AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,19

sur 5292 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un livre qui vous happe! Nell et Eva se retrouvent sans parents dans la foret, et pour des raisons que l'on ignore coupées du monde, sans essence, ni électricité, ni courrier, ni téléphone. Il faut apprendre à vivre au quotidien avec le peu que l'on a.
C'est très glauque et oppressant par moments, le livre est bien écrit, nous avons de nombreuses descriptions de la nature et de la foret qui nous permettent de supporter ce huis clos.
Comme le dit un internaute avec justesse, cette fois-ci, c'est la fin d'une civilisation qui n'est pas due à des extraterrestres comme dans les autres romans de science-fiction, nous sommes seuls responsables de la destruction de notre planète et des conséquences qui en découlent.
Le récit est excellent dans la mesure où nous ne savons que ce que sait Nell et qu'elle note dans son journal, nous n'avons pas davantages d'informations qu'elle n'en a, c'est très réaliste.
En dépit de quelques invraisemblances, le récit est crédible et arrivé au milieu du livre , on ne peut plus le lâcher!
J'ai appris avec surprise qu'il a été publié il y a déjà 20 ans aux états-Unis, et seulement traduit récemment en français: c'était donc une vision assez prophétique!
Je reste à la fin de ce livre avec un certain malaise, probablement désiré par l'auteure!
C'est un livre à ne pas lire en période de déprime ou d'insécurité ;) !
C'est un livre utile à notre société de consommation effrénée afin d'ouvrir enfin les yeux sur ce que nous faisons de notre planète, sur notre gaspillage.
Merci donc à son auteur. ma note est de 4/5
Commenter  J’apprécie          341
Je dois faire partie des seuls lecteurs à ne pas avoir aimé ce roman morose et sans grand intérêt en dehors de certains passages intéressants. J'ai eu le sentiment d'une inégalité dans ce roman contemplatif, et je n'ai pas réussi à m'attacher à un personnage.

Par contre, il va sans dire que l'autrice écrit vraiment bien, sa plume m'a assez transporté pour me faire terminer jusqu'au dernier mot le roman alors que je n'ai pas tellement apprécié 😵

Après réflexion, j'ai bien aimé l'ambiance qui s'y dégage, mais beaucoup moins le fait que l'une des soeurs est H24 dépressive (comme par hasard, on vit l'histoire à travers elle). du coup entre elle et l'ambiance un peu lourde tout le long, c'est assez écrasant.

J'aime le fait qu'on parle du retour à l'animalité, de trouver et de conserver son instinct de survie. Car pas grand-chose ne nous prépare à un tel événement. Combien de nous pourraient se vanter de s'en sortir indemne ?

Mais ici, les soeurs ont tout pour s'en sortir : potager, accès à l'eau, à de l'essence et à une bibliothèque personnelle... Ce qui est peu probable en réalité.
Commenter  J’apprécie          181
Je ne sais pas si c'était le bon moment pour aborder ce livre. Une histoire qui se passe dans un monde bouleversé et rétréci par un/des évènement(s) immaitrisables… çà ne vous évoque rien ?

Peut-être est-ce que cela est trop proche de notre réalité pour que j'apprécie ce livre. Je suis restée spectatrice-lectrice et seule la curiosité m'a fait aller jusqu'au bout pour essayer de trouver ce qui avait tant touché les 80% de babélionautes ayant posté une critique élogieuse, voire très élogieuse. Et je n'ai pas trouvé…

Peut-être relirai-je ce livre dans une période moins anxiogène... mais rien n'est moins sûr !!
Commenter  J’apprécie          185
Il est toujours un peu périlleux de s'attaquer tardivement à un roman devenu un best seller, dont tout le monde a parlé, que tout le monde a lu, parce qu'à travers le regard des autres, on investit déjà le livre, on s'en fait une idée, on se créé des attentes.

Et il est encore plus difficile de s'y attaquer quand le sentiment est absolument unanime sur le livre, comme en l'espèce, où tant la critique que les lecteurs se sont montrés dithyrambiques à l'égard de ce premier roman de l'américaine Jean Hegland.

