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Elisabeth Suetsugu (Traducteur)
EAN : 9782809716207
240 pages
Editions Philippe Picquier (06/01/2023)
3.26/5   35 notes
Résumé :
Dans son atelier, Sawa concocte des teintures naturelles à base de feuilles, de branches, de fleurs et de racines pour faire surgir des plantes les couleurs les plus surprenantes. Dans cette recherche de la teinte invisible, elle tente de calmer le chagrin qui l'étreint au souvenir de son mari disparu.
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Voici le dernier roman de cette auteure traduit en France.

J'étais heureuse de découvrir cette oeuvre , ce fut une lecture en demi - teinte, traversée pourtant soit de mélancolie, soit d'éclairs de joie, le tout brouillon , où l'on passe souvent du coq à l'âne ….

Ou comment se relever et reprendre le cours de sa vie , apaiser les remous infinis de son coeur , l'infinie tristesse que Sawa, l'héroïne , ressent au souvenir du départ de son mari , architecte, alors qu'il vous laisse des dettes et une tour trapue de forme cylindrique, massive à souhait , sans la moindre élégance, comme seule trace de sa présence ? .

Dans cet ouvrage nous suivons Sawa, une belle artiste qui crée avec talent des pièces de teinture végétale : dans le jardin flottent , suspendues , les étoffes teintes : son atelier déborde de feuilles, de fleurs , de branches et d'armoise , de lichens de prunier , de rameaux de glycine et d'albizia .

Elle doit faire naître une couleur intérieure invisible, respirant secrètement au plus profond des plantes , insufflant la vie à chaque pièce de tissu .

Elle est infiniment heureuse des ses créations mais à chaque fois , un goût amer lui monte au coeur , il fait remonter à sa mémoire les jours qui ont suivi la disparition de son mari Haruhito, la déclaration à la police , l'avis de recherche et l'appel désespéré à toutes les personnes qui lui étaient venues à l'esprit…

À travers les différents personnages féminins , le lecteur s'attache à une exploration sur le lien tissé avec les autres , une sorte de recherche sur soi - même , projets ,envies , aspirations, notamment l'ainée de la fratrie obligée de remplir des obligations afin de compenser le manque du parent qui reste .

J'ai eu beaucoup de difficultés à m'attacher à ces personnages .
Pourtant il faut peut- être se laisser surprendre par la poésie , la lumière , la beauté de la teinture végétale, la féerie de la nature, la volonté de faire du beau..
Dommage que la narration soit un peu embrouillée, ou alors je n'ai pas compris les intentions de l'auteure .

C'est bien la première fois que je ne m'attache pas complètement à un roman japonais . La première de couverture est très belle, suggestive , en accord avec les couleurs les plus vives de la teinture végétale .

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La tour qui est la création secrète de l'architecte et père de famille Haruhito HIROSE sera érigée 1 an et demi après sa disparition brutale au pied de la maison familiale de la péninsule. 

Sa femme Siwa, bouleversée et dans l'incomprehension detestera cette tour et cherchera la raison pour laquelle il l'a imaginé en parallèle des raisons qui l'ont conduit à disparaître et à abandonner lâchementsa famille :

"Résultat, tout ce que Haruhito avait laissé, c'était cette tour qui ne servait absolument à rien. C'était ça, le conte de fées ? Un conte de fées noir et sinistre. Soleil et Ombre. Haruhito qui avait ainsi nommé son conte de fées avait-il réussi à se libérer du système? Ne s'était-il pas seulement laissé aspirer? Plusieurs années plus tard, dans l'enfer des fourmis tourmentées par l'argent? Non, la tour n'était pas un conte de fées. C'était un monument de la défaite Et elle pensa que Haruhito était un imbécile. Un Leviathan plutôt, oui ! Je ne veux causer d'embarras à personne? Menteur, sale tricheur."

Siwa HIROSE se lance alors dans la teinture végétale qui lui apportera du réconfort quand apparaissent les couleurs dans la bassine et enfin  sur ses tissus, viendra en opposition de l'ombre ou de la lumière de la tour de pierre un peu grossière et inquiétante d'Haruhito, qui émane sur ce territoire auquel elle s'attache…un lieu, ce lieu, qui lui ne risque pas de disparaître sans crier gare. 

