Tout le long du livre, j'ai eue l'impression de connaître l'histoire…
Je crois que je l'ai déjà lu. Je savais que cela se reproduirait, parce qu'avant babelio et bien je lisais et je ne notais pas mes lectures…
Je parcourais ma médiathèque au hasard, je choisissais, lisais et reposais… Maintenant, ça m'arrive encore de me tromper, mais j'ai mon petit rappel qui me suis partout… oh la technologie, qu'elle belle invention !
Enfin rien de bien grave, je ne me rappelais que de la fin… c'est l'essentiel me direz-vous ! Mais ça m'a gâché un peu le goût des plaisirs. Bien que lire du Robin Cook , c'est toujours un réel dépaysement…
C'est pour cela que je n'ai pas mis plus de 3,5 étoiles… ce n'est pas juste, mais je ne rappelle plus le sentiment que j'ai eue après cette lecture, il y a quelques années !
Évidemment je continuerais à lire cet auteur, j'adore ses écrits… et même si je relis encore une de ses oeuvres et bien tan pis…
Bonne lecture !
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Lu dans le cadre de ma deuxième pioche dans ma PAL de 06/2019, il y avait longtemps que je n'avais pas lu de livres de Robin Cook, et je dois dire que je me souviens maintenant pourquoi.
Si les premiers m'ont paru plutôt bons, à force de les lire, je me suis lassée.
Dans celui-ci, Robin Cook pousse le bouchon un peu trop loin en nous disant qu'un enfant de 3 ans a été capable de monter un laboratoire scientifique.
J'ai eu l'impression à plusieurs reprises que l'auteur répétait les scènes, je me suis ennuyée mais j'ai tenu jusqu'au bout, pour savoir comment il le ferait finir. Bon ben c'est réglé, la fin ne me plait pas plus que le reste du roman.
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Début un peu rapide et mécanique je trouve, ça doit être l'époque qui veut ça. Il faut un, rapide, temps d'apprivoisement, parce que les perso, l'auteur, eux n'ont pas le temps de nous attendre.
Et puis on prend le rythme, en quelques pages, on se laisse emmener, enlever, vers des horizons vite futurites, même pour un livre qui date de 1989.
Ethiquement parlant, malgré l'environnement qui ne change pas de notre quotidien : celui de couples qui veulent fonder une famille et qui n'ont pas la chance d'y parvenir naturellement, puis la douleur de la perte.
Mais tant le père que le fils, sont glaçant l'un que l'autre, je trouve.
Géniaux mais qui donnent froid dans le dos.
Toute cette histoire me fascine tout autant, parce que c'est bien écrit et a priori logiquement amené, même si d'ici la fin, je ne peux m'empêcher de me dire "nan mais il a qu'dix ans !" quand les parent restent paralysés par le comportement de leur enfant.
Une belle bande de névrosés quand même.
Savoureux à sa juste valeur.
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Les deux derniers romans de Robin Cook que j'ai lu ont mis beaucoup de temps à se lancer, du coup j'y allais un peu avec des pieds de plomb en me demandant si je n'étais pas en train de faire une overdose de l'auteur.
Oh joie ! j'ai été happée par l'histoire dès le premier chapitre. On se retrouve avec deux enquêtes menées par un apprenti sorcier et son épouse qui est psychiatre or ils ne sont pas intéressé par les mêmes problèmes, ce qui donnent un roman avec beaucoup de rebondissements.
J'étais tellement impatiente de le reprendre que j'en venais à râler de devoir quitter les salles d'attente des médecins trop tôt et ne pas continuer ma lecture.
Cela me met du coeur à l'ouvrage pour les 4 derniers livres que j'ai encore dans ma boite de lecture
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La morale ne peut pas régir la science, parce que la morale est relative, et par conséquent, variable. La science ne l'est pas. La morale est fondée sur l'homme et sa société qui changent selon les époques et les cultures.
Ne vous mêlez pas de ce que vous ne comprenez pas. Ça risquerait seulement de faire du tort à tout le monde.
Au XIX siècle, l'usine avait été très florissante, mais fondée sur l'exploitation d'ouvriers immigrants. Aujourd'hui, sa réussite reposait sur des bases plus solides, à savoir des lois scientifiques, la créativité d'hommes et de femmes s'appliquant à percer les mystères de la vie. Victor savait que la science, sous forme de biotechnologie, était la voie du futur, et il se plaisait à penser qu'il se trouvait à l'épicentre de cette recherche. Il tenait entre ses mains un levier qui pouvait transformer le monde, peut-être même l'univers.
Les gosses essaient tout aujourd'hui. Vous savez, le sexe et tout le reste. C'est pas comme quand j'étais jeune. J'savais pas ce que c'était que le sexe, et après, j'étais trop vieille pour y prendre goût, si vous voyez ce que j'veux dire.
La conscience est la faculté permettant de provoquer la mémoire et le sens, de même que la peur ou l'effroi La conscience a également engendré ce fardeau: l'acceptation de l'inévitabilité de la mort. Or, à l'origine, la conscience créée était une conscience sans savoir. C'est ce savoir qui devait constituer l'étape suivante.
Interview de Robin Cook sur CNN à propos de son roman Intervention