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Thierry Arson (Traducteur)
EAN : 9782258049048
369 pages
Presses de la Cité (01/09/1999)
3.15/5   27 notes
Résumé :
1945. Hitler, dans un ultime acte de folie, lance sur l'Angleterre des missiles chargés d'un gaz mortel. Seules, les personnes dotées de sang AB négatif survivent. 1948. Entre Hoke, pilote de chasse américain porteur du précieux groupe sanguin et Lord Hubble, un aristocrate fasciste protégé par des "chemises noires", s'engage un jeu de cache-cache mortel. Pour Hubble et ses sbires la seule chance de survie réside dans la transfusion de sang non contaminé. Dès lors, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
48 . Et là j'en entends deja hurler à la mort , jubilant , trépignant , la bave aux levres , à l'idée d'ouvrir un bouquin deux fois plus meilleur que la série 24 h Chrono! Halte au feu , les balles sont creuses ! Ici , foin de Jack Bauer électrisé et toujours sur la breche mais plutot son frangin , Axel , qui d'une phrase lapidaire non dénuée d'une certaine lucidité , reprendrait l'une de ses chansons dans le but de synthétiser cet énorme gachis : qu'on m'oublie...

Herbert adore broder sur des themes récurrents . Ici , place au énieme récit catastrophe !
Véritable uchronie post apocalyptique , 48 présentait tous les ingrédients du p'tit moment sympatoche ! Londres , 1948 , ville dévastée par la seconde guerre mondiale et la derniere folie meurtrière du vilain petit moustachu Allemand décidemment bien mauvais perdant : des missiles bactériologiques ayant décimés la quasi-totalité de la population Britannique ! Seuls quelques élus , heureux porteurs du groupe sanguin salvateur AB négatif , ont pu gagner leur ticket pour revenir en deuxieme semaine et tenter , une fois encore , d'échapper à une menace d'un tout autre genre : Hubble ! Quoi , un gros télescope tueur en série ? Non , pire ! La peste écarlate ! Un peu comme l'eau sauf qu' elle fait mourir , la méchante . Hubble , petit aristo facho , entouré de sa milice de néo-nazis , les chemises noires , se refuse à passer l'arme à gauche et est bien décidé à donner la chasse aux survivants afin de leur pomper leur fluide corporel et ainsi , faire la nique à cette vilaine faucheuse qui lui tend tant sa faux meme pas aiguisée que c'est un coup à choper le tétanos en plus ! Moi , faire une croix sur la choucroute , la truffade de cigogne sur son coulis de framboises et Derrick , jamais ! La solution de cet apprenti Docteur , transfuser le sang de ces fugitifs dans son propre corps et ainsi devenir immortel et pourquoi pas , sur un malentendu , le maitre du monde , arf , arf , arf ! Rire sarcastique sardonique satanique . Oula , oula , ça fait peur !! Fin mélange , non , grotesque mélange de Je Suis Une Légende et du Magazine de la Santé , ce bouquin ne décolle jamais ! Ou alors , tel le noble et majestueux Orville dans Bernard et Bianca – je sais , autant de culture , ça peut foutre les jetons – l'on volete sur quelques pages pour finalement se rétamer sur un récit tristement répétitif et navrant de clichés ! La cavale de ce petit groupuscule ne parvient jamais à susciter l'adhésion . Cachette – découverte – panpan t'es mort – fuite – recachette – redécou...Aussi surprenant qu'un cadeau au pied du sapin à Noël ! Et que dire des personnages...Ben pas grand-chose justement ! Des protagonistes à la profondeur abyssale d'un Greg le Millionnaire – qui ne le serait finalement pas mais chuuuut , c'est un secret - des grands jours ! Creux , sans intérêt...Manichéenne et convenue au possible , cette histoire peut s'avérer plaisante pour peu qu'on l'aborde sous l'angle de la fumisterie . Là , oui , c'est un sans-faute ! Herbert et son récit , c'est un peu Sisyphe et son petit caillou ! Les efforts sont peut-etre louables mais n'entrainent , finalement , qu'ennui et tristesse devant autant de banalité . le lecteur , telle la petite souris dans sa roue , voire le marathonien du dimanche sur son tapis roulant pour les plus sportifs d'entre nous , finit par se mettre au diapason d'une histoire qui n'avance pas et dont il n'attend que le mot fin libérateur , signe d'une délivrance bien méritée lui permettant alors de voguer vers d'autres cieux bien plus cléments . La déception est d'autant plus grande qu'elle nous est infligée par un conteur de renom ! Est-ce vraiment le meme écrivain qui publia , en son temps , La Trilogie des Rats , Fog , le Secret de Crickley Hall , Mon Curé chez les Nudistes ? le doute est permis...