Est-ce qu'il a voulu faire de cette tour un symbole pour lui-même ? Un cocon ? Elle n'a aucun rapport avec aucun système. 

La tour qui rappelle à sa fille Asuka âgée à présent d'une vingtaine d'année, la variante du conte de Jack et le haricot magique qu'avait inventé son père :

"Dans la version paternelle, Jack montait jusqu'au ciel en escaladant le haricot, jusqu'ici, pas de différence. Mais la suite variait sensiblement. Au ciel, il y avait une grande ville, Jack y faisait pousser de mystérieux haricots, grâce auxquels il allait dans une ville encore plus haute, où là encore il faisait pousser de mystérieux haricots, qui montaient de plus en plus haut. Bref, l'histoire ne connaissait pas de fin. Asuka trouvait ça stupide. 

«A ce rythme, Jack ne pourra jamais revenir chez lui! Pourquoi est-ce qu' il continue à monter de plus en plus haut ? »

 Alors, son père avait dit en riant : 

«Mais quel besoin aurait-il de rentrer? Puisqu'il est devenu le semeur de haricots du ciel ! Dans cette histoire, les haricots sont une architecture vivante. Un immeuble fait en haricots, c'est fantastique! Car les réalisations architecturales sont des choses vivantes !»

Cette famille décimée, la tour ombres et lumière et les couleurs végétales tout s'assemble dans ce nouveau récit profond et intense d'INABA Mayumi.

"C'est l'intérieur de ton coeur qui est sombre ! Et puis, il n'y a pas de trou qui ne soit qu'une simple cavité. Quel que soit le creux, il a sa raison d'être. le monde est rempli de vide. En toi aussi, il y a des vides."

Je suis entrain de le lire et j'ai besoin d'en parler maintenant… il y aura tellement encore à en dire après l'achèvement de ma lecture.

Est-ce qu'il vous tente ? Avez-vous lu d'autres romans de cette autrice talentueuse disparue ( 20 ans avec mon chats, La péninsule aux 24 saisons, La valse sans fin ?

Après avoir terminé le livre, je reviens un peu sur mon engouement car les personnages manquent de densité, et le texte est assez brouillon, de plus, il y a beaucoup de digressions. Cela dit je ne suis pas déçue d'avoir lu le dernier roman posthume de cette autrice qui m'a transportée avec ses livres précédents !
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Mille ans pour aimer est le dernier roman d'Inaba Mayumi traduit en France. Je me faisais une joie de découvrir ce roman ayant tout lu de l'autrice. Et malheureusement ce fut une lecture en demi-teinte.
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Dans ce roman, nous suivons Sawa, une artiste qui crée des pièces de teinture végétale. Elle évolue dans son petit atelier à la campagne, pas très loin de la mer. A ses côtés, sa fille Asuka qui l'aide de temps à autre. Les jours s'écoulent doucement au gré des saisons et des créations mais une ombre plane toujours sur Sawa, une ombre provenant d'une tour érigée dans son jardin, souvenir de son mari, architecte. Ce dernier a disparu du jour au lendemain, laissant derrière lui sa femme et ses jeunes deux filles, des dettes et cette tour, qui semblait être devenu une obsession avant son départ. de nos jours, l'aînée de la famille semble avoir pris ses distances et contrôler sa vie dans le moindre détail, la cadette cherche un sens à sa vie, vit de petits boulots, entretient une relation amoureuse un peu bancale et aide sa mère. Sawa quant à elle tente de s'épanouir en tant que femme indépendante, comme artiste, comme femme amoureuse. Mais cette ombre et le souvenir de son mari reviennent la hanter de temps en temps et fait trembler ses fondations.
.
C'est un très beau roman sur la reconstruction d'une famille et d'une femme en particulier. Comment avancer, comment supporter la disparition d'un proche quand on a eu aucune réponse à ses questions ? Quand le souvenir de la personne est incarné en une tour omniprésente dans son quotidien ? La teinture végétale, la nature apparaissent alors comme salvateurs. Les scènes de teinture végétale sont très belles, apaisantes et on apprend pas mal de choses sur les plantes et sur cet art. Les personnages secondaires sont très intéressants. Cependant, j'ai trouvé que la narration était assez brouillonne, qu'on passait un peu du coq à l'âne, certaines parties aurait mérité plus de développement, et au contraire, d'autres éléments narratifs sortent de nulle part et prennent tout à coup toute la place. J'ai eu du mal à m'attacher au personnage à cause de cette narration un peu fouillis.
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Comment se relever et reprendre le cours de sa vie lorsque celui que vous aimiez s'évapore dans la nature, vous laissant ses dettes et une tour dans le jardin de la maison familiale comme seules traces de sa présence ?
Voici ce qu'explore Inaba Mayumi dans son roman Mille ans pour aimer.

