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4,18

sur 16873 notes
J'ai adoré Nos étoiles contraires, il m'a bouleversé et je n'ai pas pu m'empêcher de verser une petite larme :) C'est un excellent livre que je conseille à tous, adolescents comme adultes. Il est beau, positif, et montre une autre approche de la maladie. Un très beau livre :)
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Je n'avais pas envie de lire ce livre car j'ai toujours une appréhension concernant les livres sur la maladie. La peur du trop médical, du trop larmoyant... pourtant j'ai aimé ce livre, car au delà de la belle histoire d'amour, il traite avec subtilité et pudeur de ce sujet épineux.
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Bien
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THE COUP DE FOUDRE !

Je l'ai lu en 24 heures et que dire, ça fait trois jours que je l'ai fini et je en m'en remets pas!

Ce livre et juste la pire des torture qu'il puisse exister. Ouaip, la pire...
J'ai ri, je suis tombé amoureuse, j'ai eu le coeur brisé et pleuré toutes les larmes de mon corps et tout ça en 336 pages.

Alors que puis-je dire qui n'a pas déjà été dit auparavant...
Rien je crois, alors je vais répéter ce qui a déjà été dit.

Ce livre est une bombe atomique littéraire.
John Green a réussi à nous faire partager,Que dis-je?, à nous faire vivre la vie de cette jeune fille en phase terminale d'un cancer, mais d'une façon tout à fait surprenante.
Je suis assez sensible à ce sujet là, et pas une fois je n'ai eu pitié d'Hazel. Alors oui je me suis dit "P**** ça craint" mais pas dans le sens oh la pauvre chérie ou quoi, et là est tout le génie de John Green. Tu souffre avec elle, tu ressens ses joies,ses peines, ses envies, ses rêves... et c'est juste merveilleux.
Quant à la fin - et c'est là que John je te maudis- c'est juste un coup de poignard dans le coeur.
Quand il s'agit de la lecture je suis quelqu'un d'assez sensible et pleure assez facilement mais là, ça a été hécatombe.
Encore aujourd'hui rien que de repenser à la fin du livre la boule au ventre revient, et même si ça fait mal (faut dire ce qui est, ça fait vraiment mal) je trouve que c'est quand même incroyable de ressentir de telles émotions à travers des lignes et c'est quelque chose qu'on ne peut vraiment pas retrouver autre part (ou du moins que je n'ai jamais retrouvé autre part).
Oh et aussi, je suis totalement amoureuse d'Augustus Waters, il est juste ... Woaouh.

Donc voilà, ce livre a été une grande surprise pour moi qui en général ne me tourne jamais vers ce genre de lectures, une grande claque dans ma jolie figure de lectrice et surtout un coup de foudre comme je n'en ai jamais eu! J'ai vraiment bien fait de jouer ma curieuse et de l'avoir acheté.

Pour terminer je reprendrais les derniers mots d'Hazel:
"I do."
Comprendront ceux qui l'ont lu ;)
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Je ne comprend tout simplement pas tout l'engouement autour de ce roman.
C'est vrai que le livre est bon, que les émotions sont bien transmises, mais l'écrivain n'a pas une plume extraordinaire et l'histoire n'a pas beaucoup de rebondissements. Avec toutes les éloges portées sur ce livre, il m'a tout de même un peu déçue.
Et je n'irai surtout pas jusqu'à dire que c'est un des meilleurs romans jamais écrits.
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J'ai dévoré ce livre et il était délicieux ! Je ne vais pas vous cacher que j'ai fini un bon paquet de mouchoirs, et que même en repensant à leur histoire d'amour, j'ai une larme au coin de l'oeil..
Très gros coup de coeur pour ma part !
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Hazel Grace Lancaster a 13 ans quand on lui diagnostique un cancer de la thyroïde. Aujourd'hui elle a 16 ans et son cancer a migré vers ses poumons qui ne font plus leur travail. La jeune adolescente vit donc avec des tuyaux dans le nez reliés à une bonbonne d'oxygène qui la suit partout pour l'aider à respirer. Elle est déscolarisée elle n'a pas de vie sociale et passe son temps à relire son livre préféré "Une Impériale Affliction". Alors que sa mère la soupçonne de devenir dépressive, Hazel se rend à un groupe de soutien avec des jeunes malades ou en rémission. C'est dans ce groupe de soutien qu'elle va rencontrer Augustus Waters, 17 ans, en rémission d'un cancer qui lui a couté une jambe. Hazel et Gus deviennent amis et apprennent à se connaitre, très vite ils deviennent proche. Si Augustus ne se gène pas de montrer ses sentiments à Hazel, cette dernière ne veut pas avouer ses sentiments. Elle a peur de gâcher la vie de Gus qui est en rémission avec son cancer. Elle sait qu'elle va mourir et ne veut pas qu'il ai à supporter cela.
On va donc suivre Hazel et Gus dans leur combat contre la maladie, dans leurs moments de joies mais aussi dans leurs moments de peine.