J'attaquais donc Dans la forêt avec la confiance des innocents... et comme eux, je me suis heurtée à l'incompréhension la plus totale de l'opinion de mes contemporains.

Car il faut le dire, je suis passée, mais alors, à mille lieues à l'ouest de cette fable écolo-romantique un peu niaiseuse, qui ne m'a procuré qu'un vague sentiment d'ennui, et parfois d'agacement, ne lui enlevons pas cela.

Nell et Eva ont 17 et 18 ans, elles sont soeurs et vivent au milieu des bois, où leurs parents les ont élevées, non pas en les coupant totalement du monde, mais en décidant d'en rester à la marge.

En quelques mois, la famille voit ses conditions de vie changer au rythme des coupures de courants, d'eau... le monde vacille, puis s'écroule.

A l'instar des deux protagonistes, isolées dans leur forêt, le lecteur ne sait pas vraiment ce qu'il s'est passé (et jusque là c'est d'ailleurs plutôt bien vu) l'économie semble avoir sombré, s'ensuivent les pillages, les violences, les maladies...

Les deux ados et leur père (la mère est vite évacuée de l'histoire, c'est peut être un peu dommage d'ailleurs) errent dans ce monde qui se vide de ses vivants, essaient de continuer leur vie, presque comme avant.

Pour le coup, la manière de l'auteur de décrire cette sorte de stupéfaction paralysante qui frappe la famille, persuadée que les choses vont revenir à la normale, que ce n'est qu'une question de jours, de semaines au pire, est plutôt bien vue.

On comprend bien le désarroi, le refus de s'avouer qu'on vient de tout perdre, qu'il va falloir se réinventer.

Et puis à un moment le père meurt, les deux gamines se retrouvent seules, et là, franchement, c'est le drame.

Le roman, qui jusque là se voulait précisément un roman ultra réaliste, concret, loin des clichés de livres ou films post-apocalyptiques remplis de gens qui se découvrent super-héros du jour au lendemain, bascule vers un mélo débilitant où l'auteure nous apprend qu'on peut faire des tisanes avec les plantes et faire sécher des tomates au soleil...

Le gros problème, en sus de la naïveté un peu gênante de cette deuxième partie du livre, c'est son absence totale de cohérence.

Voilà donc deux enfants de la forêt, déscolarisées elles ont passé leur temps à courir entre les arbres et s'inventer des histoires au creux de vieilles souches, et dont on nous explique qu'elles découvrent, à 17/18 ans, qu'on peut manger des fraises bois et faire pousser des légumes...

Pardon, mais à quel point faut-il n'avoir jamais mis les pieds à la campagne pour croire à pareil discours?

L'auteure elle-même semble bien consciente de la difficulté puisque, pour parer cette dernière, elle invente à la mère (qui est morte, c'est pratique) accrochez-vous, une phobie des sangliers et des baies sauvages...

Donc voilà, la maman a interdit à ses fillettes de s'approcher des plantes... après avoir décidé de vivre au milieu de la nature, loin du bitume et des hommes... donc elles savent pas, les pauvres...

Soyons sérieux un instant, tout ceci ne fait pas sens.

ATTENTION DIVULGÂCHAGE: Aussi on s'y attendait bien, au milieu de ses considérations de survie, il fallait ramener de la tension et je vous le donne en mille, quoi de mieux qu'un viol hein, évidemment... L'événement intervient de manière parfaitement inopportune, c'est mal amené, c'est mal décrit, c'est mal tout court. Et là comble du comble, la soeur dont on nous rabâche depuis 150 pages qu'elle est une danseuse anorexique, qui n'a ses règles qu'une fois tous les 3 ans, alors qu'elle est affaiblie, anémiée, affamée, et ben bien sûr elle tombe enceinte... Premier coup, c'est pas de bol et c'est surtout pas crédible une seconde. FIN DU DIVULGÂCHAGE

Au delà des incohérences du fond, sur la forme, on n'atteint ni la canopée, ni les sommets de la littérature.

