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4,22

sur 2237 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ça partait bien. Vraiment bien. L'occasion de se détendre sous la grosse couette avec un pavé était tellement parfaite. D'autant plus que mes souvenirs des deux premiers tomes, Les Piliers de la Terre et Un Monde sans fin m'avaient laissée plutôt convaincue du talent de Ken Follett pour écrire de bon gros bouquins impossible à lâcher.

D'ailleurs, au début j'ai été assez vite conquise et ce dès que j'ai vu apparaître le nom Kingsbridge, le petit patelin de bouseux médiéval devenu prospère au fil des siècles. Quelques anciens noms connus apparaissent, tandis que les nouveaux héros et anti-héros se présentent à nous. Tout ça fleurait bon les promesses d'un excellent page-turner.

Et puis, je sais pas pourquoi, j'ai commencé d'un coup à m'ennuyer. A trouver que les pages se tournaient lentement et que le fil rouge du récit était un poil flou.

Point n°1 : Trop de personnages, trop de lieux, trop d'intrigues, trop de tout. Ken Follett nous avait habitué à jongler avec plusieurs personnages et plusieurs intrigues, mais au moins ça se passait dans la même campagne. Là, on a 4 pays différents avec chacun une demi-douzaine de personnages, avec leurs petits problèmes perso, rendant Kingsbridge très anecdotique (ça m'a un peu fendu le coeur). Alors forcément, quand on a autant d'arcs narratifs, une narration aussi éclatée, difficile d'accorder la même importance à chacun et tout n'est malheureusement pas passionnant. Exemple ? L'histoire de Barney aux Amériques et de ses acolytes aux Pays-Bas, je me surprenais à en avoir strictement rien à péter (comme l'histoire d'amour contrariée de Ned et Margery. Oh boy ! que c'était insipide).

Point n°2 : Les personnages « méchants » pas assez « méchants ». Ouep. Alors que je me disais que c'était justement sympa d'avoir un peu nuancé le manichéisme des personnages dans cet opus. Même si je reprochais à Ken Follett son goût un peu trop prononcé pour les conflits « Gentils » VS « Méchants », je dois reconnaître que ça avait le mérite de me faire hurler de frustration et de rage à chaque coup de bâton envers les pauvres héros/héroïnes qui souffraient jusqu'aux 20 dernières pages avant de prendre leur revanche. Et donc de me passionner. Or voilà même avec Pierre Aumande de Guise, le terrible ambitieux BG qui par moment à des brefs éclairs de conscience ; Rollo, le teigneux qui… fait le teigneux ; et quelques prêtres extrémistes amateur de barbecue, on a du mal à atteindre le Nirvana du Vilain. Au risque que les hautes volées d'un William Hamleigh ou d'un Waleran Bigod (grands super méchants des Piliers de la Terre) finissent par être fortement regrettés. Sacrebleu, comme ils me subjuguaient à chaque page avec leurs vices, leurs coup tordus imaginatifs et leurs méchancetés crasses.

Ayant énormément aimé le premier tome (un peu moins le second, mais quand même), je crois que je m'attendais si ce n'est à mieux, à la même chose. Mes "hight expectations" m'ont joué un mauvais coup sur ce coup-là.


