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sur 15996 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Le meilleur des mondes, d'Aldous Huxley a été écrit en 1931, pour être publié en 1932. Ce titre est aujourd'hui entré dans le langage courant. Or, bien peu de gens l'ont véritablement lu. Pourtant, avec Evegeni Zamiatine , Karin Boye et Georges Owell, cet auteur a créé un genre de la science fiction qui a fait florès depuis appelé dystopie politique. Sous ce terme est décrit un système politique totalitaire dans lequel l'être humain est nié.


Aldous Huxley est né en 1894 dans un milieu privilégié du point de vue culturel. Il est le fils de l'écrivain Leonard Huxley et de sa première épouse, Julia Huxley. Son grand-père, Thomas Henry Huxley, est un des plus importants naturalistes du XIXe siècle, surnommé le « Bouledogue de Darwin ». Son frère Julian Huxley est un biologiste connu pour ses théories sur l'évolution. du côté maternel, on trouve des littéraires et des pédagogues.




On retrouve dans le meilleur des mondes, le thème de la surveillance même si elle est plus diffuse que dans 1984 de Georges Orwell avec son trop fameux "Big brother" et son slogan "Big brother is watching you". La surveillance est acceptée et s'y fonde sur la génétique et la drogue. L'Etat tout puissant s'appuie non plus sur les baïonnettes comme dans le passé pour asseoir son pouvoir mais sur l'assentiment de la population en usant des drogues, des divertissements et d'une propagande déguisée. Désormais, la raison n'est plus le propre de l'homme. Ce dernier est un esclave consentant qui accepte son sort. Il est même heureux de son sort. En effet, le bonheur est obligatoire, thème que l'on retrouvera dans Un bonheur insoutenable d'Ira Levin car il permet au pouvoir totalitaire de contrôler la société. Pour ce faire, ce dernier utilise la drogue - appelée Soma - et les divertissements.


Tout part de l'"éducation". On a dans le meilleur des mondes la description d'un monde dit utopique divisé en castes bien compartimentées "grâce" à traitement pré-natal. Il en résulte la "création" en éprouvette d'êtres humains allant des Alphas , beaux et voués à devenir l'élite, aux Epsilon, laids et programmés pour effectuer des tâches manuelles.


Prophétique par bien des côtés, le meilleur des mondes est un ouvrage majeur de la littérature d'anticipation et de la littérature du XXè siècle. Aldous Huxley imagine dans son oeuvre une société basée sur l'eugénisme. On ne peut que penser au film Bienvenue à Gattaca, sorti en 1997 avec pour personnages principaux un "dé-généré" appelé Vincent car né naturellement et un être voué à vivre éternellement dénommé Eugène. Aldous Huxley décrit un monde technologique déshumanisé.


Veut-on une société parfaite? Des gens heureux?


C'est à ces questions que souhaite répondre dans son roman Aldous Huxley. Il a été tout au long de son existence contre toutes les formes de totalitarisme qu'il soit culturel, religieux, scientifique ou idéologique. Il prévoie les dangers d'une science coupée de l'être. Il écrit pour avertir des dangers d'une éducation sans conscience où la liberté de choix est annihilée chimiquement, tout le contraire de ce qu'il a vécu grâce à sa mère qui avait créé sa propre école. Il décrit une société, émanation d'un monde capitaliste, où les hommes ne sont plus que des animaux sans raison. Il est ainsi prophétique d'une réalité où tout ce qui est réflexion est banni grâce ou plutôt à cause d'outils permettant aux plus vils instincts de d'exprimer. Pour lui, l'humanité est le résultat d'individualités qui doivent s'accoupler pour créer l'être vivant. Or, elle est asservie par toutes sortes de pouvoirs qu'ils soient étatiques, religieux. Ainsi, Aldous Huxley se méfie toutes les institutions. Il considère la société, l'Etat et la religion comme des monstres.
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Roman d'anticipation dystopique, publié en 1932, « le Meilleur des mondes », un classique de la littérature, dont la phrase De Voltaire : Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ; fait partie des maximes fortement usitées. Récit qui met en exergue diverses dichotomies : comme la frontière incommensurable entre ceux qui ont tout, les Alphas et, ceux qui vivent parqués dans des réserves perdues ; ceux qui possèdent la latitude de pouvoir émettre des sentiments et des suggestions, et, les autres qui sont préformatés et conditionnés, dès la naissance pour être efficients uniquement dans un domaine – par le biais de l'eugénisme.

