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La trilogie des Rats tome 3 sur 3

Nicole Bensoussan (Traducteur)
EAN : 9782265076860
478 pages
Fleuve Editions (04/12/2003)
3.71/5   188 notes
Résumé :
Les rats attendaient leur heure.
Ils n'eurent pas à attendre très longtemps. L'apocalypse nucléaire. Londres rasée, anéantie. Ses habitants carbonisés, irradiés, ensevelis sous les décombres. Mais, pour une poignée d'entre eux, réfugiés dans les abris ou les couloirs du métro, la survie est peut-être encore possible. Ils ne se doutent pas que le pire est à venir. Car, sous la surface de la ville, les rats les épient. Les rats qui ont compris que l'Homme, affa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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"Le cauchemar réalisé."

Carte sur table, je vous dis que c'est le moins bon des trois tomes.
Or, j'avais vraiment hâte de le parcourir et le début était bon.
Un petit laisser-aller peut-être? Trop d'holocauste, pas assez de Rats?
Tentation de tourner les pages réduite au fur et à mesure de l'histoire.
Oui, James Herbert a toujours eu un faible pour ce genre de sujet :

Le gouvernement, la politique, les complots! Il en fait souvent référence.
Alors, que dire exactement sur cette histoire qui me laisse confuse?
Non, je n'ai pas détesté. Tout de même, loin de là.
Avec son style et sa plume, il faudrait être difficile.

L'histoire commence avec l'attaque nucléaire qui touche Londres de plein fouet, tuant des centaines de milliers de personne. C'est l'hystérie, il faut trouver un lieu sûr, survivre. Ce début de roman, m'a captivée car je ne pouvais que me mettre dans le bain! M'imaginer, sachant mes enfants à l'école, loin de moi, avec cette alarme au son tonitruant qui annonce l'arrivé d'un missile! Que faire? Me cacher, ou partir à la recherche de mes petits? Choix évident, même s'il annonce la mort inévitable.

Dans cette partie, James nous dévoile ses talents d'écrivain à nous plonger dans la peau de personne tel que vous, tel que moi. Des gens de tous les jours, qui essaient simplement de s'en sortir, de faire face à l'annonce terrible qui plane au dessus de leur tête. Voila comment nous faisons la connaissance de notre protagoniste : le gentil héros qui veut sauver la terre entière. Celui-ci, par chance, sauve justement un employé du gouvernement qui lui fait part d'une cachette sous terre, un abris, dans lequel ils seraient en sécurité. Encore faut-il atteindre celui-ci.

Viennent ensuite les différentes péripéties.
(Inondation, radiation, rats, rage, attaques d'humains...)

Le problème ne vient pas tant de l'idée de ce Chaos, ni du problème de radiation. Car dans les débuts, il arrivait à placer correctement les rats, leur laissant leur importances. Mais au fur et à mesure de l'histoire, les rats sont devenus un problème parmi tant d'autre. Si on se réfère au second tome, où il avait placé la barre très hauts, nous présentant des centaines de milliers de rats, dont certains aux sens protestataire et anarchiques se rebellaient ==> il n'en est rien ici.

Déçue de ne pas avoir retrouvée le fameux rat à la crête, qui s'était enfui dans le second volet, et déçue aussi de ne pas avoir éprouvé à nouveau l'ampleur de leur force, de leur intelligence, leur suprématie qui m'avait fascinée, effrayée. Alors « OUI », il y a bien des rongeurs. On les voient par épisodes anéantir tel ou tel groupe de personne. Mais tout ceci est bien moins impressionnant.

Les raisons de cette guerre, ne sont pas claires. ON a du mal à savoir si c'est le monde entier qui à été attaqué, ou juste L'Angleterre. Cela était peut-être voulu, mais ça laisse un sentiment de confusion. du reste, l'histoire en gros c'est de survivre à l'attaque... survivre au radiation, survivre à la folie humaine, survivre aux rats. SURVIVRE !

Il y a donc, oui, des défauts à cette ouvrage, contre-balancés aux talents de l'auteur. Je ne le déconseillerais pas, car j'ai passé de bons moments. le héros est sympa, bien que typique. Les autres le suivent comme des moutons. (Scénario habituel, du gars qui prend tout en main, défenseur de la veuve et de l'orphelin). Mais je ne le conseille pas non plus...

Disons que c'était... divertissant.

L.G
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Il convient en préambule de dire que ce troisième tome n'est pas vraiment une suite et que les rats n'en sont, cette fois-ci, pas le sujet principal. Ainsi le titre de ce roman est un peu trompeur et son contenu forcément inattendu.

L'empire des rats est en fait un roman post-apocalyptique qui se déroule à Londres.