Lien : https://leslecturesdumonstre..
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Cela fait plus d'un mois que je "procrastine " pour poster une critique sur le roman de Ken Follet !
J'avoue que j'ai été déçue par le manichéisme de l'auteur des Piliers de la Terre ( livre que j'ai aimé ! ) à propos des guerres de religion qui ont sévi en Angleterre pendant 62 ans .
En effet, il a classé les " gentils " : les Willard qui vont soutenir Elisabeth 1° et les "méchants" : les Fitzgerald qui soutiennent Marie Stuart !
Mais au début de ces guerres il s'agit d'un problème successoral et donc principalement politique : en effet : deux reines prétendent au trône d' Angleterre !
Marie Stuart ( déja reine d'Ecosse ) qui va épouser François II ( futur roi de France ) et
Elisabeth Tudor issue du mariage controversé de Catherine d'Aragon ( veuve d'Arthur Tudor ) avec Henri VIII qui contestera cette union ( sans descendant mâle ! ) auprès du Pape en vue d'une annulation !
Henri VIII ( le roi aux 6 épouses ) sera excommunié et il s'autoproclamera Chef de l'Eglise Anglicane par l'acte de Suprématie de 1534.
Les éminents conseillers d'Elisabeth, les nobles et autres puissants, soucieux de la stabilité du royaume, de leurs intérêts politiques et financiers vont appuyer la "candidature" d'une Tudor plus tolérante ( video e faceo ) face à Marie fervente catholique !
L'histoire leur donnera raison car Elisabeth ( la reine vierge ) fera avec leur aide la grandeur du royaume, sa suprématie sur les mers ( l'invincible Armada ) et laissera un régime flamboyant !
Pour revenir aux personnages fictifs : les 2 familles vont se combattre pour faire valoir leurs idées et religions respectives :
à savoir pour le clan catholique : les Fitzgerald avec Margery qui n'a pas pu épouser Ned Willard, et a été forcée d'épouser Bart Shiring
avec son frère Rollo ( plus connu comme adversaire impitoyable des protestants sous le pseudo de Jean Langlais ) et
le clan des protestants ( voire anglicans ) avec Ned qui servira comme espion de la reine et son frère Barney ( marin et fin négociant ).
Les guerres de religion prospèrent aussi en " Europe " et en particulier en France ou
les crimes, les persécutions, les attentats vont se cristalliser dans la nuit de la Saint Barthelemy ..
et conduire à la conversion au catholicisme d' Henri de Navarre qui deviendra Henri IV ( Bourbon ) et succédera aux Valois !
Enfin, pour achever mon désaccord avec Ken Follet : je vais expliquer la citation de l'exode XIII ( 21 ) qu'il propose comme symbole de la tolérance face aux extrémistes ! mais il faut, en faisant l'exégèse du texte noter que la " colonne de Feu " éclairait le peuple de Dieu uniquement dans le but de faciliter la fuite des juifs et éviter leur massacre par les armées égyptiennes !
Ce roman est passionnant même si j'en conteste les positions, il m'a permis d'aller approfondir l'histoire de l'Angleterre !
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Bon alors c'est vrai que je n'ai pas fini la lecture. J'en suis à 93% mais déjà, je suis en mesure de critiquer ce livre ridicule.
Commençons par les points positifs (ça ne va pas être long): quel plaisir de se replonger dans cette période passionnante de l'histoire européenne: les guerres de religions et le règne d'Elizabeth Première. Il paraît que Ken Follet est très soucieux de l'exactitude historique et que, pour cela, il s'entoure d'une véritable armada d'historiens chevronnés. Ca se voit. L'époque est très bien rendue et les imbrications géopolitiques de tel ou tel événement bien expliquées. J'y eu l'impression de retourner à la fac.
Sur le plan littéraire, en revanche, c'est la cata. J'avais déjà noté que les personnages de Ken Follet ne brillaient pas par leur ambivalence mais, là, on est dans la caricature absolue: tous les protestants sont gentils, intelligents, tolérants et admirables; tous les catholiques sont des brutes épaisses, des fanatiques, des violeurs et/ou des assassins. Vous me direz que Margery et les Cobley font exception. Oui mais Margery est une traîtresse et les Cobley sont des Puritains. Transposé à la Grande Histoire, les royaumes protestants sont dépeints comme prospères et tolérants. Il y fait bon vivre. Et les royaumes catholiques sont des trous à rats en déclin minés par l'obscurantisme incarné par l'Inquisition.
Le style est très basique puisque j'ai réussi à le lire en anglais malgré mon niveau médiocre.
