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3,99

sur 1351 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Roman épistolaire qui nous présente l'auteure Hélène Hanff et l'équipe de la librairie Marck & Co. L'auteure et lectrice se mets a écrire des lettres à la librairie quand elle apprend que celle-ci possèdes des livres usagés et de bonne qualité. Et ce, même si un océan entier les séparent.
Ce petit roman, sensé être un incontournable, ne m'as pas tellement excité. La relation entre Hélène, Joel, Cecilia et les autres libraires est rigolote mais je n'ai eu aucun intérêt face aux romans que 84, Charing Cross Road nous propose puisqu'ils datent, pour la plupart, de cent ans et plus (oublions les mentions a Jane Austen, bien sur). Divertissant, c'est un livre qui parle de livre. J'en ressors éblouie? Non, pas du tout.
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Un livre plutôt plaisant, drôle, intelligent mais a l'intérêt limité si on connait mal la littérature classique anglaise. J'imagine le plaisir que doit être ce roman pour des passionnés. Pour les autres, on a du mal à saisir la fascination d'Hélène Hanff pour cette petite librairie londonienne. Cependant, sa lecture étant très rapide (environ 1 heure 30), il serait dommage de passer à côté.
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Après la préface dithyrambique de Daniel PENNAC sur la réédition de 2016 par la maison AUTREMENT et au vue des critiques quasi-unanimes que provoque ce livre sur Babelio, mon commentaire va certainement dénoté avec les autres avis.

"84, Charing Cross Road" narre une amitié épistolaire sur une vingtaine d'année (de 1949 à 1968) entre Mademoiselle Helen HANFF, jeune une femme trentenaire habitant New-York, écrivant des scripts pour la télévision et ayant de faibles revenus mais qui est surtout passionnée de littérature anglaise ancienne et Mr Frank Doel, libraire londonien spécialisé dans les livres rares. Durant vingt ans, Helene émet des requêtes à Frank, lui demandant de rechercher des livres rares qui ne sont pas à sa disposition aux États-Unis, puis de les lui envoyés. En contre partie, Helene saura récompensé généreusement Frank, sa famille et ses collègue de la librairie et au fil de toutes ces années, s'établie entre eux une véritable relation d'amitié.

C'est vrai, les lettres sont bien écrites (dans le sens de la formule) malgré les fautes de graphie et de ponctuation laissée intentionnellement par la maison d'édition afin de garantir la fidélité de la transcription.
Helene, avait l'air d'avoir un sacré sens de l'humour et Frank savait apparemment l'apprécié. Dans les lettres, on ressent bien l'enthousiasme d'Helene mû par un réel amour des livre et ça ne peut que nous toucher.

Le livre fait 215 pages et honnêtement je trouve que c'est bien assez car j'ai trouvé la trame répétitive et vers la fin, j'étais pressé de le terminer.

A lire, donc, ne serait que pour découvrir un pan de la littérature anglaise ancienne.
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Lu en Juillet 2019
Correspondance entre des employés d'une librairie en Angleterre et une américaine à la recherche constante de livres.
Les dates sont notées à chaque lettre ainsi que l'expéditeur. On apprend la vie en Angleterre juste après la Seconde Guerre Mondiale et des restrictions qu'il y a. En parralèle, la vie à New Yord nous est dévoilée.
Les lettres se suivent chronologiquement mais peuvent être espacées de plusieurs mois. On apprend la vie des personnages au travers d'elle même si elles ne sont pas toutes là.

Je me suis attachée aux personnages. Les sentiments sont exprimés : rires, pleurs...
Il ne s'agit pas d'une fiction mais d'une réelle correspondance. le franc-parler est directement adressé. Tout est réel et le lecteur le perçoit ainsi.
Dommage qu'il n'y ait pas une bibliographie à la fin de l'ouvrage pour répertorier tous ces ouvrages qu'elle cherche et qui donnent envie d'être lus pour partager son point de vue.
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Un petit livre que j'ai eu envie de découvrir suite à la lecture du livre la bibliothèque des coeurs cabossés de Katarina Bivald. Il s'agit d'un échange épistolaire, qui a réellement eu lieu, entre une femme, habitant aux États-Unis, et un libraire, situé en Angleterre.
L'échange dans le livre de la bibliothèque des coeurs cabossés m'a plus intéressé car plus récent, ainsi les ouvrages mentionnés, faisaient plus écho. Ici, les livres échangés sont très spécifiques, ils datent du début du XXe siècle et, selon les goûts de l'auteure ne sont que des livres historiques. À ce niveau, l'échange était un petit peu trop pointu pour moi.

Ce qui m'a m'intéressé finalement, c'est le lien entre ce libraire et cette femme. La correspondance a duré 20 ans (de plus en plus espacée vers la fin) et à travers les lettres, on sent une certaine familiarité qui se crée, notamment à travers le temps qui passe (les enfants du libraire qui grandissent...). Les lettres sont aussi ancrées au niveau historique, on suit notamment la mort du roi Georges VI, le couronnement d'Elisabeth II, et tout simplement la vie quotidienne de l'Angleterre d'après guerre (le rationnement..., raison pour laquelle l'auteure, dès qu'elle le peut, leur envoie de quoi améliorer le quotidien, des oeufs, de la viande, et même des bas nylon!).

Ainsi le style devient plus familier, Hélène se permet avec beaucoup d'humour d'houspiller son libraire préféré lorsque celui-ci traîne à lui envoyer les ouvrages demandés, leur façon de débuter les lettres et de les signer ne se font plus avec leurs noms de famille mais par leurs prénoms ou surnom. On sent que Franck attend avec impatience les nouvelles de sa cliente préférée. Et finalement c'est l'entourage du libraire qui va se prendre d'affection pour cette correspondante du bout du monde, ainsi ses collègues, sa femme, et même une de ses filles poursuivent cette correspondance.

