Brèves d'un enfant des années 70, sous forme d'un abécédaire.
La plupart des entrées ne me parlent pas, question de génération (je n'ai pas la moindre idée de ce que peut être un Glup's, par exemple). Mais là où Goscinny avait su trouver un ton intemporel avec son Petit Nicolas,
Milan Dargent m'a laissée au bord du chemin.
Certaines entrées sont drôles, mais pas tant que cela. En revanche d'autres sont franchement lourdingues ("Nems Voir : Canigou", p.78 - sérieusement, on en est encore là ?).
La lecture n'est pas désagréable, mais elle m'a semblée un peu vaine.
Vite lu, vite rendu, vite oublié.