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Wessex, Angleterre, seconde moitié du 19ème siècle.

Dans le petit village de Mellstock, éclaté entre maints lieux-dits et métairies, de grands "bouleversements" se profilent à l'horizon : un nouveau vicaire pour la paroisse, une nouvelle institutrice pour l'école et... un harmonium pour la vieille église. Si les deux premiers événements ne sont pas de nature à apeurer la communauté villageoise, au contraire, il n'en est pas de même pour le dernier car, jusqu'alors - et depuis des temps presque immémoriaux - les chants sont assurés, aux fêtes populaires comme au culte, par les violoneux et les choristes paysans qui risquent fort d'être prochainement relégués au placard.

A cet émoi collectif se greffent d'autres émotions, parmi lesquelles le jeune et vigoureux amour du roulier Dick pour miss Day, la jolie institutrice, une jeune femme issue elle aussi du monde de la terre mais qu'une éducation soignée et divers apprentissages haussent désormais dans la société à un rang plus distingué.

Une fois de plus, j'ai totalement lâché prise et fait confiance au talentueux Thomas Hardy pour me transporter en pensée sur les collines de son merveilleux Wessex. J'y ai découvert une nouvelle brochette de personnages tout aussi truculents qu'attendrissants. Sur un air de gigue ou de cantique, j'ai vécu à leurs côtés quatre saisons fulgurantes de couleurs et de senteurs, me prêtant au jeu de l'évolution des cœurs, de l'amitié et de l'authenticité. Comme toujours avec cet auteur amoureux de son terroir, la nature a la part belle d'une narration vive et rythmée.

"Under the greenwood tree" fait partie des premiers romans de l'auteur et il annonce, sans qu'on puisse s'y tromper, le fantastique et inoubliable "Loin de la foule déchaînée", à paraître deux ans plus tard.


Challenge 19ème siècle 2015
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Lu en français.

Quatre saisons à Mellstock est une oeuvre qui confirme le talent de cet immense auteur qu'est Thomas Hardy ! Même si j'ai moins apprécié cette oeuvre que Tess D'Urberville, qui reste pour moi le meilleur roman de Thomas Hardy, je suis toujours aussi admirative de son travail, d'autant plus qu'il évoque des situations qui m'intéressent, notamment l'évolution de l'Angleterre rurale au XIXème siècle, que l'on observe selon le comportement de certains personnages. Dans ce roman, Thomas Hardy dépeint la société rurale du petit village de Mellstock, dont le choeur, existant depuis de nombreuses années, est menacé de disparition après l'arrivée du nouveau pasteur. L'auteur nous présente ainsi les personnages jouant un rôle important dans cette histoire, et en particulier le jeune Richard « Dick » Dewy, jeune homme charmant faisant partie du choeur, et Fancy Day, la nouvelle institutrice du village qui, dès son arrivée, fait chavirer le coeur de Dick, mais pas seulement, au grand désespoir de ce dernier…

Quatre Saisons à Mellstock nous raconte ainsi l'histoire d'amour entre Dick et Fancy, mais Thomas Hardy dresse aussi un portrait des habitants de Mellstock, qui présentent tous une personnalité intéressante, comme Thomas Leaf ou encore M. Day. J'avoue que j'ai parfois été gênée par le langage adopté par la majorité des habitants du village, mais cela ne m'a pas empêché de poursuivre ma lecture avec grand plaisir. Pour conclure avec les personnages, j'ai beaucoup apprécié Dick, mon personnage préféré, instruit, gentil et attentionné, mais j'ai également apprécié William ainsi que M. Maybold, qui, malgré sa rivalité avec Dick, m'a bien plu. Au contraire, le personnage de Fancy m'a déçue, par sa superficialité, son infidélité et d'autres défauts qui ne m'ont pas échappé lors de ma lecture. Malgré tout, j'ai globalement apprécié ce livre et j'ai beaucoup aimé découvrir l'évolution du village au fil des saisons, l'épilogue étant aussi tout à fait passionnant.

Bref, malgré quelques longueurs et des personnages parfois décevants, je suis ravie d'avoir lu Quatre Saisons à Mellstock, et je vous conseille ce roman, car comme La Mare au diable précédemment, cette oeuvre nous apporte une petit touche de gaieté, et permet aussi de (re)découvrir l'Angleterre rurale du XIXème siècle…

A lire !!
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Le temps de quatre saisons, pendant que la chorale de Mellstock fait son deuil de sa prestation dominicale à l'église, remplacée par l'orgue à la demande du nouveau pasteur, la jolie Fancy fait la belle entre ses trois prétendants, et tout cela finit par un beau mariage sous le grand tilleul.