L'ensemble du roman tournant autour de la présence de la tour, je suis restée très perplexe quant à son utilité et sa place dans le roman excepté qu'elle permette de montrer le désir et la possibilité du personnage principal de pouvoir enfin avancer et tourner la page de son passé et de laisser sa vie avec son mari derrière elle en étant détruite à la fin du roman. Cependant, je n'ai pas compris le lien qui pouvait être fait entre l'histoire de Jack et le haricot magique et la tour.
J'ai été assez déroutée par le prologue ne comprenant pas où il devait me mener tandis que l'épilogue dessus m'a laissé assez dubitative.

A travers les différents personnages féminins on assiste à une exploration sur le lien que l'on tisse avec les autres que se soit son entourage proche ou non ; c'est une recherche sur soi-même et sa reconstruction lorsqu'un évènement bouleverse notre vie, sur nos aspirations, nos envies, nos projets. C'est réapprendre à faire confiance et accepter de partager sa vie et son passé avec quelqu'un d'autre. Mais c'est aussi découvrir que cet évènement à en partie détruit la vie de famille et forcé les enfants et surtout l'ainée de la fratrie à remplir des obligations parentales pour compenser un manque du parent restant.
Malgré un travail fait sur la psychologie des différents personnages, j'ai eu beaucoup de mal à m'attacher à eux restant en retrait de ce qui leur arrivait, voire parfois dans l'incompréhension de leurs attitudes les uns envers les autres notamment dans les relations mère-filles entre Sawa et ses deux filles et le dialogue entre elles qui semble s'être rompu ou distendu à l'extrême.



J'ai retrouvé dans Mille ans pour aimer cet aspect hors du temps et en déconnexion avec l'agitation de notre société mais tandis que j'avais savouré cette sensation dans La péninsule aux 24 saisons, je n'ai pas réussi à retrouver pleinement ce sentiment dans Mille ans pour aimer ayant sur les trois quart du roman la sensation de la survenance proche d'un drame bouleversant le rythme de cette vie de famille en cours de reconstruction.

Si j'ai été assez septique sur l'ensemble du roman pour les éléments concernant les personnages et leurs relations et la présence de la tour, j'ai apprécié tout ce qui concernait la teinture végétale, la présence de la Princesse dorée, la recherche des végétaux et cette volonté de faire du beau avec du naturel. J'ai trouvé ces aspects assez poétiques et qui contrebalançaient le reste du roman.