48 : en quarantaine !!
Ou alors à prendre au 48e degré , et encore...
A noter que ce récit parut dans la collection Piment ! Toujours bon de finir sur une blagounette...
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J'ai acheté ce livre lors d'une brocante il y a maintenant quelques mois, je dois avouer qu'il me faisait un peu de l'oeil sur l'étagère. le titre est assez mystérieux, 48, une simple date qui correspond à l'année 1948. Un petit bond dans le temps, une époque pas si lointaine qui réserve son lot de surprise. Saisissant l'occasion, j'ai donc découvert une nouvelle plume ainsi qu'un nouvel univers.

Ce livre appartient au genre souvent peu connu, voire méconnu, de l'uchronie. Il s'agit en quelque sorte d'un futur alternatif d'un événement, une reconstruction fictive d'un fait historique tel qu'il aurait pu se dérouler. L'auteur s'inscrit ici dans une période très sombre de notre histoire, celle de la guerre 39-45. Tout ne se serait pas passé comme nos manuels nous l'indiquent, des V2 chargés d'un gaz mortel auraient déversé leur substance sur toute l'Europe en 45, la réduisant ainsi à l'état de fantôme, puissance qui n'est plus que l'ombre d'elle-même.

Seule une poignée d'individus aurait survécu à la catastrophe. Leur point commun ? Leur groupe sanguin, AB négatif, ne représentant que 3% de la population. Toutefois, quelques rares résistants, n'appartenant pas à ce groupe sanguin, survécurent mais le mal présent dans leurs veines les affaiblissait grandement, réduisant la rapidité de leur action. le génocide et ses conséquences furent qualifier de Peste Écarlate, un mal jusqu'alors inconnu qui décima des populations entières.

J'ai trouvé l'idée du gaz et du groupe sanguin original, de même que le nom donné au virus. le monde tel que nous le connaissons est ravagé et se meurt de plus en plus. C'est dans cette ambiance apocalyptique que nous découvrons Hoke, "heureux" survivant de l'enfer. Vivant parmi les morts qui jonchent les trottoirs de chaque rue. le récit est à la 1ere personne, sous le point de vue de Hoke. Je n'ai pas réussi à m'attacher à lui, je l'ai trouvé particulier, très froid et distant, même si une partie de son comportement trouve une justification au fil de la lecture. Il s'agit d'un homme dévasté qui lutte et survie pour d'obscures raisons. Sa rencontre avec d'autres survivants permet au lecteur de mieux cerner cet énigmatique personnage.

Afin de nous plonger directement dans l'ambiance, l'auteur introduit l'histoire avec une course-poursuite haletante, entre d'un côté Hoke, de l'autre un groupe que l'on appelle les Chemises Noires, sortes de sbires à la solde d'un homme autrefois puissant. J'ai eu l'impression que cette course effrénée n'allait jamais se terminer. Même si le récit se veut rythmé, l'action dense et les personnages sur le qui-vive, j'ai parfois eu du mal à me représenter les scènes tant le rythme était ( trop ) soutenu. Nos chers protagonistes n'avaient pas une seconde à eux, aucun répit, la course contre la mort était lancée.

Les chemises noires n'ont qu'une obsession : capturer vivant une personne au sang pur ( AB- ) afin d'effectuer une transfusion sanguine. Ce groupe pense que changer de sang est la solution pour enrayer le mal dont il est victime. Idée délirante pour des personnages délirants. Avec ce groupe mené par Hubble, homme hideux dont la vie ne tient plus qu'à un fil, l'auteur illustre parfaitement ce vers quoi peut mener l'obsession. Etre totalement obsédé par une chose ou une personne en devient dangereux et pour l'obsédé et pour l'objet de son obsession. Ici Hubble ne pense qu'à la transfusion sanguine, ce qui coûtera la vie de certains innocents...

48 nous montre donc un des vices de l'homme, mais ce livre nous offre aussi une visite d'une ville en ruine : Londres. Nous découvrons les cachettes et dédales de la capitale britannique en proie à des bombardements et explosions incessants. L'histoire se déroule sur à peine quelques jours, une impression de rapidité nous saisit tout au long de la lecture, comme si le temps filait vite, trop vite, que l'auteur nous précipitait inexorablement vers une fin certaines pour l'un des deux camps.

Hoke n'est pas le seul survivant, il fera la rencontre de Stern, Cissie et d'autres encore.. J'ai particulièrement aimé les deux personnages cités, j'ai notamment apprécié l'évolution de leurs relations avec Hoke. Il aurait d'ailleurs pu être bien, pour dynamiser davantage le livre, de varier les points de vue mais aussi d'écrire un petit épilogue.