Voilà une bien triste dystopie, si je pense qu'elle préfigure le destin de la société humaine, peut-être êtes-vous indéniablement optimiste et conservez-vous foi en l'espèce humaine. En ce qui concerne : « le meilleur des mondes », aucun libre arbitre n'est toléré, mais uniquement la stabilité sociale, qui domine et gère le microcosme des élites, dont l'unique but est de maintenir une pérennisation du bonheur entre tous, par les moyens, mis en place par l'élite, d'une part du conditionnement (via l'hypnopédie) et de la consommation de soma (drogue) en cas d'anxiété. Cet état totalitaire a donc la mainmise sur une armée d'esclaves – d'autant que ceux-ci idolâtre leur servitude ! Ainsi la technologie et science remplacent la liberté. La société est organisée, hiérarchisée, uniformisée et chaque être, rangé par catégorie, a sa vocation, ses capacités et ses envies, maîtrisées, disciplinées et accomplies.

A l'opposé, les sauvages vivent dans les Réserves, dans une misère rébarbative, une vie végétative, certes sans avenir, mais libres de faire ou de ne pas faire. Et subissent les « pèlerinages » des civilisés qui s'offusquent devant tant et tant d'horreurs sous leurs yeux...Certainement pour leur faire comprendre le paradis de leur naissance.

Dans cet univers, la caste des dirigeants, qui maitrisent en globalité la vie sous tous les aspects, ne tolèrent pas les risques inhérents aux religions, ni aux connaissances ; surtout éviter le danger pour ce monde crée sans aspérité, exclure le grain de sable, dans cette ambiance de parfait bonheur où chacun à sa place et doit y rester. Contraindre et diriger les esprits de la nécessité de faire abstraction de la passion, de la vieillesse ; et garder uniquement en soi, le bonheur délivré , sans parcimonie, par les dirigeants.

Un livre prémonitoire sur notre propre futur ? Une société totalitaire utopique avec des choix imposés ou un monde libre tenu par un consensus social, mais loin d'être parfait ? La voie idéale de la démocratie : une utopie, comme si tous les hommes étaient égaux dans une société ! Mais silence ; « Grande est la vérité, mais plus grand encore, du point de vue pratique, est le silence au sujet de la vérité ». Ce mal qui nous entoure et nous bâillonne, dans l'indifférence des masses.

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Imaginez un monde où les mots père et mère sont des insultes ? Un monde où les bébés sont conçus dans des éprouvettes et où les enfants sont formatés dès leur plus jeune âge pour une tâche bien précise ? Un monde sans émotion, sans maladie, sans signe de vieillissement ? Un monde où tout va toujours bien, où l'on prend son petit gramme de Soma (la drogue du bonheur distribuée à la fin des journées de travail) pour s'évader, pour prendre une pause. Un monde sans surprise, à la routine bien huilée où il ne faut surtout pas lire...

Dans ce roman d'anticipation, où l'on jure au nom de Ford (ça s'invente pas !) écrit par Aldous Huxley en 1931, tout semble aller pour le mieux, dans ce monde aseptisé, sans amour et sans frustration. Mais Bernard Marx (si, si) ne s'y sent pas trop à sa place et se met à penser au monde d'avant. Ce monde dont il est interdit de parler. Et il décide d'aller visiter la dernière réserve de Sauvages encore présente sur Terre, en compagnie de Lenina (toute ressemblance avec un patronyme connu n'est qu'une coïncidence). Il découvre des êtres vivants aux moeurs étranges, parfois même ridés et se permet de ramener un Sauvage dans son monde à lui...

La force de cette dystopie réside évidemment dans son contexte d'écriture. Car, il ne faut pas l'oublier, ce texte a bientôt 100 ans et les thématiques égratignées par Aldous Huxley sont terriblement actuelles, que ce soit l'ultra-consumérisme, l'endoctrinement, le taylorisme, l'élitisme ou encore la course contre le vieillissement.

Ce roman futuriste cynique, parfois drôle, mérite qu'on s'y attarde quand on est amateur du genre. Il figure d'ailleurs souvent dans le classement des meilleurs livres du XXème siècle. Il a également été de nombreuses fois été interdit, censuré et même brûlé !
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Après tout, chacun appartient à tous les autres…

Dans un Londres futuriste, les bébés naissent dans des laboratoires, conditionnés dès leur naissance, triés sur le volet, afin d'appartenir à la caste qui leur est désignée. Les hommes sont abrutis par des pensées hypnopédiques, la souffrance n'existe plus, annihilée par le soma, ce médicament révolutionnaire qui permet de s'évader sans les effets secondaires propres aux psychotropes.

Réflexion sur le capitalisme, cette dictature terrifiante traitent les êtres comme des produits de consommation. Des moutons de Panurge qui vouent un culte à une colline verdoyante inexistante.

La liberté est en cage. Seuls quelques oiseaux intrépides et téméraires se rendent compte de l'absurdité de cette cloison. Mais la vérité est cachée dans les tréfonds de leurs subconscients, difficile pour ces volatiles d'y voir à travers les barreaux.

