Au début des années soixante, on avait trop vite mis en parallèle le pop'art anglo-américain et le travail d'artistes européens regroupés sous la bannière des Mythologies quotidiennes ou de la Figuration narrative et dont Bernard Rancillac était un des chefs de file, avec Télémaque, Erró, Klasen, Monory, Adami, Cueco et quelques autres.
Le recul du temps et l'évolution de chacun d'eux ont rendu évident le malentendu: le regard critique que ces artiste... >Voir plus