La plume de l'auteur est fluide et agréable, elle nous embarque facilement au coeur d'un Londres décimé. Les descriptions et actions sont bien dosées même si j'ai parfois eu du mal à visualiser des scènes. L'intrigue est sympa et originale mais pas transcendante. En définitive je dirai qu'il s'agit d'un bon livre, pas le meilleur que j'ai lu mais loin d'être le pire. Je retenterai bien l'expérience avec un autre livre de l'auteur.
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C'est très déçue que je referme « 48 ». Avec une note passable et quelques avis peu enthousiastes, j'aurais dû faire confiance aux lecteurs qui avaient découvert ce titre avant moi... J'avais malheureusement envie de me faire mon propre avis. de plus, après la lecture de trois romans géniaux de James Herbert, je ne pensais pas tomber de haut avec cet auteur... La belle erreur ! J'ai fait confiance à la quatrième de couverture pleine de belles promesses : un monde post apocalyptique, un virus qui anéantit peu à peu l'espèce humaine, des survivants que l'on traque pour prélever leur sang, des animaux agressifs et les descriptions souvent bien glauques comme sait le faire James Herbert. Tout ce beau mélange annonçait un moment palpitant ! Hélas, le soufflet est vite retombé : on est directement dans l'action avec une course-poursuite qui dure très longtemps... Trop longtemps... Les rebondissements s'enchaînent sans que l'on comprenne grand chose (à moins d'avoir lu le résumé) et les dialogues sonnent comme un vieux film d'action américain. Il faudra presque attendre une centaine de pages pour que les personnages discutent enfin entre eux, sur ce qu'il s'est passé ou qu'ils apprennent à se connaître. C'est frustrant : il y avait tellement de potentiel !

Certes, les descriptions sont de qualité et on ne s'ennuie pas, cependant ce n'est pas ce à quoi je m'attendais... le récit est survolé et manque de clarté : on glane des informations sur le tas, de temps en temps, comme si l'univers était un prétexte pour placer une nouvelle course-poursuite... Parce que c'est un peu ce qu'il se passe sans arrêt : les rescapés sont trouvés par les vilains nazis, fuient, tuent quelques ennemis, trouvent une cachette, se font de nouveau trouver et ainsi de suite. Sans oublier la scène finale bien classique... L'idée d'uchronie (on revisite/réécrit un évènement de l'Histoire) avec le virus après la Seconde Guerre mondiale était vraiment bonne. Elle aurait pu me plaire. Hélas, les protagonistes sont à la fois stéréotypés et sans profondeur. On a réellement les gentils d'un côté et les vilains de l'autre. le pire revient à Hubble, le chef d'une milice de néo-nazis, qui s'acharne sur le héros même après avoir trouvé d'autres survivants ayant du sang AB négatif. Hubble a vraiment Hoke dans le collimateur et compte bien lui mettre le grappin dessus. Ça tombe bien, c'est réciproque ! Dommage pour lui : si un seul homme affronte toute une armée, il gagne toujours ; c'est bien connu ! Vous l'aurez compris, je ne vous recommande pas ce roman qui aurait mérité d'être développé davantage que ce soit au niveau des personnages ou de l'univers. Si vous ne connaissez pas James Herbert, je vous conseille plutôt sa trilogie des rats ou « le jour où je suis mort » qui valent vraiment le détour. J'espère que le prochain livre que je lirai de lui me plaira davantage.

Lien : https://lespagesquitournent...
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Malgré un pitch très prometteur et un style littéraire qu'on connait peu alors qu'il est vraiment intéressant (l'uchronie), je n'ai pas été vraiment embarquée par cette histoire de James Herbert, qui est vraiment capable de très bon comme de très passable. Ce n'est pas le plus mauvais que j'ai lu de cet auteur, mais c'est loin d'être le meilleur également.


L'uchronie, pour ceux qui ne connaitraient pas, c'est une réalité alternative fondée sur une réécriture d'un évènement de l'Histoire. Ici, nous sommes dans une réalité alternative dans laquelle la seconde guerre mondiale s'est soldée par une sorte d'apocalypse tuant pratiquement tout le monde, à cause de missiles d'Hitler qui contenaient un gaz (ou un virus? ou les deux?) qui fait coaguler le sang et entraine normalement la mort très vite. Dans certains cas, les personnes sont atteintes d'une forme plus lente du mal, qui peut mettre plusieurs années avant de les tuer. Les seules personnes qui n'ont pas à craindre cette « peste écarlate » sont celles qui sont AB négatives.