Certains moments sont mêmes très gênants:

"Je n'ai jamais vraiment sur combien nous consommions. C'est comme si nous ne somme tous qu'un ventre affamé, comme si l'être humain n'est qu'un paquet de besoins qui épuisent le monde."

Là déjà, j'ai pleuré un peu, mais accusons la traductrice, après tout... Quoiqu'il en soit, poursuivons:

"Pas étonnant qu'il y ait des guerres, que la terre et l'eau et l'air soient pollués. Pas étonnant que l'économie se soit effondrée s'il nous en faut autant à Eva et à moi pour rester tout bonnement en vie".

Sérieusement... on dirait le discours d'une candidate Miss France, et personne, en voulant rester honnête, ne peux dire le contraire.

Le discours est convenu, amené avec des ficelles tellement énormes qu'on dirait des câbles électriques.

Je n'ai rien contre le fait d'enfoncer des portes ouvertes, c'est un peu le mal de notre temps, mais qu'au moins ce soit fait avec panache!

C'est tellement bien pensant, c'est comme un western des années 50 mais sans le charme kitsh de ces nanars adorables...

En fait de nature writting, il existe tellement de choses meilleures, rien que cette année, chez nous, Vincent Almendros sortait aux Editions de minuit son Faire mouche qui, avec une surprenante économie de mots, nous plongeait directement la tête dans l'humus.

Je ne peux pas vous dire de ne pas lire Dans la forêt, tout le monde à aimé, pour autant, lisez plutôt McCarthy, Gabriel Tallent, Vincent Almendros... et, si vous êtes adepte de survivalisme naïf, les Manuels des Castors Juniors, qui eux vous apprendront comment allumer un feu ou construire une vraie cabane.
Lien : https://chatpitres.blogspot...
Commenter  J’apprécie          178
On m'avait prêté ce livre m'assurant que j'allais l'adorer.. comment vais-je donc dire que je n'ai absolument pas vu quoi adorer et que je ne vais pas rejoindre les milliers d'étoiles de Babelio, oups. J'ai trouvé le rythme extrêmement long et pessimiste. Evidemment, on part d'un monde très réaliste, ça pourrait nous arriver d'ici quelques années : plus d'essence, plus d'électricité, maladies bénignes non guérissables, survie apocalyptique sans qu'on ne devienne des zombies... des sujets très actuels. Deux jeunes filles, soeurs, vivent en forêt et ont perdu leurs parents à cause de la maladie et d'un accident. Tout ce roman tourne autour d'elles, de leurs passions et de leurs apprentissages de survie en forêt avec des passages encyclopédiques sur les herbes et plantes. Mais c'est déprimant car elles essuient malheurs sur malheurs, je n'ai vraiment pas réussi à avoir de l'espoir et un peu de lumière dans ce roman, ça laisse une trace péjorative dans ma vie de lectrice !

PS : Faut pas lire ça quand on voit le monde en noir et qu'on flippe pour la planète.
Commenter  J’apprécie          160
Ce livre a eu un succès retentissant et pourtant il ne m'a pas plu, je l'ai trouvé ennuyeux. Je pense qu'en fait le style « nature writing » ne me convient guère. Ma chronique sera courte car je ne désire pas m'étendre sur les livres que je n'ai pas aimés, sauf s'il s'agit de partenariat; dans ce cas il faut justifier en détail une critique négative. Pour ce livre qui ne manque pas de laudateurs, mon avis n'est pas très important.

Nell, dix-sept ans, décrit dans son journal la vie de sa famille alors qu'une catastrophe indéfinie survient en Californie et dans le reste du pays. Les causes ne sont pas décrites, mais la civilisation s'est effondrée. Elle vit avec sa soeur dans la forêt, à cinquante kilomètres de la ville la plus proche. Leur mère est décédée d'un cancer au tout début des troubles quand l'électricité ne connaissait encore que de rares coupures. Celles-ci sont devenues de plus en plus fréquentes jusqu'à ce que l'électricité et le téléphone disparaissent complètement. Les filles sont scolarisées à la maison, la forêt était leur terrain de jeu jusqu'à ce qu'Eva se prenne de passion pour la danse classique jusqu'à l'obsession, ce qui la sépare de sa soeur. Nell lui en veut beaucoup et ce ressentiment durera presque tout le livre, son rêve à elle est d'entrer à Harvard. Durant la maladie de leur mère et tant qu'on trouve de l'essence, les filles et leur père passent la soirée du vendredi en ville où Nell tombe amoureuse d'Eli. Puis le père décide d'un dernier tour en ville pour acheter les provisions encore disponibles avant que la forêt se referment définitivement sur eux. le père jardine et fait des conserves tandis que les deux filles dansent et étudient en attendant le retour à la vie normale.

