Très beau petit roman abordant l'ineffable racisme, et débordant pour le vaincre, de tolérance et d'amour.
Une petite fille, en visitant l'exposition universelle à Paris, s'indigne de l'enfermement d'un petit garçon kanak dans une cage. Bien des années plus tard, à l'aube de ses dernières années, cette même petite fille devenue grand-mère va se voir offrir un ultime et merveilleux voyage.
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Cette histoire peut permettre de sensibiliser les jeunes lecteurs aux méfaits de la colonisation, aux dérives de l'exposition coloniale de 1931 et au manque de considération de la personne humaine qu'il y a pu avoir.
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Dans les années 30 , la découverte par une fillette de la conception des rapports humains à travers le prisme des idées coloniales exposées à Paris
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Dans le 170e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le parcours de Missak Manouchian, récemment entré au Panthéon, à travers deux bandes dessinées sorties récemment chez Les Arènes BD et Dupuis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Copenhague que l’on doit au duo Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Rijsberg, publié aux éditions Dargaud
- La sortie de l’album Le champ des possibles que l’on doit au scénario de Véro Cazot, au dessin d’Anaïs Bernabé et c’est édité chez Dupuis
- La sortie de l’album L’homme miroir que l’on doit à Simon Lamouret et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album The Velvet underground, dans l’effervescence de la Warhol factory que l’on doit à Koren Shadmi et aux éditions La boite à bulles
- La sortie de l’album Sept vies à vivre que l’on doit à Charles Masson et aux éditions Delcourt dans la collection Mirages
- La réédition de l’album Mauvaises herbes que l’on doit à Keum Suk Gendry-Kim et aux éditions Futuropolis
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