un côté très froid au roman. du coup je suis restée insensible à l'histoire et aux personnages.

Par ailleurs, l'intrigue est vraiment bizarre. D'accord c'est un livre jeunesse, c'est du fantastique, mais certains éléments sont trop exagérés (j'ai trouvé vraiment glauque l'histoire du majordome sans bras...). Les personnages du roman m'ont aussi beaucoup déplu. La naïveté d'Anna est vraiment exaspérante. Elle rencontre un inconnu qui lui dit qu'il l'aime, qu'il ne peut se passer d'elle et la demoiselle décide qu'elle l'aime aussi. D'ailleurs, j'ai trouvé Wynter très niais et vieux jeu. Bref, la romance entre les deux personnages ne m'a pas emportée du tout.

Par la suite, en avançant dans la lecture et en laissant de côté tous ces petits détails négatifs, j'ai fini par me dire que ce roman était plutôt distrayant... jusqu'à ce que la fin survienne. Cette fin qui selon moi, donne l'impression d'exister juste pour clore le récit. Un peu comme si l'auteur ne savait pas comment terminer son récit fantastique, alors il décide de nous coller une fin réaliste, sortie de nulle part, pour détruire l'intégralité de tout ce qui précède. S'il est vrai que cette fin est totalement surprenante, elle n'en reste pas moins trop rapide et m'a paru comme une excuse par rapport à l'intrigue, au caractère des personnages et aux éléments fantastique.

Bref, ce roman ne m'a vraiment pas plu, mais je pense que j'ai peut être passé l'âge de lire des romans jeunesse.
Lien : http://angrytalesofthesea.bl..
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Un avis mitigé, quand j'ai emprunté le livre à la bibliothèque le résumé me plaisait bien cependant, je pense que l'idée d'amnésie aurait dû être poussé beaucoup plus loin. Ce livre reste malgré tout une lecture agréable à lire près d'une cheminé :)
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Un accident et Anna ne se souvient de rien sauf son nom et celui de son père.
Un jeune homme empressé,galant qui veut lui venir en aide et plus si affinités puisqu'il va lui proposer le mariage et de l'autre le Masque "un brigand "mais elle est sûre ..elle lui est liée
New York fantasmé de blancheur immaculée,original et glaçant.
et toujours 2 choix
rêve ou réalité
cauchemar ou conte de fée
sombre ou lumineux
féerique ou glaciale
vie ou mort
A elle seule de choisir
Tout le livre repose sur cette vérité...elle doit choisir
Un roman jeunesse ,une lecture en métaphores, poétique
Un livre qui est sorti en 2011 en souvenir d'une tragédie.



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