Plus que par l'intrigue, c'est par la bonhommie joyeuse et l'humour délicieux qui se dégagent de la succession de tableaux animés et champêtres dont est composé ce roman que l'on est séduit.
Moins cependant que par les autres oeuvres plus ambitieuses de Thomas Hardy, qui révèle néanmoins plus que jamais dans ses « Quatre saisons à Mellstock » tout ses talents de peintre de la campagne anglaise.
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Sous la verte feuillée est le second roman écrit par Thomas Hardy, en 1872, après un premier essai moins concluant dans le style gothique l'année précédente. L'auteur met en place dans ce second ouvrage, paru sous pseudonyme, les grands traits naturalistes qu'il peaufinera dans ses futurs livres que seront Tess d'Urberville, Jude l'Obscur ou encore Loin de la foule déchaînée et dautres encore.

L'histoire se situe dans son Wessex fictif et adoré, à Mellstock, petit village pas très loin de Casterbridge, qu'on retrouvera dans un autre de ses romans. La vie y est paisible, s'écoule au fil des saisons et des notes semées par le choeur de la paroisse. Certes comme en toute vie les difficultés surviennent mais l'on y fait face avec solidarité et un bon sens rural.
On fait la connaissance plus particulièrement de la famille Dewy dont le fils Richard - Dick - tombe amoureux au premier coup d'oeil lors de sa tournée des chants de Noël avec le choeur de la nouvelle institutrice, Fancy Day.

En plus de ses superbes descriptions de paysages au fil des saisons, Thomas Hardy présente avec simplicité les petites vies champêtres de ce village. Si la jeune et belle Fancy fait tourner plusieurs têtes, les hommes du choeur, eux, sont plus préoccupés de se voir retirer l'exclusivité de l'accompagnement musical des offices religieux au profit de l'orgue joué par l'institutrice. Faut-il y voir une incursion de la modernité dans un univers mû jusqu'ici par la tradition?

Si Sous la vertes feuillée ne possède pas encore la puissance de ses chefs-d'oeuvre, ce roman a du moins la fraîcheur des premiers écrits, petits défauts y compris. La galerie de personnages créée par Hardy vaut néanmoins le détour. On se prend d'emblée de sympathie pour les sentiments de Dick, franc, bon et d'une sincérité naïve. de même, son père fait rire par sa bonhomie aussi large que sa carcasse ou encore son grand-père William, parfois méjugé dans le village et pourtant souvent source de conseils bienveillants, appelant à la modération et à ne pas juger. Quant à Fancy, superficielle, coquette et manquant de constance, elle n'apparaît guère sympathique mais sans doute faut-il mettre cela sur le compte de son jeune âge. A moins que son prénom - fantaisie en anglais - ne déteigne sur son caractère.

Quant à savoir la suite de cet amour, je vous laisse le plaisir de le découvrir par vous-même. J'ai passé un très agréable moment de lecture avec ce court volume, qui sonne moins sombre que certains autres titres de l'auteur. Je suis toujours impressionnée, quand je le lis, de sa faculté à dépeindre bois et sentiers, rivières et hameaux. Comme s'il suffisait d'entrouvrir un peu plus les pages pour respirer un peu les senteurs végétales du Wessex. J'en redemande!
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Encore une oeuvre épique que je ne connaissais pas de Thomas Hardy mais quelle plume...Toujours aussi poète dans ses descriptions de paysage rural. On aurait envie d'aller cueillir les belles primevères qui poussent sur les bords de route, regarder courir les petits lapins dans les champs et ramasser les champignons à l'ombre du grand arbre feuillu...
En fait, le petit village tout simple de Mellstock est si bien décrit et représente tellement bien l'Angleterre du début du XIXè siècle qu'on aimerait faire une bonne régression dans le temps pour aller y jeter un oeil...A rajouter à tout cela, malgré quelques longueurs dans les premiers chapitres, une belle histoire d'amour qui débute entre Dick et Fancy...mais connaissant la plume de Hardy, les deux tourtereaux arriveront ils à leur fin? Je vous laisse le plaisir de le découvrir en lisant ce livre...
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La veille de Noël, la chorale du hameau de Mellstock passe de maison en maison pour chanter sous les fenêtres. C'est là que le Dick Dewy aperçoit la ravissante Fancy Day, nouvelle institutrice du village. Pendant toute une année, au fil des quatre saisons, le jeune homme tente de convaincre la belle coquette de l'épouser. « Il a trop de regards pour une fenêtre où personne n'apparaît, ses chaussures reluisent d'une façon suspecte, il a des yeux inquiets, il consulte souvent l'horloge. [...] Dick est un homme perdu. » (p. 78) Éperdu d'amour, sans aucun doute, et bien décidé à surpasser les autres soupirants de la vaniteuse qui n'aime rien tant que les compliments. « le visage d'une jeune fille suffit à faire la pluie et le beau temps. » (p. 101) le coeur de la demoiselle restera-t-il honnête ou sera-t-il changeant comme la girouette entraînée par le vent ?