Mais le pire, c'est l'intrigue. ATTENTION SPOIL à partir d'ici. Si vous voulez le lire, ne lisez pas la suite.
Je ne sais pas si Ken Follet a voulu faire le concours du personnage le plus con mais ça se bouscule sur le podium.
Alors on a bien sûr Bart Shiring (présenté comme tel) qui n'a pas compris que sa femme le cocufiait. Admettons.
Ensuite on a Pierre d'Aumande. Il sait parfaitement que son beau-fils le hait parce qu'il a tué sa mère mais il ne s'en méfie pas. Il parle devant lui des complots visant à remplacer Elizabeth par Mary ou du plan d'invasion de l'Angleterre mais ça ne lui vient pas à l'idée qu'il pourrait le répéter à l'ennemi ou se venger de lui...
Ensuite on a les femmes. Margery, sorte de Jawad avant l'heure: elle fait entrer des prêtres en contre-bande pour le compte de son frère dont elle n'a pas compris qu'il s'était radicalisé et elle tombe des nues lorsqu'il y a un complot des ultra-catholiques. Elle a juste fait ça "pour rendre service", la dinde. Sylvie est ,de mon point de vue, la gagnante: d'abord, elle a vu sa vie ruinée à cause d'un homme à qui elle a trop fait confiance. Bon, ça arrive. Mais, ensuite, elle fait pareil avec Ned (même si nous, lecteurs, ont sait que c'est LE GENTIL) ! Comme si ça ne suffisait pas, elle gagne la palme de la mort la plus stupide. Et oui, quand on est une femme et qu'on décide de se battre à mains nues contre un homme au bord d'un toit, ben on a de fortes probabilités de se retrouver en bas, le cou rompu.
Enfin, qui peut croire à ce dénouement rocambolesque que même Barbara Cartland n'aurait pas osé faire ? Alors je récapitule: Margery a décidé, pour éviter à ses fils de se battre, de les dénoncer à son amant (déjà, elle mérite le fouet). L'amant débarque avec le shérif; ils trouvent les preuves du complot et là, pof, Bart meurt opportunément d'une crise cardiaque. Et l'enquête s'arrête là ! Les fils Shiring ne sont pas inquiétés ! La vie reprend sont cours ! Quelques temps après, c'est Sylvie qui meurt opportunément. Là, je me suis dit: "non, il ne va pas oser"... ET SI ! 40 après, l'amour triomphe. D'après ma liseuse, il me reste 2 heures de lecture en tout. Franchement, je ne sais pas si je vais encore perdre deux heures de mon temps à ces niaiseries.
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Cela a un gout de réchauffé. On reprend la trame d'un monde sans fin et on y met d'autres personnages. Cette brique de 900 pages aurait pu se tenir facilement en 600 et aurait été plus dynamique. Ken Follet a vraiment noyé l'essentiel dans une foule de détails qui n'ont pas beaucoup d'intérêts. J'ai vraiment survolé les 200 dernières pages car j'en avais assez des chassés-croisés entre catholiques et protestants, dans un sens comme dans l'autre. Donc une déception, l'histoire ne tient pas le lecteur sur la longueur.
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Avec "Une Colonne de Feu", Ken Follett retrouve Kingbridge et se propose de nous plonger, après le Moyen-Age, au coeur de la Renaissance. le roman s'ouvre sur la Noël 1558 qui voit le retour au bercail du jeune Ned Willard dont la famille aisée et influente ne cache pas ses sympathies protestantes dans une ville, à l'image du royaume, déchirée par la haine religieuse et politique. Comme souvent, c'est une histoire d'amour contrariée qui jette les premiers jalons de ce roman fleuve: Ned est amoureux et sa dulcinée, Margery Fitzgerald, l'aime aussi. Oui mais voilà, elle appartient à une fervente lignée catholique. C'en est assez pour que le mariage escompté ne se fasse pas... En parallèle, on suit aussi le destin tourmenté du frère de Ned à la tête de la filière espagnole de l'affaire familiale et là-bas non plus, les temps ne sont ni à la tolérance, ni à la concorde. En parallèle des ces trajectoires privées, Ken Follet nous donne à voir tout un pan de l'Histoire européenne et de cette Renaissance si riche (l'une de mes périodes favorites!). Ainsi, le roman débute moins d'un an avant l'accession au trône d'Elizabeth 1ère et Ned va y prendre une part active puisque il va se mettre au service de la cette dernière grâce aux relations familiales. Cet emploi, au sens propre comme au sens plus littéraire, va lui ouvrir les portes de toutes les cours d'Europe (salut la France!) et de toutes les intrigues, de tous les complots et de tous les grands évènements de son temps et constitue pour Ken Follett le prétexte parfait pour balayer d'un revers de plume près de soixante ans d'histoire à un rythme enlevé et relativement trépidant.