J'ai mis longtemps à me décider à lire Nos étoiles contraires, tout le bien qu'on en disait partout me faisait un peu peur, j'avais peur d'être déçue. Cependant à la minute où j'ai commencé ma lecture, je savais que celle-ci serait parsemé d'émotions et que je ne pourrais plus m'arrêter de lire. Hazel et Gus sont attachant et on ne peut être qu'admiratif devant leur combat contre le cancer. Pour eux pas question de s'apitoyer sur leur sort, ils profitent de la vie avec philosophie. Une histoire sur le cancer et la mort devrait être triste, mais bizarrement j'ai plus rie que pleuré dans ma lecture. Pourtant je m'attendais à verser des torrents de larmes moi qui suis habituellement hypersensible. Mais c'est justement ça qui est bien, John Green ne veut pas nous raconter une histoire triste et pathétique, il veut nous montrer les autres choses qui accompagnent la maladie: l'amitié, l'amour, la présence familiale.
Que d'émotions en refermant ce livre, j'aurai aimé qu'il ne se termine jamais, j'aurai voulu rester aux côtés d'Hazel pour la soutenir et l'aider.
L'écriture de l'auteur est belle, authentique, il mêle la philosophie avec l'émotion. Il a su donner vie à ses personnages aux yeux des lecteurs. Chapeau à l'auteur pour avoir réussi à nous transmettre tant d'émotions sans toutefois tomber dans le mélodrame.
Que ce soit dans le livre comme dans le film (que j'ai trouvé à la hauteur du livre pour une fois), on passe du rire au larme en compagnie de ces deux étoiles.


Lien : http://www.desmotsetdesparfu..
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un sujet délicat et qui malheureusement peut encore être tabou.Le sujet de la maladie, de la mort est bien traité. Il n'y a pas de faux-semblant. le style et la mécanique de l'auteur prennent à contre pied la manière dont le cancer est traité habituellement. Il y a dans ce récit beaucoup d'humour, de second degré, de dérision et d'auto-dérision. Les personnages d'Hazel et d'Augustus mais aussi plus secondaire comme les parents des adolescents, Issac, etc. ont des réactions, des comportements, des réflexions justes et vrais. Presque à chaque fois, l'auteur trouve les mots justes et parle de façon sincère, touchante et réaliste de la maladie, de la fatalité, de l'échéance. Hazel ne se voile pas la face et n'entretient pas de faux espoirs, sa famille non plus, elle sait qu'elle ne vivra pas longtemps. Mais elle a du mal à profiter de ce temps, du temps présent. Elle a tellement peur d'affecter son entourage, qu'elle en oublie de vivre, d'avoir les joies qu'elle mérite même si elles sont éphémères. Hazel est au départ seule, renfermée mais sa fraicheur et son humour vont lui permettre de se rapprocher d'Augustus. Lui est en rémission depuis plus d'un an.

Hazel et Augustus vont vivre une jolie histoire qui transcende la fatalité de la vie. Hazel bien que réticente au début va faire lire son livre préféré à Augustus et ils vont partager leur gouts, apprendre de l'autre. Mais seront frustrés par la fin de leur livre de chevet. Et une folle aventure va commencer. A travers leur façon d'agir, de réagir, on s'attache à ses héros du quotidien. Des mots justes, des personnages sincères, attachants. Une vérité et une réalité qui permettent de réfléchir, de se poser des questions. On tombe rarement dans le pathos, exit la mièvrerie, le gros plus de ce roman est qu'il est juste, il ne donne pas de faux espoirs ou une fausse image. C'est assez réaliste et laisse quand même une part de "beau". La couverture ne ment pas, c'est poignant et touchant, tout en étant, drôle et frais. J'ai beaucoup aimé le voyage que réalise Hazel et Augustus, au sens propre comme au figuré.

