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EAN : 9782416009068
238 pages
Eyrolles (21/09/2023)
4.11/5   50 notes
Résumé :
A près de 64 ans, Léonard de Vinci a installé son atelier à Rome, accompagné de ses deux disciples, le sérieux Melzi et l'ingérable Salaï. Et ce n'est pas la dolce vita. Les commandes artistiques sont raflées par Michel-Ange et Raphaël. Ses compétences scientifiques et techniques ne sont pas exploitées. Ses pairs le méprisent : les peintres le considèrent comme un ingénieur et les ingénieurs comme un peintre.
Sa rencontre avec François Ier lui ouvre de nouvel... >Voir plus
Que lire après On m'a piqué la Joconde : Histoire ébouriffante de Leonard de VinciVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (41) Voir plus Ajouter une critique
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Il y a quelque temps je vous ai parlé de "Mon enfance tout feu tout flamme, histoire ébouriffante de Jeanne d'Arc", roman du même auteur même collection. Nous retrouvons ici la plume irrévérencieuse de Michel Douard pour notre plus grand plaisir.

Il "s'attaque" cette fois au génie des génies le grand Léonard. Et ça n'est pas piqué des hannetons, comme dirait François Ier. Oui, oui, vous avez bien lu. Parce qu'ici L Histoire est exacte mais le style peu conventionnel. Je vous explique..

C'est le peintre Francesco Melzi, élève puis héritier de Léonard, qui raconte. La fin de carrière du peintre, en manque de commandes et plutôt méprisé dans son pays, la rencontre avec le tout jeune François Ier en 1515 (Marignan !), l'invitation à venir vivre en France, le voyage périlleux pour le vieil homme de 63 ans et les 3 années de bonheur, d'activités frénétiques à Amboise au château du Cloux (Le Clos Lucé). On suit le Maître dans ses activités de scientifique, de peintre, de metteur en scène des fêtes royales, sa vie quotidienne avec Salaï, le petit démon qui est à la fois son élève et son amant, et Melzi bien sûr, mais aussi sa proximité avec celui qui l'appelle Padre le jeune et admiratif roi de France. Tout cela raconté avec le langage familier d'aujourd'hui, on est loin du style littéraire habituel des romans historiques. Michel Douard veut distraire, aborder L Histoire sans prétention. Tout est vrai (ou presque), tout est arrivé ou a pu arriver. On rit, on s'amuse à repérer au fil du texte les citations de chansons d'aujourd'hui de France Gall à Florent Pagny, de Goldman à "Volare, cantare" et d'autres. Oui, oui..

Un matin, Léonard s'effondre, la Joconde, sa Joconde, a disparu et Salaï se lance à sa recherche, mais le jeune homme est surtout un menteur, escroc, ivrogne, voleur, certes peintre mais surtout jouisseur. Alors, la belle Italienne sera-t-elle retrouvée ? Pas sûr ! Vous verrez !

C'est réjouissant, instructif sans ennuyer, ça pourrait même donner l'envie au jeune lecteur de se renseigner un peu plus sur les protagonistes, ou de se rendre à Amboise sur la tombe de Léonard après avoir visité le petit château. Pour grands ados, disais-je, on y parle certes de la relation du Maître et de Salaï mais sans rien de choquant. Même le Roi s'en amuse !

On quitte le peintre au lendemain de ses funérailles spectaculaires qui auraient réjoui le grand farceur qu'il fut (vous l'ignoriez ? moi aussi !) et fait bouillir papes et aristos italiens qui l'ont méprisé à l'époque. Il faut dire que le génie achevait peu de ses oeuvres, toujours passionné, toujours lancé dans de nouvelles recherches toujours plus variées. Un papillon génial, un peintre prodigieusement innovateur et un scientifique frénétique, la liste serait longue des sujets abordés.

Bref, un roman propre à déclencher l'envie de lire ou de découvrir un personnage étonnant loin des musées et de l'ennui présupposé. On s'amuse et on apprend. Quoi de mieux ?!
Lien : https://mgbooks33.blogspot.com
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A plus de 60 ans, Léonard de Vinci n'est plus en odeur de sainteté dans son pays natal. Lui et ses deux disciples, Salaï et Malzi, sont même un peu désoeuvrés et les commandes n'affluent plus. La visite de François Ier, jeune roi français dynamique et sensible à l'art et à l'ingéniosité de Léonard va changer le cours des choses pour les trois hommes. Ils vont alors partir pour la France et s'installer dans la demeure qui leur est réservée avec, dans leurs bagages, le portrait de Mona Lisa. C'est là que Leonard de Vinci vivra les dernières années de sa vie, fêté et encensé par la cour Française. Mais non sans quelques rebondissements !