Qu'elle était prometteuse cette "Colonne de Feu"! Qu'elle me faisait envie, à moi l'amoureuse de romans historiques, la passionnée de Renaissance. Tout semblait s'y trouver pour me plonger dans la félicité... Oui mais non.
Tout y est oui, rendons à César... Sauf que...

Au fond, je le savais. Je savais que je serai un peu déçue par "Une Colonne de Feu", mais folle que je suis, j'y suis allée quand même… Certes, la lecture de cet épais roman de près de mille pages ne fut une torture à l'instar de certaines autres découvertes qui me glacent, m'écoeurent et m'endorment encore malgré moi lorsque je me prends à y penser, mais tout de même… J'ai beaucoup soupiré face à la colonne, renâclé et j'ai l'impression qu'il m'a fallu des jours et des jours voire des années pour le finir enfin… Elle qui contenait pourtant, je persiste, tous les ingrédients prompts habituellement à réjouir mes papilles exigeantes (mais, c'est peut-être là qu'est le problème d'ailleurs...).

Un petit historique s'impose: de cet auteur prolixe et prolifique j'avais lu et aimé "Les Piliers de la Terre", dévoré à l'époque en moins d'une semaine. le roman avait su me conquérir par son souffle, ses personnages, ses retournements de situation, son Moyen-Age romanesque et documenté. Je me rappelle m'être jetée sur la série dans la foulée pour que dure encore un peu l'enchantement.
Oui, j'avais aimé "Les Piliers de la Terre" en y reconnaissant une ou deux limites toutefois, de ces défauts qui n'empêchent pas l'amour: la geste de Jack, de Tom le bâtisseur, d'Aliena et des autres pour passionnante qu'elle fut, n'était pas sans facilité, sans cliché, sans deus ex machina. Ken Follet, c'est un peu le faiseur de blockbuster, de grosses productions hollywoodiennes où les méchants sont vêtus de noirs et les gentils vêtus de blanc. Où les intrigues foisonnantes se résolvent à grand renfort de grosses ficelles et de bons sentiments. Où la nuance et la complexité n'ont pas vraiment leur place. Où les gros sabots chaussés pour narrer donnent aux lecteurs le don de divination: on sait. On sait déjà tout dès les premiers chapitres, le dénouement et les chemins qu'il empruntera.
Parfois, moi Hollywood, j'aime bien. Parfois, les merveilles primées à Sundance me semblent trop dures, trop complexes et je les délaisse le temps d'un blockbuster (et il en est que j'aime infiniment!). Voilà ce qu'est pour moi "Les Piliers de la Terre", parce que malgré les clichés et les facilités, le roman est incroyablement malin et prenant, que ses personnages sont très attachants malgré leur construction dichotomique; tout ce que n'est pas à mes yeux "Une Colonne de Feu" pour lequel par ailleurs, Follett semble avoir eu les yeux plus gros que le ventre.

