Il pensait de jouer les pronostics et l’emporter lors du sprint final. Comme en novembre 2016, lors de la primaire de la droite et du centre, quand il avait coiffe Alain Juppé et Nicolas Sarkozy au poteau. Son courage et son programme muscle devaient faire oublier les concerts de casseroles, la mise en examen et les sondages qui le plaçaient derrière Marine Le Pen, Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon.
Las ! Franc ois Fillon a eu beau de nonc...
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