Une chanson douce

97 brefs chapitres repartis sur 435 pages, ce qui rend facile la lecture. On y retrouve une multitude de personnages mais qui sont parfaitement maîtrisés par l'auteure si bien leur description et celle de leur situation est très brève et précise, l'auteure nous donne l'essentiel...

Un incendie éclate dans un musée de manufacture des meubles anciens de la famille Connelly. Kate, la fille du proprio et Gus, un ancien artisan du musée mis en retraite de manière forcée, sont victimes de ce sinistre. Gus meurt, kate est dans un état critique à l'hôpital. L'enquête est ouverte pendant ce temps, Douglas Connelly le proprio, plongé dans une situation financière déficitaire, compte sur les versements de l'assurance. Sur ce, il faut à tout prix porté le chapeau de l'incendie à Gus Schmidt. La première concernée est Kate mais elle est dans le coma, elle ne peut pas parler. A cela vont se ramifier à cet incendie plusieurs situations de meurtres ou d'escroqueries...

Deux choses m'ont dérangées dans ce livre notamment sa fin et les ramifications des situations qui ont été traitées avec un peu de légèreté.
A cela s'ajoute l'indice que nous l'auteure à la fin de certains chapitres tel que dans le premier chapitre, l'auteure termine par "Ce furent les dernières paroles qu'elle l'entendit prononcer" parlant de Lottie, la femme de Gus qui le voit partir à son rendez-vous avec Kate. En lisant ces derniers mots, on sait déjà que Gus va mourir mais après, on le voit, quand même avec Kate. A quoi ça sert puisqu'on sait déjà qu'il va mourir, il n'y a plus de suspens...

Dans tous les bouhaha qui occupent les 410 pages du livre, à la recherche du coupable de l'incendie, des meurtres, des accidents, voilà que le tout nous est révélé par le coupable lui-même, non pas par contrainte, ni sous pression, ni piégé ou pris par surprise mais dans un monologue intérieur, il se parle à lui-même et nous lecteurs nous le lisons, il pouvait avoir ce monologue intérieur depuis le premier jour de l'incendie donc dans les premières pages du livres que d'attendre les dernières pages alors que ça tue l'énigme de l'histoire...

Malgré tout, la plume y est!

Une lecture sympathique mais sans plus.
Beaucoup de longueurs, beaucoup de détails inutiles, qui n'apportent vraiment rien ni à l'histoire, ni au suspense, ni même au cadre, à l'environnement sociologique ou à l'ambiance.
A-t-on vraiment toujours besoin de savoir quel type de sandwichs mangent les personnages, très nombreux en plus (je parle à la fois des sandwichs et des personnages).
Beaucoup de longueurs, de délayage, et malgré une foule de personnages et plusieurs histoires dont on souhaite connaître le dénouement, peu de suspense.
L'histoire se déroule à New York et certains personnages, plus creusés, pourraient pourtant être intéressants

Ca faisait longtemps que je n'avais pas lu de Mary Higgins Clarck. C'est toujours agréable, une enquête bien menée, un peu sordide . Il est facile de savoir qui est l'auteur due ou des meurtres mais un peu plus difficile de connaitre la ou les raisons.
On passe un bon moment, ce n'est pas le suspense incroyable mais on joue le jeu.

Mon premier thriller. Beaucoup de personnages, d'histoires entre-mêlés, ce n'est pas toujours facile à suivre. Je n'ai pas aimé le fait qu'un chapitre correspond a une histoire ou a un personnage, ça rend le fil de l'histoire moins fluide. Mais l'histoire en elle même est bien faite, bien ficelé, on ne s'attend pas à la fin. Elle est vraiment surprenante.
Lien : https://lemondedecelinecmn.w..

Ce roman policier évoque trois histoires : la principale ; l'incendie d'une manufacture familiale, deux annexes ; le meurtre d'une jeune femme voulant devenir actrice à New York et la disparition d'un père vétéran.
Ces trois intrigues se rejoignent et le dénouement se devine 50 pages avant la fin.
L'écriture, sans style, donne l'effet d'un hachoir, avec 96 chapitres, livrant un bout de l'action d'une des histoires sur 5-6 pages et passant à la suivante insensiblement.
Les informations des différentes enquêtes se recoupent, avec des redites qui n'épargneront pas le lecteur. Ajoutons à cela les détails innombrables sur les personnages ne leur donnant pas plus de consistance que ceux d'un film de série Z.
Décevant de la part de cet auteur reconnue du genre.

