Mon mari et moi avons deux enfants, un petit garçon de 3 ans et demi et une petite fille de bientôt 2 ans. Et avec Charles, nous venons de découvrir l'opposition, le soir, au moment fatidique d'aller dormir. Toutes les excuses étaient bonnes pour retarder le coucher : pipi, verre d'eau, câlin papa, bisou papa, câlin maman, bisou maman, lire une histoire, et répéter le cycle indéfiniment, jusqu'au moment où le point de non retour est arrivé. En le couchant à 20 heures, il ne dormait toujours pas à 23 heures ! Une collègue m'a alors conseillé ce livre que j'ai trouvé vraiment très clair, riche en exemples, dont certains nous correspondaient franchement. Et j'ai mis en place l'histoire du tableau et des gommettes. Miracle, après un mois de mise en pratique, il fonctionne parfaitement avec notre petit bonhomme qui est désormais endormi à 20h30. La mise en application se poursuit donc avec la sieste de l'après-midi. Je conseille donc franchement ce livre qui aide à comprendre les mécanismes de pensée des enfants, même les plus grands, et apprend à communiquer plus simplement avec eux. Je n'hésiterai pas à le relire dans quelques années si besoin.
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Si j'ai pu être peu encline à ce genre d'approche, je reconnais que finalement voici un professionnel qui tente de donner des outils concrets devant des comportements laissant les adultes désemparés, que ce soit les parents mais aussi souvent les professionnels de l'éducation.
Je recommande vivement ce livre pour toute personne concernée par ce type de difficulté.
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Ce livre devrait être offert à la sortie de la maternité. Parce qu'il rassure, il donne des petites astuces, il nous permet de relativiser et d'ouvrir un peu les yeux sur le rêve d'être un parent parfait.
Sa lecture est loin d'être pompeuse, l'auteur ne nous assomme pas de terme laborieux. Elle cite des exemples et use de beaucoup de finesse pour ouvrir certaines portes qui ne sont pas forcément facile à ouvrir.
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Il faut toujours lever le conflit avant de vouloir déterminer les causes qui ont amené votre enfant à s'opposer.
N’envoyez jamais votre enfant dans sa chambre
Soit il l’adore, et au lieu de supprimer un agent renforçateur, vous lui donnez l’occasion de se soustraire à une consigne pour retrouver ses jouets.
Soit sa chambre devient un lieu punitif où il va désormais refuser de jouer, de faire ses devoirs et, surtout, de s’endormir (l’endroit étant devenu trop angoissant).