L'auteur distille Shakespeare dans ces pages, comme un baume réparateur sur une plaie indésirable rendant ce monde un peu plus... Humain.
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Enfin, je comprends l'origine du morceau Brave New World d'Iron Maiden, un morceau qui m'a envouté pendant un certain temps et qui trouve là son origine dans l'un des romans d'anticipations et de distopie majeurs de tous les temps, Brave New World d'Aldous Huxley traduit en francais par le meilleur des mondes.
Avec Fahrenheit 451 et 1984, tous les deux sorties bien après, le meilleur des Mondes de l'écrivain britannique Aldous Huxley fait partie des distopies inebranlables de la culture littéraire. Un classique de l'anticipation à lire absolumement et qui trouve facilement son écho dans notre réalité.
Il serait d'ailleurs interessant de refaire de temps en temps une comparaison actuelle entre notre réalité et celle dépeint dans ces classiques de l'anticipation.

Bref, j'ai été estomaqué par cette lecture, d'autant plus de la part d'un roman écrit tout de même au début des années 30 et quelle vision avait Aldous Huxley de l'humanité, une humanité produite à la chaine, multi-cloné, eugénifiée , conditionnées et castées dans des classes sociales où elle ne pouvait que se satisfaire de son sort...
Dans le Meilleur des Mondes, Aldous Huxley dépeint une société dans laquelle l'art n'a plus d'emprise, où la souffrance n'existe plus avec une civilisation sous calmant ( une dose de soma et c'est parti pour la journée ! ) , une totale absence d'individualité ( les castes et les clones)... le totalitarisme ne découle pas de Big Brother mais plutôt des masses et des castes conditionnées de manière à ce qui soit différent, soit rejetés par le dégout.
Bien sûr, le constat est alarmant mais Aldous Huxley n'emploie pas le jugement dans son écriture, il ne critique pas directement cette distopie. Au contraire, il nous immerge totalement dans un premier chapitre où nous partageons le point de vue de jeunes étudiants venus faire une visite dans un centre eugénique où les enfants ne sont plus enfantés mais produits et conditionnés. L'auteur , sans jugement critique, nous fait percevoir l'horreur de cette situation qui se situe à des lieux de notre pensée actuelle.
Par exemple, la maternité est ici condamnée et vu comme quelque chose de dégoutant. Päs de parents dans le Meilleur des Mondes. Les enfants sont ainsi conditionnés pour éprouver du dégout comme en témoigne le choc du choc électrique, du dégoût qui façonnera leur devenir, un devenir en accord avec leur classe sociale.
Aldous Huxley met donc en valeur le système de classe avec les alpha, les bétas, les dirigeants, les ouvriers, chacun pleinement satisfait de son sort car conditionnés pour l'aimer et surtout ne pas le remettre en question...

Mais comme dans toute distopies qui se respectent, quelques rouages s'avérent défectueux à travers quelques personnages-clés comme Bernard Marx, le haut-placé au physique " ingrat" qui fait un peu tâche au milieu des Alphas, à l'extrème opposé, l'ami de Bernard , Helmholtz Watson, plus fort et instinctif que la moyenne et surtout John le Sauvage , plus proche du lecteur, qui va être bouleversé par cette société...

Ces rouages défectueux vont donc confronter cette situation distopique sans qu'Aldous Huxley ne présente non plus un état de révolution. L'auteur fait même preuve d'une clairvoyance presque cynique en la personne du directeur et à travers l'échange avec Le Sauvage. Une lucidité qui est presque l'élement le plus effrayant de ce remarquable roman.

Sans surprises, j'ai été enchanté par cette lecture et je ne peux que conseiller le Meilleur des Mondes à ceux qui sont friands de distopies. C'est un titre majeur qui continue de briller par ses thèmes soulevés comme l'eugénisme, la critique des classes, la société de consommation par le suremploi de loisirs superficiiels (notamment, par le biais de ces opéras odorants tellement factices) . Bref, ce titre demeure un gros must de l'anticipation dystopique qui se distingue non pas le reflect d'un certain fascime totalitaire mais bien par sa mise en valeur d'une société de consommation superficielle et très bien ordonnée qui endort des masses elles -mêmes crées de manière superficielles...
D'une certaine manière, le Meilleur des Mondes est peut-être la plus réelle des anticipations.

