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3,26

sur 730 notes
A deux reprises j'ai essayé de m'aventurer dans ce livre... Sans succès ! Un roman historique où le lecteur se perd dans l'intrigue et dans la narration. Je ne sais pas trop quoi penser de ce roman si ce n'est que je suis complètement désappointée.
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Je suis passée totalement à coté de ce roman. Pour tout dire, je ne suis même pas arrivée à le terminer. Comme missmolko1 j'ai trouvé les phrases terriblement longues et les descriptions interminables au point de ne plus savoir quel était le point de départ. J'ai abandonné.
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J'avais vu le Nom de la rose mais le Cimetière de Prague est mon premier Umberto Eco. Ce sera mon dernier.

La thématique choisie par l'auteur est pourtant intéressante car, à mon sens, toujours d'actualité. Il s'agit de la manipulation des informations et la création de fausses affirmations dans le but de décrédibiliser un groupe. Il y a un côté complotiste, certes positionné dans la France de la fin du XIXème siècle, mais qui pourrait avoir sa place dans le monde actuel dont la source de toute vie est le réseau d'informations.

Par ailleurs, Umberto Eco centre son récit sur un personnage antisémite. L'originalité ne tient pas dans le choix d'un tel personnage mais dans sa capacité à nous immerger dans l'antisémitisme. A tel point que je me suis demandé si Eco ne l'était pas mais également quelle pourrait être l'effet de ce roman sur des lecteurs déjà très perturbées. Finalement, cela m'a dérangé.

A cela, l'intrigue est beaucoup trop longue. On tourne en rond. Au fil des chapitres, le schéma se reproduit à l'identique. Cela ne m'a pas permis d'accrocher au roman et j'ai versé dans une lecture si ennuyeuse que ce sera mon dernier Eco.
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Comme l'a écrit un autre lecteur, avec ce roman, ou l'on aime, ou l'on aime, pas, et je suis dans la seconde catégogie.
J'avais aimé énormément "Le nom de la rose", -que je m'étais empressé de terminer car le film venait tout jsute de sortir-et vingt ans plus tard, j'ai appelé ma compagnie de théâtre "Lonom de Laprose".
Cela a dû me porter chance, puisque nous serons sur le festival OFF d'Avignon cet été. Mais là n'est pas le sujet.
J'avais également apprécié "De superman au surhomme", de ce même auteur, mais étais resté totalement hermétique à son"Beaudolino".
Dans ce "Cimetière de Prague", je dois reconnaître avoir accroché aux 50 premières pages, tant l'humour étati présent, omni présent, et tout le monde en prend pour son grade: hommes, femmes, juifs, franc-maçons, l'église, les écrivains, les rois et les dictateurs, les nationalités....
Et puis je me suis un peu égaré avec Garbaldi dont je sais plus si les chemises étaient rouges ou noires (...) et le rôle de Simonetti, quelque peu confus à mes yeux.
Quant à la suite (les 300 dernières pages), je les ai lues pour me dire que je ne voulais pas passer à côté de quelque chose, et ma foi, j'ai l'impression de n'avoir rien loupé.
Le style d'ECO est riche, et je trouve que certaines de ses allusions historiques, comparaisons et autres, nécessitent des connaissances dans certains domaines, eh bien, que je n'ai pas.
Voilà. Alors j'ai range ce livre dans ma ibliothèque, à côté de " la rose", parce qu'il mérite quand même d'y être.
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Je crois qu'avec le cimetière de Prague il n'y a pas vraiment de juste milieu : soit on aime soit on n'aime pas. Je fais partie de la deuxième moitié, celle qui est passée à coté de ce roman.
Mes raisons ne vont pas être très originales car pour avoir lu les critiques précédemment postées souvent les mêmes défauts se répètent : la narration aux phrases interminables qui nécessite plusieurs relectures pour les comprendre, intrigue confuse et trop condensée, trop de sujets abordés en même temps, des situations complexes et surtout le personnage principal que j'ai trouvé particulièrement détestable!
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Totalement incapable d'avancer, d'accrocher, bref de lire ce livre. Trop érudit, trop de détails, pas assez d'éléments accrocheurs, en tout cas pour moi.
Abandon sans scrupule ni regret.
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Je ne sais pas pourquoi je me suis entêté à lire ce roman. Pour résumer le Cimetière de Prague, je dirais que c'est l'histoire de l'antisémitisme au XIXe siècle en Europe. Je ne l'ai pas aimé du tout. J'avais toujours l'impression qu'il allait y avoir quelque chose d'important qui arriverait. Malheureusement, il n'est rien arrivé. Tout était dans ce livre d'un ennui total. C'est le pire livre que j'ai lu en 5 ans.
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Pour bien aborder cet ouvrage, il faut commencer par lire le dernier chapitre intitulé « inutiles précisions érudites ». Il est destiné au « lecteur excessivement intraitable, ou à la peu foudroyante comprenette » (sic), afin de l'aider à entrevoir la réelle portée de l'ouvrage au terme duquel il est parvenu, sans doute à grand peine.
Précaution oratoire destinée à l'esprit terre-à-terre qui se serait perdu dans les méandres des divagations scripturales du Maître. C'est la rançon de la notoriété que pouvoir afficher un tel mépris pour son lecteur.
D'un orateur on dirait qu'il s'écoute parler. D'un écrivain on pourra dire qu'il aime à se lire. Certes Umberto Eco peut se le permettre, mais à trop s'admirer on finit par perdre le fil de sa propre pensée, et son auditoire en corollaire. Sauf s'il s'agit là d'un écrémage naturel destiné à ne retenir que l'élite autour de soi.
A l'instar du peintre que la célébrité autorise à quitter le figuratif pour verser dans l'abstrait, Umberto Eco s'est livré à cette élévation propre à plonger son lecteur dans l'ennui. Cerise sur le gâteau, le héros est victime d'un dédoublement de la personnalité. Au désordre du scenario se superposent de belles plages de névrose. Il y a de quoi dérouter les plus fervents adeptes de puzzle littéraire.
Le résultat global est une juxtaposition de bons mots qui jalonnent la démarche erratique d'un personnage ballotté dans l'aversion de l'anti sémitisme. Théorie nauséabonde qu'il dépeindra si bien au point de faire perdre au lecteur la réalité de son intention qui est de la dénoncer.
Je conseille donc au vulgaire qui serait tenté par la notoriété de l'auteur sur l'étal du libraire, de lire ledit chapitre avant l'acquisition. Il comprendra alors cet ouvrage n'a rien à faire dans sa pauvre bibliothèque.
Il y a quand même quelques citations à extirper du magma incohérent (pour le vulgaire) qui nous font percevoir que la notoriété n'est pas volée.
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J'avoue que je n'ai pas réussi à le finir.... C'est très confus, cela ressemble sans doute à un feuilleton du 19° siècle, mais sans intigue suivie.
C'est un roman érudit et brillant, dont on reste très extérieur
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Cela fait longtemps que je n'avais pas autant regretté ma manie de ne pas vouloir abandonner les livres… La lecture de ce premier livre que je lis d'Umberto Eco a été des plus fastidieuses. A aucun moment je ne me suis attachée au protagoniste, ni même aux personnages (pourtant nombreux) qu'il croise sur son chemin. Je me suis perdue dans le dédale d'événements historiques auxquels fait référence l'auteur. A ce titre, l'ouvrage m'a paru des plus élitistes car sauf à posséder une certaine érudition à propos des périodes historiques abordées, il est difficile de s'y retrouver tant dans la chronologie des événements que dans les personnages (réels) qui apparaissent.
Un roman teinté d'orgueil en somme…
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