Repenser la chair dans ses rapports avec l'âme, réhabiliter le plaisir comme dépense partagée, réintroduire le merveilleux dans l'érotisme, telles sont les invites que formule cette «fantaisie littéraire, érosophique et antithéiste».
Affectant la forme d'un traité d'érudition, le Siège de l'âme
embrasse, avec un appétit que n'eussent pas renié Rabelais
ou Béoralde de Verville, l'archéologie, l'alchimie, l'histoire
de l'art et de...
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