Note : la lecture s'est faite sur la traduction de Jules Castier et non la nouvelle traduction de Josée Kamoun mais personnellement, cela n'a pas dérangée ma lecture même si on devine aussi un vieux contexte d'écriture avec de vielles technologies...
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Le Meilleur des mondes est un roman de science-fiction dystopique d'Aldous Huxley, qui reste d'une glaçante actualité, même près d'un siècle après sa première publication. L'auteur met en scène un monde où l'humanité vit sous la bannière d'un état mondial, et ne se reproduit plus de manière naturelle. Les enfants sont « décantés », c'est-à-dire programmés génétiquement, et conditionnés pour se satisfaire de la caste à laquelle ils appartiennent. Ces différentes castes constituent une pyramide sociale immuable, avec au sommet les Alphas, intelligents et beaux, chargés d'administrer l'état, et à la base les Epsilon, laids et trop bêtes pour apprendre à lire ou à écrire, auxquels on confie des travaux subalternes et physiques.

Chaque individu est conditionné pour être heureux de sa position par des mécanismes d'aliénation particulièrement poussés, à savoir l'hypnopédie, des messages transmis pendant le sommeil et martelés pour constituer une pensée unique, et le soma, une drogue légale utilisée pour permettre un échappatoire au moindre inconfort, passager ou permanent.

Aldous Huxley décrit donc, à travers les yeux de personnages pleinement satisfaits de leur condition, mais aussi le regard de John, considéré comme un sauvage, une société qui broie des individus heureux d'être traités comme des enfants, heureux d'être dépossédés de tout esprit critique, heureux d'être figés.

Je vous recommande donc la lecture du Meilleur des mondes dans sa nouvelle traduction, car il s'agit d'une oeuvre visionnaire, littérairement et politiquement.
Lien : https://leschroniquesduchron..
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Dans le futur, il existe une société qui recherche à coup de technologie le bonheur extrême. L'égalité entre les personnes n'existe pas : des castes leur sont attribuées dès leur naissance et tous sont conditionnés à aimer le travail qu'on leur a attribué et ne pas désirer ce qu'ils ne peuvent obtenir. Bernard, lui, se sentant déconnecté de sa propre société va chercher des réponses…

Un état conformiste qui cherche à faire consommer des gens qui finissent à leur tour par devenir des produits, une course effrénée à la productivité ne laissant pas la place à la pensée ou au sentiment individuel, une illusion de liberté (avec drogue à disposition dès que le moindre sentiment négatif émerge) doublée d'une injonction au bonheur…Sans nul doute, ce livre d'Aldous Huxley, publié en 1932 est furieusement moderne.

A lire si vous voulez sortir de la matrice !
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Une oeuvre fascinante qui explore un monde futuriste dystopique où la science et la technologie ont complètement changé la nature de l'humanité

Dans cette société dirigée par des élites, les individus sont classés selon leur intelligence et leur capacité à produire, en suivant le schèma : Les beaux, grands et intelligents Alpha puis les Beta, Gamma, Delta et pour finir, les Epsilons qui sont moches, petits et stupides

Ils sont conçus en laboratoire, conditionnés dès la naissance pour accepter leur place dans la société et sont rendus dociles par des drogues et une fausse religion

Toutefois, un personnage nommé John, qui a grandi en dehors de la société, est introduit dans ce monde

Le livre explore de nombreux thèmes complexes tels que la liberté, la condition humaine, la science et la technologie, la morale et la spiritualité

L'écriture est fluide et immersive, permettant au lecteur de s'immerger

Le personnage de John est particulièrement captivant, étant donné qu'il est le seul personnage qui remet en question les normes de cette société dystopique

En somme, c'est un livre puissant qui pousse le lecteur à réfléchir sur l'avenir de l'humanité et sur les implications de la science et de la technologie sur la société

Note : 🧬 / 20
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Je suis tombé sous le charme de "Le Meilleur des Mondes" dès les premières pages. À travers cette oeuvre captivante, je me suis retrouvé plongé dans un monde où la dystopie et l'utopie se mêlent de manière magistrale. Ce qui m'a le plus touché, c'est la manière dont Aldous Huxley explore les limites de l'humanité et la nature complexe de notre condition. Malgré les sombres perspectives présentées, j'ai trouvé une lueur d'espoir dans le fait que cette critique sociale nous incite à réfléchir sur notre propre société et sur les valeurs que nous tenons cher. En fin de compte, "Le Meilleur des Mondes" m'a fait prendre conscience de l'importance de préserver notre humanité et de rester fidèle à nos convictions, même dans un monde où tout semble prédestiné.
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Dévoré dans mon adolescence, je me suis replongé dans le monde parfait d'Aldous Huxley pour mesurer sa vision à l'aune de notre modernité.

Et non je n'ai pas été déçu...
Toujours juste ce roman nous oblige à faire face aux réflexions d'actualité, du plaisir immédiat, du bonheur qui est dû et de l'absence d'effort pour les atteindre.

Oui la réflexion est juste, le virus qui a paralysé notre monde récemment a quelque peu changé certaines priorités mais pour combien de temps avant que cette soif de bonheur ne nous submerge à nouveau.
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