Je ressors mi-figue mi-raisin de cette lecture assez brouillonne, passant parfois du coq à l'âne et me perdant dans ce que cherchait à raconter Inaba Mayumi. J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher aux personnages sur la quasi totalité du roman tout en étant satisfaite du final qui leur a été donné. Je n'ai clairement pas compris la finalité de la tour autour de laquelle gravite toute l'histoire et je trouve le choix du personnage principal concernant le destin de la tour tout à fait logique.
Je suis assez déçue de ma lecture de Mille ans pour aimer n'ayant pas retrouvé ce qui m'avait tant plu et attiré dans La péninsule aux 24 saisons. Je pense être passée à côté de cette lecture, dommage !
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J'ai été séduite par le rythme et la poésie de ce roman mais aussi par la place qu'il laisse à l'imagination. On suit Sawa mais on ne sait pas vraiment ce qu'elle pense, la part de ses réactions qui est attribuable à la différence culturelle et celle qui vient de son moi profond sont difficile à dénouer. C'est un beau roman en demi-teintes, il y a beaucoup de mélancolie et pourtant des éclats de joie aussi. Il faut y aller comme en poésie, se laisser surprendre, charmer et accepter que comme cette tour dans le jardin, tout ne soit pas explicable ou logique. C'est d'ailleurs un motif récurrent, pourquoi chacun agit ne semble connu que de lui seul et ainsi nous sommes amenés à conjecturer, à nous inquiéter pour les personnages. C'est un livre qui se lit comme on l'écrirait, notre regard influe sur son intensité.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
C'est vrai, j'aime Sawa. Mais l'amour n'a rien à voir avec le mariage. Pour commencer, votre mère n'en voit pas la nécessité. C'est pour ça que je flotte autour d'elle comme un nuage. Savez-vous, être un nuage est tout à fait plaisant ! p.35
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Tout en prêtant une oreille attentive à la voix des plantes, Sawa rabotait l'écorce des arbres, éminçait les jeunes feuilles, les fleurs, les fruits, et elle se penchait au-dessus des cuves, le visage crispé par l'attention. Quand elle se tenait devant ses bassines, elle était indifférente à tout le reste. Et lorsqu'elle avait obtenu la teinte qu'elle désirait, elle se sentait enveloppée dans une sorte d'ntimité, comme si elle s'était approchée du mystère des plantes.
Les femmes d'autrefois ne mettaient-elles pas en scène leurs sens et leurs sentiments en jouant avec les couleurs de leurs vêtements ? Ou plutôt, s'abandonnant à la couleur des plantes, finissaient-elles peut-être par ne faire qu'une avec la nature ?
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Dans la version paternelle, Jack montait jusqu'au ciel en escaladant le haricot, jusqu'ici, pas de différence. Mais la suite variait sensiblement. Au ciel, il y avait une grande ville, Jack y faisait pousser de mystérieux haricots, grâce auxquels il allait dans une ville encore plus haute, où là encore il faisait pousser de mystérieux haricots, qui montaient de plus en plus haut. Bref, l'histoire ne connaissait pas de fin.
Asuka trouvait ça stupide.
«A ce rythme, Jack ne pourra jamais revenir chez lui! Pourquoi est-ce qu' il continue à monter de plus en plus haut ? »
Alors, son père avait dit en riant :
«Mais quel besoin aurait-il de rentrer? Puisqu'il est devenu le semeur de haricots du ciel ! Dans cette histoire, les haricots sont une architecture vivante. Un immeuble fait en haricots, c'est fantastique! Car les réalisations architecturales sont des choses vivantes!»
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«  La lumière, c’est le fondement de l’architecture .
C’est parce qu’il y a de la lumière que l’ombre est belle » , avait dit son père.

Asuka n’était alors qu’une écolière, elle ne savait pas ce que c’était que l’architecture, mais à présent , elle avait l’impression de comprendre un peu ce que son père avait voulu dire » .
Pourquoi ? .
Où qu’on se trouve, la lumière qui venait du ciel était limpide, les ombres que projetaient les choses étaient nettes .
Chaque feuille des arbres, les formes sauvages des rochers sur le rivage[…………] tour à tour oscillaient entre la lumière et l’ombre » ..
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Résultat, tout ce que Haruhito avait laissé, c'était cette tour qui ne servait absolument à rien. C'était ça, le conte de fées? Un conte de fées noir et sinistre. Soleil et Ombre. Haruhito qui avait ainsi nommé son conte de fées avait-il réussi à se libérer du système? Ne s'était-il pas seulement laissé aspirer? Plusieurs années plus tard, dans l'enfer des fourmis tourmentées par l'argent? Non, la tour n'était pas un conte de fées. C'était un monument de la defaite Et elle pensa que Haruhito était un imbécile. Un Leviathan plutôt, oui ! Je ne veux causer d'embarras a personne? Menteur, sale tricheur.
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