Lancée l'année dernière, la collection Romans d'histoire pop' des Editions Eyrolles compte déjà quatre ouvrages dont ce dernier sur Leonard de Vinci. L'idée, pour chacun de ces ouvrages est de conter “l'histoire ébouriffante” d'un personnage de l'histoire (Louis Pasteur, Vercingétorix, Jeanne d'Arc et Léonard donc).

Et ébouriffé, le lecteur l'est indéniablement à la lecture de ce roman. le but avoué est de mêler fiction et réalité dans un récit informatif (un peu) et ludique (beaucoup). Les personnages (réels) parlent donc une langue résolument moderne et émaillée de textes de chansons contemporaines qu'il est amusant de reconnaître au fil du récit, même si la mécanique devient un peu répétitive sur la longueur et que la play-list risque de ne pas parler à toutes les générations.

Ce qui est intéressant ici, c'est la mise en lumière de la relation qu'entretiennent Léonard et François, faite d'admiration, de respect et d'amitié. le roi n'appelait-il pas le peintre et inventeur “Padre” ? Les faits imaginés, comme ce vol de la Joconde à la base d'une intrigue à la hauteur de la légende qui est née autour de Mona Lisa, sont tout aussi fascinants (et crédibles) que ceux bien réels, qui éclairent sur la personnalité de Léonard, son inventivité, son talent et ses dernières années au Clos Lucé. Un livre qui a le mérite de donner envie de (re)partir à la découverte de Léonard de Vinci et de son oeuvre.
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A plus de 60 ans Léonard de Vinci n'est plus en odeur de sainteté en Italie et connaît une fin de carrière difficile, notamment auprès du pape qui lui préfère des artistes comme Michel-Ange et Raphaël. Suite à la visite du jeune roi de France François Ier, sensible à l'art et au génie de l'artiste, Léonard reçoit une offre qu'il ne peut pas refuser : le roi invite Léonard à Amboise, à deux pas du château royal, pour prendre une retraite dorée et inespérée. Avec ses deux disciples, il part alors pour la France et s'installent dans le manoir du Clos Lucé. Mais quand le roi tombe en extase devant La Joconde, l'Histoire bascule….

Dans ce roman autobiographique, Michel Douard, rédacteur professionnel, auteur de romans, dont Mon enfance tout feu tout flamme. Histoire ébouriffante de Jeanne d'Arc, publié en 2022 dans la même collection « Roman d'Histoire pop' » et collaborateur d'une revue culinaire, nous plonge dans les dernières années de de Léonard de Vinci, de 1515 à sa mort, et principalement dans les années qu'il a passé au service du jeune roi de France François Ier.

Dans cette collection des Editions Eyrolles, lancée l'année dernière, les romans autobiographiques proposés mêlent fiction et réalité. La collection compte déjà l'histoire ébouriffante de quatre personnages : Louis Pasteur, Jeanne d'Arc, Vercingétorix et le génie italien. Cette autobiographie pop' de Léonard de Vinci est construite autour de travaux historiques sérieux, avec des pistes de lectures pour aller plus loin, un glossaire et les dates clés de sa vie à la fin de l'ouvrage. Comme l'explique l'auteur, si le cadre historique et la chronologie sont respectés, une grande partie des histoires racontées sont inventées, à commencer par le vol de la Joconde. L'objectif est de divertir et de faire rire le lecteur.

J'ai beaucoup aimé découvrir la vie intime de Léonard de Vinci, avec certains éléments réels. Si Léonard était un peintre fabuleux et un extraordinaire touche-à-tout scientifique, il a fréquenté le gratin des cours françaises et italiennes. Il était aussi végétarien, au grand dam de la cuisinière de François Ier qui fait tout ce qu'elle peut pour lui faire manger du cerf (qui rend viril) dans le roman, farceur, coquet et dilettante, aimable et drôle, il était amoureux de la nature et des animaux. Michel Douard a accentué ces traits pour en faire le Léonard de Vinci dont il rêvait. A Amboise, il était réellement proche de François Ier qui l'appelait « Padre », il a vraiment organisé ses fêtes merveilleuses et a réellement inventé un chat. L'originalité réside dans le ton humoristique employé tout au long du récit. Les dialogues sont savoureux et hilarants, même si la chanson française s'y invite un peu trop souvent à mon goût.