Je garde en mémoire la justesse des relations entre Hazel et Augustus mais aussi entre Augustus et Isaac ou Hazel et ses parents. On ne nous cache pas que c'est dur, qu'il y a de l'abattement mais qu'il faut aussi vivre, faire des projets, se divertir, apprendre. Chaque personnage est tout à tour drôle et émouvant. Il y a aussi de la colère, de la passion, du drame et de la joie. Ce roman est très complet, on parcourt toute une palette de sentiments et d'émotions en 330 pages ! J'ai aimé les personnages principaux mais ce sont les secondaires que j'ai aimé le plus, les parents d'Hazel et Isaac, ce dernier a beaucoup d'importance dans ce récit tout en restant secondaire. Je ne sais pas comment le dire mais c'est ce que j'ai ressenti.

L'écriture reste simple et accessible, tout passe par le style et la façon de raconter l'histoire. le style est percutant, il y a du rythme, c'est fluide, ça se lit aisément. J'ai quand même eu une impression de longueur, pas du fait de répétition mais peut être parce que certaines choses prennent trop de temps. Mais l'humour et la finesse des relations, des idées, des messages sont le gros plus de cette histoire qui ne peut pas laisser indifférent et du coup, je suis passée au dessus de ces "longueurs". J'ai vraiment aimé cette histoire même si j'ai vite compris ce qu'il allait se passer, la tournure m'a semblé inévitable, c'est du coup, une impression de manque d'originalité dans la direction prise mais là encore, c'est une impression plus qu'un défaut.

Un point m'a toutefois plus "chagriné", le fond présent de religion : l'église où se passe les réunions, les croyances après la mort, les petites phrases dans la maison d'Augustus. Je sais bien que c'est comme ça en vrai pour les gens, je ne suis pas athée mais je trouve que c'est parfois un peu trop d'ancrer le récit dans ce fond là. Bon, ce n'est pas un point négatif qui empêche de lire ce roman, de l'apprécier et/ou d'être touché.
Lien : http://lesdecouvertesdedawn...
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J'ai vraiment adoré ce livre, on rit on pleur mais ce n'est pas simplement l'histoire de deux jeunes malade atteint d'un cancer pour moi ce livre est bien au delà de tous sa. Pour moi ce livre est un hymne à la vie. Je n'ai qu'une chose à vous dire, lisez le si ce n' est pas encore fait!
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La force principale de ce roman est sans conteste ce qu'une amie appelle "un humour de cancéreux" - je reprendrais pour ma part les propos même d'Hazel et emploierais plutôt les termes d'humour morbide.

Le récit nous plonge au coeur de la vie d'Hazel Grace, se mourant du cancer, au moment de sa rencontre avec Augustus Waters, en rémission.

Si vous vous attendez à une romance forte, passez votre chemin (je sais, beaucoup ne pense pas comme moi). A mon avis, l'intérêt de ce récit repose avant tout sur la vision du monde qui est décrite, sur les questionnements qui jalonnent le roman et qui nous poussent à nous interroger sur le sens de la vie. La romance est reléguée à la seconde place, d'autant qu'elle n'est pas fulgurante, ni très réaliste.

Les personnages principaux sont attachants mais les personnages secondaires ne sont pas très fouillés. Le personnage de van Houten est quant à lui trop caricatural, trop invraisemblable et donc totalement superflu. Les phrases employées lors des discours directs sont bien trop grandiloquentes pour être naturelles, surtout dans la bouche d'adolescents.

L'on sait dès le départ qu'il y aura des morts. Cependant, la vraie surprise n'est pas où on l'attend. Oui on pleure. Mais la fin est très belle. On ne ressent pas que tristesse à la lecture de cette histoire, en partie grâce à l'humour distillé tout au long du roman.

C'est un beau récit qui mérite d'être lu, mais qui a sans doute pâti de toute la communication qui en a été faite dans les médias. Je m'attendais à beaucoup plus...
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