L'épilogue est particulièrement intéressant, puisqu'il nous en apprend plus sur la vie de l'auteure et notamment sur la survenue de ce récit. Un récit que l'on ne peut pas ranger facilement dans une case, c'est ce qui fait son charme. Si, je retourne à Londres, j'essaierais de trouver l'endroit où il y a eu ce fameux 84 charing cross road!!
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Dans 84, Charing Cross Road, tout commence en 1949 quand une jeune New-yorkaise, Hélène Hanff, envoie un courrier à une librairie en Angleterre, Mark and co, afin de leur acheter des livres par correspondance. Elle aime les jolis ouvrages anglais, mais n'est pas prête à payer le prix qu'on lui demande aux États-Unis pour se les offrir. C'est Frank Doel qui va d'abord lui répondre et qui le fera à de nombreuses reprises. En effet, une relation épistolaire va se développer entre eux et durer une vingtaine d'années. Mais ce ne sera pas le seul, elle recevra aussi des courriers d'autres employés de la librairie ou encore de la femme de Franck. Au fil du temps, les simples lettres de commandes vont se transformer en lettres plus personnelles, chacun y racontant des petits bouts de leur vie. Nous allons alors en apprendre un peu plus à propos d'Hélène, de ses difficultés à entrer dans le petit monde du théâtre, sur son travail d'écriture de scripts pour la télévision, ou encore sur son amour pour la littérature classique anglaise. Nous allons également découvrir le quotidien des anglais alors que le rationnement est toujours d'actualité dans le pays.

Ce roman épistolaire est composé de réelles lettres, en effet, toutes les personnes dont il est question ont réellement existé et ont réellement correspondu pendant toutes ces années, leurs échanges se terminant à la mort de Franck, en 1969. Ce n'est pas le meilleur livre qu'il m'est été donné de lire, cependant, j'ai passé un agréable moment de lecture avec l'histoire d'Hélène Hanff. J'ai bien aimé son caractère, sa franchise un peu maladroite, son humour et sa générosité. Et puis, j'ai aimé en apprendre un peu plus sur l'époque à laquelle se déroulent les faits et particulièrement sur l'Angleterre d'après-guerre. Bref, si vous ne savez pas quoi lire et que vous souhaitez vous détendre sans en avoir trop le temps, je vous le conseille.
Lien : https://desflaneriesetdesmot..
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C'est à la suite de la lecture du "cercle littéraire d'amateurs d'épluchurs de patates" que j'ai lu ce livre, et je le lui préfère.
Nous suivons vingt ans de correspondance entre la narratrice -New Yorkaise exubérante- et un libraire - Londonien plutôt coincé-. Ajoutez à ceci le contexte historique : après la seconde guerre mondiale, les londoniens subissent encore le rationnement alimentaire. Notre narratrice va, pour remercier le libraire de trouver les livres tant recherchés pour quelques sous, envoyer des colis de denrées alimentaires. S'ensuit moults courriers de remerciement du-dit libraire, de ses collègues, familles et voisins qui profitent de cette manne quasi miraculeuse.
Un recueil de lettres émouvantes, drôles ou la familiarité laisse progressivement place à l'intimité.
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Tellement d'avis, tellement de choses déjà dites ou écrites sur ce petit livre qui se dévore en deux heures de temps. Correspondance entre Hélène Hanff, new-yorkaise amoureuse de livres et particulièrement de certains de la littérature anglaise qui s'avèraient introuvables si elle n'avait découvert un jour cette librairie spécialisée dans les "livres épuisés", le 84, Charing Cross Road, avec qui elle entretiendra par l'entremise d'un de ses représentants, Frank Doel, un échange épistolaire pendant vingt ans. A travers ces lettres, nous découvrons la femme drôle, mordante, piquante, amoureuse passionnée de la chose écrite qu'est Hélène Hanff. Nous découvrons aussi son humanité lors de cette après-guerre où le ravitaillement pénible la transforme en bienfaitrice (humble) et en bonne fée auprès de tous les employés. La lettre de l'épouse de Frank Doel, après la mort de celui-ci, est particulièrement émouvante et révélatrice de la place que peut prendre une correspondance entre deux êtres... Dommage qu'ils ne se soient pas tous rencontrés lorsqu'il en était encore temps. Quant à la postface, elle donne l'éclairage nécessaire à ce qui s'est passé après la publication des lettres et le ressenti de l'auteur (amertume et fatalisme). Pourquoi ce livre a-t-il fait l'objet d'un culte tel que le mentionne la quatrième de couverture? C'est une très belle histoire, certes, mais dont l'impact paraît avoir dépassé ce qu'il en est simplement : un échange riche de courrier qui reflète une tranche de vie et une époque.

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Déception à la lecture de ce petit livre, dont j'attendais peut-être trop au vu des commentaires élogieux.
Cet échange épistolaire entre un libraire anglais et une auteure New-Yorkaise m'a déçu...je n'ai pas retrouvé l'évolution des sentiments promise sur la quatrième de couverture, et j'ai vite été fatiguée par la liste interminable de titres inconnus pour ma part, et les remerciements redondants. Je me suis forcée à finir ce livre, mais avec beaucoup d'ennui.
Le seul point positif est la découverte de la vie quotidienne des anglais à cette époque, dont je ne soupçonnais pas la dureté.
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Je m'attendais à mieux et je suis déçue.
Ce livre est rapide à lire, agréable mais je n'ai pas trouvé dans cette correspondance matière à rêver ni à me laisser des souvenirs imperissables.
Bien sur, j'imagine la vie de l'auteur en train de rêver de ces livres d'occasions traversant l'océan pour elle mais la correspondance m'aura laissé sur ma faim.
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