Cinq bombes nucléaires déciment la ville et pratiquement tout ce qu'il s'y trouve mais des groupes d'humains ont réussis à survivre aux explosions et tentent de trouver au plus vite un moyen de s'abriter des futures retombées radioactives.

C'est dans ce contexte que nous suivons notre héro, Steve Culver, dans ce livre d'horreur à l'état pur. Il sera confronté aux hordes rats mutants mais également aux milliers de cadavres en putréfaction où de mourants qui, tels des zombies, jonchent les rues et les bâtiments, réclamants de l'aide. Mais ce n'est pas tout, il faudra composer avec les animaux enragés, les inondations, la maladie, les groupes d'humains armés et dangereux... bref, un cocktail qui vous entraînera au plus profond de la terreur humaine. Certains passages dont en particulier les cents dernières pages ne sont pas à mettre entre toutes les mains. Âmes sensibles s'abstenir.

Mon avis reste néanmoins relativement mitigé car l'histoire est un peu "simplette", pas très brillante, juste à peine divertissante. Les personnages ont des réactions et des comportements assez peu logiques et font toujours les choix les plus idiots. C'est un peu le cliché du film d'horreur ou il faut toujours que les personnages se jettent bêtement dans la gueule du loup et meurent.

Note 3/6
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C'est avec mon amie Saiwhisper, que je lis avec elle, le livre «L'empire des rats», le troisième opus, de la trilogie. James Herbert est toujours un auteur, que j'affectionne beaucoup, par son talent de conteur et ses histoires incroyables, intenses et inimaginables.



Électrique, Sanglant, Terreur

Fuyez pauvres gens, la terre se déchaine, le sol s'écroule et en plus les radiations fusent de partout. C'est le chaos et attention, alerte, alarme, ça sent les rats, qui approchent. À vos risques et périls, car c'est la panique, la catastrophe et la dévastation à bord.
C'est avec ma copilote Sai, que nous accompagnons les personnes qui se présentent à nous, et c'est beaucoup de personnages différents. Parmi eux, on va à la rencontre des personnages principaux, qui forment également un groupe. C'est avec eux, qu'on fait l'excursion et ils essaient de s'en sortir, du mieux qu'ils le peuvent.



On plonge assez bien dans l'univers, que James Herbert nous offre. J'apprécie beaucoup ses personnages, les ambiances et les thématiques sont bien mit en avant. le début est assez réussi, l'atmosphère apocalyptique est assez présent dans le livre et on ressent bien le climat malsain, qui s'installe. On constate qu'il n'a pas que des rats à combattre, que la mort s'épreigne partout. Il faut être constamment sur nos gardes, car le danger est partout.
Au fil des pages, l'auteur James Herbert parvient à garder mon attention mais je m'aperçois de quelques lacunes. Je trouve que le récit s'étend beaucoup et qu'il manque vraiment l'élément de terreur, autour des rats. Je perçois aussi que les événements sont un peu prévisibles et que les rats ne se manifestent moins même si on comprend mieux à la fin.



Le petit moins:
Je remarque que l'action autour des rats ne vient que plus tard et qu'il manque bien un vrai affrontement. Je suis un peu déçue et je m'attendais à plus.

Le petit plus :
J'approuve ses thématiques sur l'environnement, sur la survie et sur l'humanité. Grâce à ses descriptions fortes, imagées et précises, on s'y croit sur place. L'action peut se passer à plusieurs niveaux, les lieux sont bien choisis et on peut s'imaginer très bien les décors. On peut aussi déceler un humour sarcastique selon le contexte.



Des petits clins d'oeil :
Je me rappellerai toujours la scène des humains, qui défie le groupe, elle mérite à être souligné ainsi que les rats également dans le bunker, on saisit bien la haine qui est discernée aux humains. Je suis également émue par une scène touchante à la finale.

Des questions ouvertes :
À votre avis, combien de survivants, restent- ils dans le groupe, à la fin ? Est-ce que c'est si important d'être un petit groupe pour survivre ? Est-ce qu'il faut être indifférent aux autres qui souffrent sur notre passage ? Est-ce que c'est toujours les plus forts qui s'en sortent ?



