A la fin de l'année 1751, quand "Amélia" parut, Henry Fielding n'avait pas encore quarante-cinq ans. Pourtant, il était déjà sérieusement malade. Il allait mourrir trois ans plus tard.
Entre ses trois grands romans, "Les Aventures de Joseph Andrews", "Tom Jones" et "Amélia", à la fin de sa vie, Fielding exprimait sa prédilection pour ce dernier. "De toute ma progéniture, disait-il, Amélia est mon petit enfant préféré..." Et, peu de temps après la première édit... >Voir plus
J'ai maintenant la ferme conviction que toute femme qui abandonne le moindre des ouvrages qui défendent sa vertu est prête au même instant à livrer la citadelle.