Publié en 2013, ce roman de Mary Higgins Clark (aujourd'hui 87 ans) ne sera pas le dernier ! Quelle belle longévité ! "Une chanson douce" suggère dès le premier chapitre un sombre drame familial. Mais des intrigues se développent en parallèle à l'intrigue initiale : l'incendie dans lequel périt un ancien employé de l'entreprise, et qui conduit la propre fille du patron de la manufacture inconsciente à l'hôpital.
le talent de l'auteur, à son habitude, est de resserrer petit à petit ces multiples intrigues pour parvenir à un dénouement qui les éclaire toutes. le lecteur est entraîné inexorablement vers cette fin, qui, à mon avis, n'est pas , cette fois-ci, totalement inattendue. Il me semble que les redites et les lourdeurs nous orientent vers ce drame familial bien avant l'ultime révélation.
Dans son message de remerciements, à la fin du livre, l'auteur rappelle à quel point elle s'est entourée de nombreux experts et amis pour la guider dans certains passages très techniques ainsi que dans l'agencement des chapitres. Donc, "l'aréopage" de Mme Higgins Clark n'a pas joué qu'un petit rôle dans l'élaboration de cette intrigue complexe et très fouillée. La lecture est cependant très agréable, avec parfois un zeste de déjà lu... Mais il est bien difficile de se renouveler quand on a choisi de centrer son oeuvre sur le thriller policier.

Une chanson douce lue par mes oreilles.
Quel bonheur
Une histoire familiale sur fond d'arnaque à l'assurance, en passant par le meutres de deux jeunes filles.
J'ai adoré me faire conter cette histoire, pleine de rebondissements.
Je suis restée scotchée sur le final, qui paraît pourtant prévisible, mais que l'on imagine pas sur une lecture audio contrairement à une lecture papier ou numérique.
Pas spécialement fan de Mary higgings Clark, ce roman me donne envie de la découvrir un peu plus.

Cela fait déjà un "petit moment" que je dois chroniquer ce livre ... Mary Higgins Clark, des années que je n'en avais pas lu.
Je vais le chroniquer d'une façon différente des autres : d'une part parce que beaucoup de détails m'échappent aujourd'hui (comme je l'ai dit, ça fait un moment que je l'ai lu), d'autre part car je n'ai pas extrêmement de choses à en dire.
Ce que j'ai aimé :
- le personnage d'Hannah, la petite soeur, celle qui a le moins de souvenirs de son enfance, qui est donc censée se retrouver au second plan et qui est promue en personnage fort de ce polar.
- les histoires secondaires qui viennent se greffer à l'enquête principale : la disparition d'une jeune femme vingt ans auparavant, un SDF ancien combattant du Vietnam qui a quitté sa famille par amour.
- un dénouement assez subtilement trouvé.
Ce que j'ai moins aimé :
- les personnages masculins et leurs histoires de fric. En fait, l'environnement de l'enquête en général : la manufacture, la comptabilité ... j'ai du mal avec ce domaine donc je n'étais pas à fond dedans quoi...
- mon ressenti : de la lenteur. Je n'ai pas eu de palpitations, le coeur qui s'accélère quand on se rapproche d'un indice capital ou du but, pas d'envie de tourner frénétiquement les pages.
En résumé, un livre qui divertit mais sans plus en ce qui me concerne.

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Le tout dernier MHC en date. Rien de révolutionnaire. La célèbre romancière réutilise une fois de plus les ingrédients qui ont fait son succès depuis tant d'années. New York, une jeune femme chic au coeur d'une intrigue policière. Ce roman, comme les autres, se lit très facilement et ce d'autant plus que les chapitres sont toujours très courts. L'histoire tient la route, on n'est jamais surpris et on se laisse porter jusqu'au dénouement. Je ne peux que regretter l'intrigue trop classique et le fait que Madame Higgins Clark ait quelque peu perdu la petite flamme de suspense qui éclairait ses tous premiers romans. A conseiller comme une bonne lecture d'été.

Une auteure très connue mais qui au fil des années ne se renouvelle pas vraiment. Ses intrigues sont sans surprises. La plume reste agréable mais sans plus.