L'histoire commence sur les chapeaux de roue, avec une course poursuite dans un Londres en ruines. Aucune explication n'est donnée au début du texte – on sait à quoi s'attendre quand on a lu le résumé, mais sinon, on ne sait pas vraiment qui course qui, ni pourquoi. Et cette course poursuite, elle est longue. Je n'ai plus le livre sous la main, mais ça dure bien 70-80 pages pendant lesquelles on suit le personnage qui se fait pourchasser. le passage se termine quand le narrateur (le Hoke du synopsis) trouve d'autres personnes qui vont l'aider, et avec lesquelles il va se cacher de ses poursuivants, les « chemises noires ». Parmi ces nouveaux venus, on trouve deux jeunes femmes, l'une issue de la bourgeoisie (Muriel) et l'autre du prolétariat (Cissie), et un ancien soldat allemand que, d'instinct, Hoke va détester. Obligés de s'enfuir dans le métro pour échapper aux chemises noires, ils vont déambuler dans les tunnels avant de rencontrer un autre personnage qui gardait un abri depuis 3 ans.

L'enjeu de l'intrigue est très simple: le chef des chemises noires sait son équipe (et lui-même) atteinte de la peste écarlate lente, et il est persuadé que la capture de sujets sains (AB négatifs donc) lui permettrait de survivre. Toute la question est donc de savoir s'il va parvenir à capture Hoke et ses nouveaux compagnons d'infortune. L'intrigue se déroule sur quelques jours à peine, et c'est en grande partie ce qui m'a dérangée: avec une idée de départ aussi délirante et enthousiasmante, je trouve les enjeux et le traitement de l'histoire beaucoup trop étriqués, résumés à la survie d'un tout petit groupe d'individus quand il aurait fallu donner un peu d'envergure à tout ca. Il y avait franchement matière à faire de cette histoire une vraie fresque de plusieurs tomes, avec des personnages dans différents pays, sur plusieurs mois/années. Au final, c'est très court, il y a peu de personnages et il se passe très peu de choses. La course poursuite du début ne s'arrête jamais vraiment, puisque tout le livre reprend cette traque en toile de fond. Les passages « calmes » ne sont que des sursis qui permettent d'apprendre à connaître un peu mieux les personnages. Je trouve dommage que ça ne soit pas plus creusé et approfondi.

Sinon, j'ai été très étonnée de lire ce livre à la première personne. D'habitude, James Herbert utilise toujours la troisième personne, et j'ai eu du mal à reconnaître son style au début. Au fur et à mesure, j'ai retrouvé des éléments qui me faisaient penser « ah oui, là c'est du Herbert, on le sent », mais j'ai été déroutée par ce passage à la première personne (je préfère les narrateurs omniscients).

Au bout d'un certain temps, j'ai quand même fini par rentrer dans l'histoire, mais je trouve que tout est survolé dans ce roman, les enjeux mal choisis et les personnages peu attachants, alors que le contexte de l'uchronie est vraiment super intéressant. du coup, je ne sais pas trop quoi penser de cette lecture, qui présente un contexte historique fort et qui n'arrive pas à s'élever au delà de ça.
Lien : http://totorosreviews.com/20..
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C'est un peu déçue que j'ai refermé ce livre de James Herbert. J'en attendais peut-être trop. C'est souvent le cas avec nos auteurs préférés. Toujours est-il qu'on se retrouve plongé dans une course poursuite et si les rebondissements et le suspense ne manquent pas, on ne peut pas dire que la terreur soit au rendez-vous.
Un monde post apocalyptique, un virus qui anéantit l'espèce humaine, des survivants traqués pour prélever leur sang, les individus du groupe AB négatif étant les seuls autorisés à survivre, une atmosphère et des descriptions glauques à souhait... le menu s'annonçait pourtant prometteur... mais la sauce n'a pas pris.
On ne s'attache pas aux personnages que j'ai trouvés fadasses et sans profondeur.
Bon, je lui pardonne cette petite baisse de régime. D'autres ont adoré, après tout. Faites-vous votre propre avis.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Un tas d'os dans les vêtements affaissés occupait le haut tabouret de la cabine. Le crâne à la peau parcheminée et aux orbites vides reposait de côté sur l'étroit comptoir, et les mains décharnées et momifiées se tendaient vers le guichet comme pour encaisser de l'argent. De longues mèches de cheveux grisonnants pendaient du crâne, et le dentier avait glissé vers l'avant de la bouche, où les quelques dents réelles l'avaient bloqué, telles des pierres tombales devant une crypte sombre. Je fus heureux que la lumière soit si pauvre et qu'on n'y vît pas grand-chose.
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La solitude est un enfer, un lent voyage vers la folie, la pire chose qu'un homme, une femme ou un enfant puisse vivre. Mon sourire avait de nouveau disparu, emporté dans les ombres.
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Quand on vit en sursis, comme ces vautours dehors, la vie devient encore plus précieuse.
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Vidéo de James Herbert
Bande annonce de la série,The Secret of Crickley Hall, adaptation du roman de James Herbert
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