J'ai beaucoup aimé voir surgir François Ier en criant 1515 et s'attendant à ce que tout le monde lui réponde Marignan. le vocabulaire utilisé est souvent anachronique et familier. L'objectif assumé de cette collection est d'instruire le lecteur sur les grands personnages de l'Histoire, ici Léonard de Vinci, tout en rendant le récit pleinement vivant et distrayant. Ces romans nous proposent une vulgarisation drôle et intelligente de l'Histoire. Cette lecture, aussi fluide que celle d'un roman, a été, comme pour les précédents opus, un véritable plaisir !
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Un roman original, à la fois loufoque et très documenté. On ne s'ennuie pas une seconde, tout en vivant aux côtés de Léonard, de ses disciples et de François 1er.
Déjà la présentation attire : un dos et des tranches vert piquant, comme certains mots de la couverture.

Le texte est un mélange d'anachronismes, d'humour, et d'érudition historique.
Langage et attitudes sont très actuels. L'auteur a gardé les caractères des personnages en supposant comment ils réagiraient en vivant à notre siècle.
Pas sûr qu'en 1500, on puisse se sentir vraiment Italien, même en s'exilant à l'étranger !!

L'auteur s'est amusé aussi à parsemer son texte de bouts de chansons actuelles, des airs connus qu'on garde ensuite en tête longtemps. Mais chaque extrait vient toujours tout à fait à propos dans l'histoire.
Quand Léonard achète des pigeons au marché, non pour les manger, mais pour les libérer, il va bien entendu dire aux enfants réjouis qui l'entourent "- Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux, regardez-les s'envoler, c'est beau."
Il serait amusant de rechercher tous les extraits qu'il a parsemé au fil du roman. Il est probable que j'en ai ratés.

On a donc un roman drôle avec un humour toujours présent, et des surprises à chaque page. On peut apprécier ou pas. Moi, j'ai aimé, et je l'ai lu vraiment avec plaisir. Mais il est certain qu'il ne faut pas en attendre une vérité historique absolue, c'est bien un roman. Qui nous permet de découvrir un pan d'histoire avec plaisir.
Car au-delà de la forme, tout ce qui se passe est conforme à ce qu'on en connait.
Même la disparition de Mona Lisa, qui est évoquée dans le titre, peut être supposée à partir de certains éléments connus.

Le roman débute en 1515.
1515 ... ?
D'une part aux côtés de François 1er, tout juste couronné. D'autre part à Rome, où Léonard de Vinci n'a pas la reconnaissance qu'il mérite. Méprisé, moqué, mal logé, il ne trouve plus le mécène qu'il lui faudrait.
Le nouveau roi de France a l'intuition qu'il s'agit d'un artiste exceptionnel, et lui offre une situation exceptionnelle, en demandant semble-t-il bien peu en échange. Et pourtant, quelle idée lumineuse.
Ces deux êtres hors norme devaient oeuvrer côte à côte !
L'homme "à femmes" qu'était le roi, et l'homosexuel vieillissant s'apprécient et se respectent.
Léonard s'installe donc au Cloux (Clos Lucé) près d'Amboise, en amenant dans ses bagages, en plus de ses carnets et de ses tableaux emblématiques (dont son préféré Mona Lisa) ses "élèves", Melzi le fidèle, et l'odieux Salaï, qui jouera toute sa vie de son statut d'amant et de favori.
Ses dernières années seront donc loin de sa patrie, mais dans la douceur tourangelle, où il continue à s'intéresser à tous les domaines de l'art et des sciences.
Si vous voulez découvrir L Histoire tout en souriant, n'hésitez pas !

Trois autres histoires ébouriffantes sont déjà parues : Pasteur, Jeanne d'Arc et Vercingétorix. Et bientôt, Cléopâtre.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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J'avais beaucoup aimé la plume de Michel Douard quand il nous contait l'enfance "tout feu tout flamme" de Jeanne d'Arc avec beaucoup d'humour. Carton plein réalisé avec ce roman sur la vie du Grand Maitre. La lecture en est jubilatoire :)

Venez, je vous livre quelques infos supplémentaires.

Léonard de Vinci commence à se faire vieux.. Si si, c'est lui qui le dit. La fin de carrière qu'il entame se révèle difficile. A Rome, il n'est que peu sollicité pour réaliser des oeuvres, d'autres artistes plus en vogue, certains diraient "bankables" (LOL) lui raflant systématiquement les commandes tels que Michel-Ange ou Raphaël. de plus au dire de tous, Léonard de Vinci est lent dans tout ce qu'il entreprend. de ce fait, nul n'est certain, s'il lui prenait l'envie de passer commande, de voir celle-ci réalisée avant la Saint Glinglin.. LOL. Mais aucun ne comprend, à part ses disciples, qu'il n'est point question de lenteur mais de perfectionnisme, d'amour du détail. Et que, de surcroit, Léonard est un touche-à-tout, il s'émerveille d'un rien, tel un grand enfant, et a donc bien du mal à tenir en place et à terminer ce qu'il entreprend.