Ce roman est le premier succès de l'auteur anglais, après un premier roman gothique largement décrié par la critique. On y retrouve en germe les thèmes qui seront développés dans Loin de la foule déchaînée, bien que Fancy n'ait pas l'épaisseur de Bathseba. Ce que je retiens surtout de cette lecture, c'est l'ode à la nature et aux saisons sempiternelles. Avec ce roman champêtre, rustique et réaliste, Thomas Hardy pose les premiers traits du Wessex, son Arcadie anglaise que je retrouve avec plaisir dans tous ses autres romans.
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Ce Thomas Hardy ne manque pas de charme mais il ne m'a pas autant séduite que le maire de Casterbridge ou Les Forestiers par exemple. Il faut dire que c'est un de ses premiers textes.
Comme toujours chez Hardy il est question d'amour entre personnes de niveaux différents. Et comme toujours nous sommes au sud ouest de l'Angleterre dans la région fictive du Wessex.

Ici il s'agit de Fancy, fille d'un simple forestier qui a accumulé quelques biens en vue de les laisser à sa fille. Celle-ci a reçu une éducation à la ville pour être institutrice bien que travailler ne soit pas pour elle une nécessité. Cette jeune fille outre son éducation a pour elle un physique très séduisant et dès son retour attire plusieurs célibataires. Parmi ceux-ci Dick fils d'un fermier et carrier et qui n'a pas la même éducation mais qu'elle ne repousse pas sans vraiment l'encourager. Mais aussi deux hommes d'église.

A lire pour la vie paysanne et la musique très présente.

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Défi Solidaire 2024

Une belle peinture, charmante, poétique et simple, du Wessex, ce comté anglais fictif, dans la campagne anglaise du 19e siècle. Les quatre saisons passent et l'ouvrage, en dépit de la lenteur du rythme, se lit assez vite. Je l'ai lu en musique, car il s'y prête, et notamment en écoutant la 5e symphonie de Schubert https://www.youtube.com/watch?v=cdLuvGsjwlA. La nature, comme l'indique le titre, est davantage qu'un arrière plan ornant le récit. Cet ouvrage est une peinture, notamment des scènes de genres néerlandaises, et comme l'indique le préfacier, ce livre comme Mme Bovary a l'intention d'être un livre "sur rien", sinon sur les moeurs de province. Et à propos de peinture, le personnage de Fancy Day est introduit par une nature morte, car on voit d'abord son soulier apporté par le cordonnier, posé sur la table. Ce qui montre la fascination que le personnage suscite. Il est aussi question de musique, puisque l'orgue de l'église remplace le choeur, ce qui suscite l'inquiétude.

Ce charmant roman est moins tragique que d'autres livres de Hardy, j'ai lu Tess d'Uberville il y a longtemps, également champêtre mais beaucoup plus sombre. La sagesse populaire, son bon sens, sont présents tout au long du roman, avec des trouvailles assez amusantes, comme le cordonnier qui est "savant" car il connaît les gens par leurs pieds. de petits traits d'esprit qui ponctuent ce charme plat d'un peu de vivacité, ex. un personnage mal à l'aise comparé à une nation européenne. Ou bien, Dick qui dessine la carte d'Angleterre avec de l'eau tombée d'un vase. Ou, par exemple, une scène où Fancy Day se fait piquer par une abeille (la pauvre) et où ses deux "amoureux" courent lui chercher une pommade.

La simplicité de l'intrigue est, à mon sens, l'atout et le défaut du livre. Et on reste un peu sur sa faim pour certaines choses. Par exemple, on sait que Fancy Day est maîtresse d'école, mais on ne sait rien sur son travail. Alors qu'en soi ça aurait pu être intéressant. Elle est peinte en femme frivole et coquette, alors que c'est aussi une demoiselle qui craint de devenir une femme rangée (ce qui explique peut être qu'elle fasse languir ses prétendants, ce n'est pas une coquette superficielle, ou pas uniquement). de même, on voit peu Mr Maybold, qui en dépit de son importance pour l'intrigue fait figure de personnage secondaire, et on reste sur sa faim, d'autant plus que la scène où on le voit négocier avec le choeur pour retarder le remplacement par l'orgue est délicieuse.

La simplicité de l'intrigue, dans le fond, me fait me dire que je n'ai pas lu ce livre pour l'intrigue (malgré l'aspect "naturaliste" qui rend l'intrigue schématique intéressante) mais pour les "scènes" naturalistes, car Hardy écrit par scènes, avec beaucoup de sauts dans un temps linéaire.