Il reste que c'est un très bon moment de lecture. C'est toujours un plaisir pour moi, de lire ses livres à James Herbert, même si je dois l'avouer, je ne le fais plus souvent. Je suis contente d'avoir fini sa trilogie, j'en garde une très belle impression.
Je n'oublierai pas les personnages principaux comme Culver, Dealer, Kate. Des questions se défilent au moment de la lecture : «Est-ce qu'on agira comme eux ?», «Qu'est-ce que sera à ce moment-là notre attitude face à la survie, aux dangers et à la mort ?»
On réalise aussi la bêtise humaine, le côté noir de l'humain, ainsi que l'instinct des bêtes. Il aborde aussi des sujets très intéressants à propos de la génétique, les secrets du gouvernement, et des expériences en laboratoire. Je crois moi-même, que s'il l'avait voulu, il aurait pu faire une suite, mais cela c'est juste mon opinion.
Pour finir, je me rends compte, que je n'aimerais pas me trouver en face de ces rats. Je me vois crier alors : «Sauve qui peut». Si vous voulez savoir quel sort que leur réserve James Herbert, alors lisez cet opus.
Je remercie également Saiwhiper, d'avoir lu avec moi le roman «L'empire des rats», car sans toi, je manquais de courage.
C'est toujours un bonheur de lire avec toi et c'est toujours un beau partage nos échanges, que je fais avec toi, autour de ce livre. Grâce à la lecture, que j'ai fait ta connaissance et je te remercie pour notre belle amitié, qu'on partage à tous les jours.
Je remercie Nadou qui m'a inspirée également à rédiger ma critque.



Je conseille d'aller lire sa critique, à ma copilote, car je crois que nos avis se rejoignent. Et voilà, je termine donc ma lecture pour cette trilogie.

Siabelle
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Et voilà ce dernier opus des rats se termine enfin pour moi !! Je n'aime toujours pas les rats qu'ils soient mutants ou non ; mais j'ai tenu bon et lu le livre jusqu'au bout... La fin est dure, très dure.. Un livre vraiment pour un public averti. Je crois que le summum de l'horreur est atteint dans les descriptions de James Herbert.

Néanmoins, dans ce tome on retrouve une accumulation de cataclysmes .... des attaques atomiques, des animaux enragés, une population malade et dangereuse, .. et bien sur les rats. C'est un peu de trop pour ma crédibilité. Mais il faut avouer que l'auteur est suffisamment doué pour nous faire voyager au pays de l'inimaginable

J'ai mis 4 étoiles parce qu'il n'en existe pas des demi, mais ma note véritable serait un 3.5

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Et voilà le dernier tome de la saga des rats qui passe entre mes doigts… Lorsque Siabelle m'a proposé de le lire avec elle, j'ai accepté sans hésiter, car c'est grâce à elle que j'ai découvert la plume de James Herbert. Cet ouvrage se démarque assez des deux autres opus : on commence directement dans l'action avec une ambiance explosive qui fait énormément de morts. Les bombes lâchées dans une ville de Londres changent complètement la dynamique : on est confronté à un climat de peur, de mort et d'horreur dès le départ. Les décès et les explosions touchent tout le monde, quel que soit leur âge ou leur métier. C'était une atmosphère à glacer le sang ! Entre quelques morts, on va discerner Culver et Dealey, un duo d'hommes qui va réussir à se sauver et à se cacher dans une sorte de bunker où ils trouveront d'autres rescapés dont Kate… Mais sont-ils réellement en sécurité ? N'auraient-ils pas dû faire attention aux avertissements de la foule qui a rencontré des bêtes agressives et voraces ? Très vite, les survivants réalisent qu'ils sont comme un gros frigidaire pour la vermine : cette dernière n'a plus qu'à trouver comment l'ouvrir !

Avec une telle entrée prometteuse, je m'attendais à énormément de choses. Les personnages parlaient de mutation et de retombées radioactives… Ainsi, je pensais que cela apporterait un changement physique supplémentaire du côté des rats. Hélas, on est resté dans un univers post-apocalyptique assez classique. Sur le fond, ce n'est pas mauvais. On a tous les codes du genre : de la survie, des tensions parmi les survivants, la gestion des vivres, les expéditions et les rencontres malintentionnées. La vermine n'est plus le seul danger. C'est toujours bien écrit et on imagine bien les scènes… Malheureusement, comme je l'ai dit plus haut, j'avais d'autres attentes. Les rongeurs sanguinaires sont longtemps un prétexte ou un simple fond : entre deux scènes dans le bunker, on a de temps en temps des assauts effroyables. C'est très épisodique. de plus, la confrontation des rats est finalement assez tardive… Sans parler du combat final contre la reine qui est expédié en deux pages ! Ainsi, cette ambiance post-apocalyptique fait à la fois la force et la faiblesse de cet ouvrage.