Pour couronner le tout, le Pape Léon X le méprise et ses pairs le rabaissent sans cesse ne reconnaissant en rien ses multiples talents que ce soit en tant qu'ingénieur, peintre, physicien.. inventeur de toutes sortes... Comment dès lors s'épanouir en tant qu'artiste quand on vous accorde si peu de crédit ?

Mais une rencontre va changer sa vie et celle de ses deux fidèles compagnons Salaï et Melzi : celle du nouveau roi de France, François Ier. Tombé en amour devant un de ses automates, convaincu que les Italiens n'entravent rien à l'étendue de ses talents, le Roi l'invite à prendre une retraite dorée à Amboise à deux pas de son château. Flatté et quelque peu désargenté -il faut le dire- Léonard ne peut qu'accepter cette offre royale. Et tandis qu'il se fait peu à peu à sa nouvelle vie, le Grand Maître se prend à rêver à mille inventions que lui inspirent la nature et tout ce qu'il côtoie au quotidien.

Cependant, ce havre de paix pourrait bel et bien imploser lorsque le sublime tableau d'une jeune femme au regard magnétique peint par Léonard (vous voyez de quoi je parle ? LOL) et promis par ce dernier au roi disparait au nez et à la barbe de tous les résidents du Domaine du Cloux. Qui a donc réussi à piquer le tableau de notre Grand Maitre à la barbe chatoyante ?

Ce roman est un pur régal. J'ai plongé avec délice dans ses pages pour y suivre les pérégrinations de Léonard de Vinci. le lecteur prend plaisir à se laisser guider par l'auteur pour réviser quelques dates et événements clés de l'époque sans que cela ne soit lourd ni barbant, bien au contraire. Il est ainsi plaisant de se remémorer les différentes filiations et accointances entre familles qui donnèrent les alliances et descendances que l'on sait ainsi que certaines dates clés de notre Histoire (Charles VIII, 1515 pour ne citer que celle-là). Il est très intéressant et drôle de suivre l'auteur nous décrire la "Vie de Château" du Roi et de sa cour. le lecteur se retrouve ainsi au sein même du Royaume et de ses dirigeants et certains de leurs us et coutumes lui sont dévoilés.
Michel Douard nous livre ici un Léonard de Vinci espiègle et facétieux, ayant toujours en tête une quantité incroyable de projets qu'il souhaiterait mener à bien. L'auteur nous le montre également en ami sincère et mentor impliqué, n'ayant de cesse de pousser ses disciples à se surpasser et à ne jamais abandonner en remettant sans cesse l'ouvrage sur le métier. Une figure incroyable, un tel génie dont beaucoup de découvertes et inventions ne connaitront malheureusement la notoriété qu'à titre posthume. A travers ses mots, ses lignes, on sent l'émerveillement, le respect et l'admiration de l'auteur pour celui dont il nous décrit les dernières années.
En refermant ce roman au style fluide et léger et bourré d'humour, vous n'aurez qu'une envie.. vous précipiter chez votre libraire pour y lire et apprendre un maximum d'éléments sur le Grand Léonard.
Mention spéciale pour certaines phrases (je n'en dis pas plus) qui viennent émailler régulièrement les dialogues de Léonard.. un pur bonheur (les "familiers" des textes en question comprendront)

Lien : https://mgbooks33.blogspot.c..
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
- Peut-être devriez-vous vous concentrer sur votre cœur de métier, maître. Peintre, sculpteur, mathématicien, architecte, philosophe, géologue, inventeur, metteur en scène, musicien, botaniste... Les gens s'y perdent. Resserrez votre positionnement, et surtout, finissez ce que vous commencez…
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- Sire, être stupide, c'est comme avoir de la salade entre les dents. Tant que l'on se tait, cela ne se voit pas, répond Léonard en se disant qu'il est peut-être inutile de noter cette pensée dans son carnet.
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- […] Ce type est fort, très fort. Le genre de cador qui contribuera à faire rayonner mon règne ! On parlera encore de ce génie dans cinq siècles.
- C’est vrai qu’il fait des trucs de dingue […]. Et il est sympa en plus.
- Et pourquoi les Italiens se laisseraient-ils voler une telle pépite ? demande Louise de Savoie.
- Parce que ce sont des glands, mère ! s’exclame François. Tout simplement.
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Et cette dégaine? À son âge! Apprêté et singulier, cheveux jusqu'aux épaules et barbe bientôt jusqu'au nombril. Non, franchement, on dirait un druide efféminé.
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Vous êtes un roi qui écoute, plaisante-t-il. Et savoir écouter, c'est posséder, outre le sien, le cerveau des autres.
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