Donc bien que je reste sur ma faim sur certaines choses, j'ai pris plaisir à le lire.
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Quatrième de couverture :
Dans le paisible village de Mellstock, à la veille de Noël, l'arrivée d'une nouvelle institutrice est au coeur de toutes les conversations. Sans que nul l'ait encore vue, Fancy Day, une enfant du pays, fait déjà tourner les têtes des célibataires du comté.
Dick Dewey, un jeune fermier, est le premier à lui faire des avances. Tombé fou amoureux au premier regard, il finit par la demander en mariage dans le plus grand secret. Mais un autre homme n'est pas indifférent aux charmes de la jeune femme : Mr Maybold, le vicaire, qui l'invite à se joindre à la chorale de la paroisse comme organiste. A son tour, il s'offre à l'épouser. Or Fancy, frivole et capricieuse, fait languir ses prétendants, bien consciente qu'il lui faudra renoncer à son indépendance lorsqu'elle sera mariée.
Dans un labyrinthe de passions, "Sous la verte feuillée", paru anonymement en 1872, dresse une fresque pleine d'ironie et de mélancolie du monde rural cher à Thomas Hardy. de cette histoire tissée de savoureux malentendus, où s'affrontent pour une femme une âme candide et un notable respecté, ne subsistera qu'un secret bien gardé par la fantasque Fancy...
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Pour débuter ce mois d'aout et clôturer mes vacances, j'ai eu très envie de retrouver la plume de Thomas Hardy dont je trouve le délice, la poésie ainsi que le dépaysement idéaux en cette période estivale. J'ai donc pris un immense plaisir à flâner un très court instant en ces paysages apaisants, accompagné de personnages hauts en couleur.

Cependant et n'étant que le second écrit de l'auteur, Sous la Verte Feuillée – ou Quatre Saisons à Mellstock selon l'édition – ne renferme pas toute la profondeur ni la mélancolie de son style que j'aime tant mais laisse largement entrevoir le talent à venir de celui-ci. En effet, bien que peu aérienne qu'à l'accoutumée, la plume de Thomas Hardy n'a cessé de se dévoiler d'une douceur et d'une poésie pure et infinie. Fortement axée sur le visuel de son univers, j'ai adoré découvrir le cadre idyllique et champêtre de cette oeuvre à travers une année et ses quatre saisons offrant de magnifiques descriptions et de vives sensations d'évasions campagnardes. Même si ce procédé reste propre et coutumier à l'auteur, je suis toujours autant charmé par ses merveilleuses ballades bucoliques et ses paysages ruraux dépaysant au possible. de plus, c'est agréablement surpris que j'ai découvert une certaine tonalité musicale propre à cette oeuvre qui lui confère une dimension poétique importante et totalement enivrante. Ainsi, ce roman a littéralement raisonné et vibré en moi et je me suis plus d'une fois imaginé au coeur de cette chorale aux douces tonalités et entouré d'odeurs de pins et autres conifères. de plus et bien que moi profond cette fois-ci, Thomas Hardy dresse le portrait d'une société en pleine évolution et dévoile les prémices du choc des cultures à venir entre la vie agricole et celle bien plus mondaine et citadine. Ces différences de cultures sont amenées grâce à l'arrivée d'une nouvelle institutrice, Fancy ainsi qu'un nouveau vicaire, Mr Maybold désireux d'apporter une touche de modernisme à l'église. Ces fraîchement venus bousculerons le coeur et les moeurs de nos villageois et permettront à l'auteur d'offrir à son roman une certaine touche initiatique.

Ce semblant roman d'apprentissage est porté par les premiers émois amoureux de Dick pour la belle et séduisante Fancy. J'ai vraiment aimé la justesse et la fraîcheur de ses sentiments et même s'il semble manquer de grandeur, notre jeune choriste n'en reste pas moins sympathique et plaisant à découvrir. D'autant plus qu'il ne sera pas le seul à tomber sous le charme de notre jeune institutrice. Ainsi, cette dernière fera tourner bon nombres de têtes sur son passage et s'amusera de ses charmes. Pour autant et bien qu'assez vaniteuse et superficielle, j'ai fortement apprécié ce personnage pour le contraste qu'elle apporte et qui oppose ces différentes cultures. Cette dernière se dévoile finalement bien plus moderne et avant-gardiste que ses compères. Ainsi l'amour est le fil conducteur de ce roman et c'est avec entrain que j'ai suivi cette idylle dont l'évolution se dévoile être une parfaite métaphore aux changements changement de saisons.

Ainsi et tout en tonalité, le récit de Thomas Hardy ne cesse d'évoluer au rythme de la vie et de ses saisons et se dévoile être une véritable ode à la campagne et à l'amour. Une fois de plus, ce dernier m'a aisément transporté dans son univers et a fait naître en moi d'incroyables émotions grâce à son style dépaysant et sa plume harmonieuse.
Lien : https://mavenlitterae.wordpr..
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