Les personnages m'ont clairement parue monolithiques et j'ai bien du mal à m'attacher à eux. Ned et les Willard en général manquent de subtilité, de complexité et la plupart d'entre eux souffrent un peu trop à mon gout du syndrome du "héros parfait". Quant à l'intrigue, ou aux intrigues devrais-je dire, elles sont poussives et surtout bien trop prévisibles… Tout se sent, se devine, se pressent. Les sabots sont devenus bottes de sept lieues, les ficelles ont viré ruban et moi, tout cela m'a déçue et surtout ennuyée à un point!..
De plus, "Une Colonne de Feu" m'a posée un vrai problème de crédibilité (non pas que tout soit toujours crédible dans "Les Piliers de la Terre" ou même dans d'autres romans historiques où les personnages vivent bien trop de choses pour être honnêtes!) dans le sens où on sent de la part de l'auteur un intérêt réel, une passion même pour l'époque abordée mais là où le bât blesse, c'est qu'il en fait presque trop: toute la Renaissance y passe, des années sanglantes du règne de Mary Tudor à l'Invincible Armada, de l'accession du trône d'Elizabeth à la Saint Barthélémy, du traitement des juifs dans l'Espagne ultra catholique de Philippe II à la destinée tragique de Mary Stuart, étoile filante à la cour de France...
Alors oui, j'adore cette période de l'Histoire et c'est d'ailleurs pour cela que je me suis dirigée vers "Une Colonne de Feu", mais trop c'est trop. Forcement, les faits sont survolés et sont réduits à paraître artificiels du coup (quel dommage!). En outre, faire traverser tout cela à un même groupe de personnages? C'est trop... N'aurait-il pas été plus pertinent de réduire la chronologie mais d'être à la fois plus précis et plus nuancé sur une période plus courte?

Et puis, cela paraît quand même un rien naïf cette propension à vouloir faire tendre la politique d'Elizabeth Ière uniquement vers la tolérance et de le marteler ainsi. La réalité était un peu plus complexe... le manque de profondeur et de nuance à nouveau... Hollywood! Blockbuster!

Une vraie déception que ce roman dont j'attendais beaucoup. Je ne peux m'empêcher, arrivée à la fin de ma diatribe, de penser à cet autre roman, injustement méconnu: "L'Etoile Brisée" qui prends corps à la même époque, qui en restitue les soubresauts avec bien plus de profondeur et presque autant de pages. C'est ce livre là qu'il faudrait lire et il est de Nadeije Laneyrie-Dagen.









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Alors oui j'ai dévoré le nouveau pavé de Ken Follett, j'adore cette période et j'étais curieuse de voir ce qu'il allait en faire.
Sur la forme c'est enlevé, les aventures de ses héros sont trépidantes, on assiste aux grands moments de ce siècle.
Sur le fond c'est niais, son écriture est passable, ses personnages sont manichéens au possible et les situations complexes de l'époque simplifiées à l'extrême.
En qualité d'écriture nous sommes loin de Maurice Druon et des rois maudits.
Les deux personnages centraux, Ned le gentil qui déjoue tous les complots, pour sa reine et Pierre le méchant sans qui les Guise n'auraient rien fait et qui devient même l'instigateur de la Saint Barthélémy, deviennent exaspérants au fil de la lecture.
Follet est incapable de rendre la complexité des personnages historiques de cette époque. S'il manquait de place, il n'avait qu'à faire plusieurs tomes, ce que cette période aurait méritée de toute façon.
Néanmoins si cette lecture donne envie d'en découvrir plus sur les protagonistes (Elizabeth, Marie, Catherine, les Guise, Philippe II) par le biais de bonnes biographies, se sera toujours ça de gagné.
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Déception pour ce 4 ieme opus après les piliers de la terre que j'avais adoré.
Tout est très bien documenté mais il y a des longueurs et je me suis ennuyée.
Je n'ai pas retrouvé l'univers des Piliers de la terre et de la trilogie " le siécle".
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J'avais beaucoup aimé Les piliers de la terre, histoire passionnante et épique de plusieurs générations de bâtisseurs.
Plus rien de passionnant et d'épique dans Une colonne de feu, juste un roman bien trop bavard truffé de détails peu utiles. L'antagonisme catholiques/protestants rappelé presque à chaque page, finit par devenir assommant. Bref cet énorme pavé de 1000 pages (que je n'ai pas eu le courage de terminer) aurait sans doute gagné à être réduit de moitié.
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Je me suis découragée au bout d'une centaine de pages à cause du nombre trop important de personnages dont il faut se souvenir des noms des situations et d'un style assez pauvre à mon goût j'ai eu peur que ça continue comme ça pendant pendant les 900 pages
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