Le père meurt accidentellement et durant un an les filles devront remettre en question leurs attentes et leurs rêves. Au début des troubles, elles attendent juste le retour à la vie normale, la forêt leur semble hostile et sans intérêt. Peu à peu Nell commence à l'explorer et à découvrir ses richesses cachées, elle s'identifie aux femmes indiennes qui y vivaient autrefois.

Il y a peu d'action, le livre est essentiellement centré sur les relations entre les deux soeurs. Il y a de nombreux conflits, mais Nell n'arrive pas à quitter Eva, même quand Eli vient la chercher pour traverser le pays. le rapport à la civilisation et à la nature ainsi qu'à la liberté de choisir sa vie sont les thèmes les plus importants de ce roman. C'est le troisième livre « nature writing » que je lis en quelques mois, mais il ne me plaît pas plus que les deux autres, je dois être réfractaire à ce genre.
Lien : https://patpolar48361071.wor..
Commenter  J’apprécie          123
La fin de notre civilisation et 2 jeunes filles livrées à elles mêmes au coeur de la foret.

Cela aurait pu être prometteur, mais je n'ai pas accrochée à ce roman, je l'ai trouvé oppressant, je ne sais pas si c'est la description de la routine de chaque journée ou le comportement parfois puéril des personnages et aussi incompréhensible.

Pour dire que malgré la magnifique couverture ce roman n'était malheureusement pas fait pour moi.
Commenter  J’apprécie          110
« Dans la forêt », rien que son titre me plaisait et sa quatrième de couverture laissait présager une histoire qui allait forcément me plaire. Je l'ai d'ailleurs fortement apprécié… Jusqu'à un certain point. le premier tier de l'histoire m'a vraiment parlé malgré la lenteur dans le rythme. J'ai trouvé intéressant de suivre les personnages et de constater les changements (matériels, sociaux,…) issus de l'effondrement de la société telle qu'ils la connaissaient jusque-là. Souvent, lorsqu'on est face à un roman d'anticipation et à des sujets apocalyptiques, il est question de soudaineté et de (beaucoup) violence. de manière générale, lorsque la fin du monde arrive, on tape des zombies, on meurt d'un virus foudroyant ou on se fait tout bonnement atomiser par une bombe ou un météore mais ici, il n'en est rien. J'ai été séduite par cette vision et je l'ai d'ailleurs trouvée très vraisemblable, ça ne m'étonnerait pas que le déclin du monde civilisé se passe de cette manière en tout cas.

Et là, ça bloque. Je me demande pourquoi nos personnages s'entêtent autant à vouloir continuer à vivre « comme avant », est-ce du déni? Au début, ça y ressemble et puis ça devient franchement inquiétant. Pour planter un peu le décor, nos deux adolescentes ont vécu toute leur vie un peu en marge du monde, dans leurs maisons entourées d'une forêt mais elles ne réalisent qu'après presque 1 an et demi de galère qu'elles peuvent aller y cueillir des choses. L'une d'entre elle a pourtant toujours la tête fourrée dans les encyclopédies mais jamais il ne lui viendrait à l'esprit de regarder dans les autres livres, sur le jardinage et les plantes par exemples? L'explication derrière cette méconnaissance de la forêt, c'est que leur maman en avait peur (braves petites filles obéissantes, va!), là encore je répète qu'ils vivent dans la forêt. Pour moi, ça n'a vraiment aucun sens que des personnes ayant choisi de s'isoler des villes pour se rapprocher de la nature soient aussi peu dégourdis. Seul le papa semblait savoir ce qu'il faisait mais il n'a jamais pensé à transmettre quoi que ce soit à ses filles (qui étaient scolarisées à la maison hein), bizarre.

