Le premier immense cycle venu droit de la lutte contre la Nature et de son adoration aussi est terminé. L'archi-humanisation de tout ce que l'homme connaissait est non seulement terminée mais oubliée.
Et pas question de toucher au dieu en place.
C'est assez incroyable, cette persistance qu'il y a entre l'art et la religion, cette éternité que promet l'une, que demande de droit l'autre et qu'ils ne peuvent plus pourtant s'entre-fournir quand l'humain ne veut plus faire le lien.
Les massacrés adoraient le soleil. Et les Espagnols adoraient l'or et le dieu fixe, ça pouvait pas coller : un qui bouge, l'autre qui bouge pas.
clairecros.com, une révolution littéraire