En dépit de ce style immersif, j'ai ressenti tout de même quelques longueurs, un héros trop gentil et mis en avant (les autres personnages gravitent autour de lui et le suivent aveuglément), ainsi que des facilités : les personnages principaux s'en sortent souvent trop facilement. Heureusement, la conclusion m'a fait changer d'avis, car les héros sont loin de s'en sortir complètement indemnes. J'ai également beaucoup aimé l'idée soulevée à la fin par Culver… Ce fut une lecture satisfaisante, toujours aussi gore et terrifiante par moment, mais avec ses faiblesses. J'avoue avoir préféré les deux autres tomes, car je m'attendais à plus de rats. C'est une question de goût… Merci encore à Siabelle pour cette lecture commune. J'ai hâte de poursuivre avec elle mon aventure made in Herbert avec « La conspiration des fantômes »…

Lien : https://lespagesquitournent...
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Il se leva légèrement, tenant la torche devant lui. Le faisceau éclaira un pied, une jambe, un torse, les yeux jaunes diaboliques de l'animal accroupi sur la poitrine béante de l'homme. La créature plongea son groin sanguinolent au fond de la blessure, déchiquetant la chair de ses énormes incisives. Elle interrompit son festin. Regarda l'homme à la torche.
- Dealey (Il gardait une voix calme sans toutefois pouvoir en contrôler les tremblements.) Avancez vers moi, lentement, lentement.
L'autre homme fit exactement ce qu'on lui demandait, l'effroi trahissait la voix de Culver étant un avertissement explicite. (...
- Qu'est-ce que c'est ? murmura Dealey.
- Des rats, dit calmement Culver en respirant longuement. Mais je n'en ai jamais vu de semblables. ils sont énormes, ajouta-t-il, étonné devant cet euphémisme.
- Ont-ils un pelage noir ?
- Tout est noir, là-dedans.
- Mon Dieu, non, ça ne va pas recommencer. Pas dans un moment pareil.
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- Attendez une minute. Il y a quelques années, il y a eu une invasion de rats noirs. Prétendez-vous qu'il s'agit du même type de bêtes voraces ? Pour l'amour de Dieu, on nous a dit qu'ils avaient été exterminés.
- Je ne les vois pas, aussi ne puis-je vous l'affirmer. Ce n'est pas vraiment le moment d'en discuter.
- Bon, je suis d'accord avec vous sur ce point. Mais que suggérez-vous ? Que nous les chassions ?
- Voyez-vous la porte de l'abri ? Nous ne devrions pas être loin.
À contrecoeur, très lentement, Culver promena sa lampe sur la scène de carnage. Il tressaillit en apercevant un enchevêtrement de formes humaines déchiquetées et refoula un haut-le-coeur devant le spectacle des créatures qui mâchaient leurs victimes. Il ne s'était jamais rendu compte que le sang avait une odeur aussi forte. Il fut glacé d'horreur en voyant un rat s'approcher d'eux furtivement, son corps au ras du sol, l'arrière-train courbé et tendu. Le faisceau de lumière se refléta dans ses yeux et la créature s'immobilisa. Elle détourna le regard de la lumière aveuglante et recula un peu, impassible, se glissant à nouveau dans l'obscurité, sans hâte.
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Ils se regroupèrent sur le seuil, braquant tous leurs torches sur le carnage à l'intérieur de la billetterie. Ils repèrent vite ce qui avait provoquer la réaction de Fairbank.
Le rat noir était énorme, il mesurait presque soixante-dix centimètres. Sa queue courbée écailleuse en faisait au moins trente-cinq. Il avait le pelage raide, terne et sec, l'arrière-train massif bombé, comme prêt à rebondir. Mais les yeux jaunes diaboliques étaient inertes, la bouche et les incisives sèches. Il en émanait pourtant une impression de mort, une méchanceté qui fit reculer d'horreur les trois hommes; il avait le cou bizarrement tordu, le crâne bosselé de façon peu naturelle.
Seul Culver s'avança.
Il se baissa pour examiner la bête de près. Une personne s'était défendue et avait battu le rat à mort. Elle avait probablement péri aussi, tuée par ses compères, mais au moins il ou elle n'avait pas cédé facilement. Peut-être y avait-il d'autres rats morts, éparpillés au milieu des corps en décomposition qu'ils avaient attaqués.
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Claire n'appliquait plus la règle qu'elle s'était imposée sur le rationnement des cigarettes. Au diable les restrictions! S'ils quittaient l'abri, il y aurait dû tabac à volonté et jamais assez de monde pour le fumer. Le message devrait désormais être lu différemment: DANGER: AVERTISSEMENT DU GOUVERNEMENT : LES CIGARETTES ET LES RADIATIONS PEUVENT GRAVEMENT NUIRE À VOTRE SANTÉ. Et les bombes à hydrogène peuvent vous rayer de la carte...
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"Quel soulagement il éprouverait s’il lâchait le fardeau ; il pourrait alors avoir toute liberté d’action pour trouver un abri sûr, mais de vieux souvenirs lancinants se réveillaient au plus profond de lui, surgissant de la panique comme de ténébreuses formes fantomatiques."
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Bande annonce de la série,The Secret of Crickley Hall, adaptation du roman de James Herbert
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