Duras, un monument n'est-ce pas...alors dire du mal d'elle c'est pas politiquement correct, ben oui mais là je m'en fous...non je n'accroche pas, le style aurait pu tout changer, mais non, c'est haché, rien de fluide, c'est entre le récit narratif et le dialogue de script...Quant à l'histoire, ça chiale toute les 3 pages, alors certes avec de belles nuances, en discrétion, caché, de face. Et partout, au lit, au resto, dans la voiture, sous la douche, au lycée... et puis personne n'est épargné...c'est sans doute le côté émotionnel qu'elle a voulu transcrire...parce qu'évidemment on ne peut rien ressentir sans larme, c'est bien connu...heureusement la calvaire n'a pas duré longtemps, elle a eu la courtoisie ne faire court. j'avais déjà entendu dire que des deux Margueritte, l'autre était d'un tout autre calibre, eh bien ça se confirme...