Bon, tout cela est très étrange mais je décide de jouer le jeu et je calme un petit peu mon agacement. Quand soudain, c'est le drame. Je ne veux gâcher la lecture à personne donc je dirai juste qu'il arrive quelque chose de grave à l'une des deux soeurs et que j'ai tout simplement failli arrête ma lecture à partir de ce moment-là. J'ai trouvé que c'était gratuit et vulgaire, c'est vraiment le genre de chose qui m'énerve tant c'est banal dans la fiction. de plus, les conséquences de cet événement sont illogiques et rendent l'histoire d'autant plus inconsistante. Pour celleux qui ont lu uniquement (ça spoile!) :

À partir de ce moment-là, ça n'a été qu'une succession de déceptions et d'énervements pour moi, je veux bien que le bouquin a été écrit dans les années 90 mais franchement c'est ultra perché. On est passé de jeunes filles paumées qui ne savent pas qu'elles peuvent infuser de la menthe à un délire survivaliste de l'extrême et de femmes-ourse fortes et indépendantes en l'espace de quelques pages, j'ai halluciné. J'aime l'idée d'un retour à la nature mais celui auquel j'ai assisté ici m'est vraiment passé au-dessus de la tête!
Lien : https://cassyown.com/2022/05..
Commenter  J’apprécie          90
Me demande pas pourquoi j'ai attrapé ce roman, j'en sais rien non plus. J'ai jeté un oeil sur la quatrième parce que devant il y avait un petit mot de la libraire qui disait en gros qu'elle avait plutôt bien aimé le bouquin. C'est pas tellement que je sois influençable, mais j'ai assez tendance à lui faire confiance. Et puis, on va pas se mentir, chez Gallmeister, en général, ils ont plutôt bon goût.

Le roman, il a vingt ans.

Vingt-deux.

C'est pas forcément grave, dans le sens où pour ce genre d'histoire, post-apocalyptique, la date a finalement peu d'importance. Regarde « 1984 ». Attention, me fais pas dire ce que j'ai pas dit. On est pas chez Orwell. On est chez Hegland.

« Considéré depuis sa sortie comme un véritable choc littéraire aux États-Unis. Dans la forêt, roman sensuel et puissant, met en scène deux jeunes femmes qui entraînent le lecteur vers une vie nouvelle. »

C'est pas moi qui le dit, t'as compris, c'est l'éditeur.

« Magnifiquement écrit et profondément émouvant, ce roman livre un message essentiel. »

Là non plus, c'est pas moi, c'est le San Francisco Chronicle…

Tu comprends que ça va être chaud si t'aimes pas. Visiblement, le monde entier a dit que ce bouquin-là, c'était un genre de message existentiel dont auquel il fallait pas passer à côté.

J'en ai d'autres, des messages existentiels. Tu te souviens de Stig Dagerman ?

« Quelle pitoyable consolation pour celui qui s'avise que l'être humain doit mettre des millions d'années pour devenir un lézard ? »
La suite sur le blog :
Lien : http://leslivresdelie.net/da..
Commenter  J’apprécie          90
On suit l'aventure de Nell et Eva qui se retrouvent de plus en plus isolées dans leur maison loin de tout dans un monde où l'électricité disparait progressivement, la ville est désertée …
J'ai eu du mal à entrer dans ce livre, aucune information sur le pourquoi du comment, ok ca peut être un point de vue ...
Il s'appelle "dans la foret" mais la forêt n'est pas très présente selon moi. La famille a toujours voulu vivre à l'écart de la civilisation donc la foret et ses richesse devraient être une habitude pour les filles, elles ne devraient pas la découvrir au bout d'un an ...
Les évènements qui leur arrivent m'ont semblés invraisemblables et mal amenés ... bref je me suis ennuyée.
Commenter  J’apprécie          81





Lecteurs (10307) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4873 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *}