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sur 581 notes
Avec Ce que savait la nuit, et Konrad, son ex flic à la retraite, croisé dans Passage des ombres, nous continuons d'avancer à tâtons dans cette nouvelle histoire concoctée par Arnaldur Indridason.

Ici, la mémoire et les souvenirs supplantent les réponses obtenues par les données et les relevés scientifiques. L'être humain y surpasse la technologie, c'est moins rapide, chronophage mais d'une efficacité redoutable.

Les énigmes se résolvent peu à peu, au gré des rencontres, de flash-back, de témoignages.
Le temps se dilate, l'espace temps est roi, et la réalité en 3D, les temporalités s'entrelacent.

Les nuits sont plus longues que les jours en cette fin d'automne. Les saisons balisent le récit et, la météorologie celle de l'état d'esprit de Konrad.
Konrad, cet enquêteur vieillissant qui , lui aussi comme son prédécesseur Erlendur, redonne la voix à ceux qui se sont tus il y a déjà bien longtemps, se faisant le médiateur entre le monde des vivants et celui des morts.

Eclipse lunaire, fonte des glaces, nous sommes si petits et si grands, des poussières d'étoiles en attente du grand voyage semble nous chuchoter Arnaldur Indridason, déchirés, écartelés entre nos parts d'ombre et de lumière, une lutte sans répit que son compatriote le poète Einar Benediktsson (1864-1940) a su si bien évoquer.

Alors encore une fois chapeau bas Monsieur Arnaldur Indridason, bravo à Eric Boury,
merci pour ces vagues d'émotions que vous savez si bien susciter.
Un roman policier qui va bien au-delà du genre,
une réflexion existentialiste teintée d'une grande humanité… et des préoccupations universelles et très actuelles.
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Un flic à la retraite cesse t' il d'être un flic lors de la retraite ?
C'est un peu la question qui vient à l'esprit du lecteur en commençant ce roman. Une fois fini, il a sa réponse....
Il est des affaires qui obsèdent les policiers bien longtemps après, surtout si l'enquête n'a jamais abouti. On appelle ça les "cas boomerang", parce qu'ils vous reviennent en pleine gueule , le jour, la nuit ...
C'est le cas de "l'affaire Sigurvin", un homme disparu depuis trente ans. Son ex-associé a été accusé de meurtre , il a toujours proclamé son innocence, sans cadavre, les policiers n'ont jamais pu prouver sa culpabilité. Mais sa vie en a été impactée, et entachée. ...Et voilà, que le cadavre de Sigurvin apparaît après trente ans, Konrad est consulté à titre officieux, c'est lui qui était en charge de l'enquête à l'époque.
Luttant contre la culpabilité d' être passé à côté de quelque chose, contre la culpabilité d'avoir désigné un coupable qui ne l'était peut- être pas. Luttant contre le fantôme de son père ( un homme peu recommandable). Luttant contre le fantôme de sa femme ,morte d'un cancer. Luttant pour ne pas perdre les souvenirs qu'il avait avec elle et pour continuer à vivre vaille que vaille...
Luttant contre ce cold-case, contre le froid islandais, contre la nuit qui petit à petit recouvre le pays...
Luttant contre la nuit qui savait tout , qui a toujours su mais qui n'a rien dit...
Un roman policier d'ambiance contre lequel je n'ai pas lutté , puisqu'il m' a happé dés ses premières pages...
Ah ! La magie des romans qui venaient du froid...

Challenge mauvais genres.
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J'ai retrouvé Arnaldur Indridason et l'Islande et ça, c'était bien. J'ai retrouvé Konrad, personnage rencontré dans la Trilogie des Ombres, et j'ai aimé reprendre un verre de vin avec ce retraité de la police. Konrad qui s'ennuie de son épouse, de son travail, qui ne sait comment occuper ses journées et pour qui l'ombre du père fourbe et criminel pèse lourd sur ses épaules. Pour qui le souvenir de l' enquête non résolue de la disparition de Sigurvin est comme un mauvais rêve dont on ne peut se débarrasser. Et voilà que le corps de Sigurvin est retrouvé dans un glacier par des touristes allemands. de façon non officielle et avec la complicité de Marta, son ancienne cheffe, il reprendra l'affaire. Comme il est retraité, il trouve comme prétexte pour enquêter, d'aider à retrouver le chauffard qui aurait mortellement happé un homme lors d'une tempête de neige et ce , à la demande de la soeur de la victime.
Voilà. Disons que ce n'est pas le meilleur opus d'Indridason à mon avis. Mais l'on sent bien l'ennui de Konrad, on comprend que la retraite n'est pas que joie et vacances. le passé est toujours là, pas très loin et la retraite servirait-elle à élucider certains mystères d'un passé familial trouble ? Je crois que l'auteur n'en a pas fini avec Konrad. Espérons toutefois que celui-ci reprendra un peu plus goût à la vie !
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Ce que j'ai ressenti :

***Tu te rappelleras le souffle de l'elfe…
Quelle joie de pouvoir me replonger dans les eaux froides de l'Islande, et retrouver l'ex-inspecteur Konrad. Je me rappelle l'immense coup de coeur pour Passage des Ombres et j'étais contente que ce nouveau tome soit dans la continuité de la Trilogie des Ombres. Ce personnage est particulièrement touchant, et grâce à cette nouvelle enquête et le cadavre sorti du glacier de Langjökull, j'ai pu retrouver de la magie de mon précédent ressenti, tout en découvrant encore des facettes intéressantes du personnage de Konrad. Les elfes ne sont plus, mais il n'en reste pas moins qu'il y a quelque chose de fascinant à se plonger dans les romans de Arnaldur Indridason.

« -Et dire qu'il y a encore des gens pour douter des effets de l'activité humaine sur le climat, avait déploré le glaciologue dans l'émission matinale. »

***Tu entendras les vibrations de la Lune.
Arnaldur Indridason m'a encore conquise avec sa plume, un mélange de poésie et de force tranquille. Il conte avec une douce mélancolie, les affres de la culpabilité, tout en déclinant les sonorités des appels silencieux des coupables et des innocents. La Lune, témoin des drames, éclaire d'une douce lumière les pires douleurs. Il y a eu un moment magique avec cette éclipse de lune, qui m'a énormément touchée…De manière posée et efficace, ce roman noir est à la fois un passionnant engrenage d'interrogatoires et une contemplation d'une beauté stupéfiante. Maintenant, je rêve de voir L'Islande au clair de Lune, c'est dire, son pouvoir de persuasion….

« La lune était décrite ainsi dans un poème : elle était la boucle de la nuit. L'antique amie des amants. »

***Tu diras…Ce que savait la nuit
La nuit, les secrets sont toujours plus lourds à porter, alors Konrad récolte les confidences, les souffrances, les aveux terribles… Même à 30 ans du drame, les mots ressortent, les souvenirs resurgissent, les ombres reviennent…Les fragments de vies se collent un à un, et doucement le puzzle de ce meurtre sordide, prend forme dans le regard hanté de cet inspecteur à la retraite…Le rouge et le noir s'épousent sur un fond blanc glacé, et c'est magnifique…

« La seule manière de vaincre la mort est de l'accepter. »

Le petit +: La couverture sublime!



Ma note Plaisir de Lecture 9/10
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Ah la la la la ! Dire que j'avais emprunté ce livre pour mon troisième week-end vaccinal - car apprenez que je suis des protocoles pour un certain nombre de cas de figures, comme l'arrivée d'une rhino-pharyngite, d'une grippe, et maintenant en cas de vaccination, protocoles qui incluent une dose de ménage, la préparation de plats faits maison puis surgelés, ainsi que des lectures adaptées à la situation, allant des albums des Barbapapa à certains romans policiers. Bon là, j'ai triché, car le jour de ma vaccination, j'ai préféré feuilleté des livres d'art, en me contentant de regarder les images. J'attaque donc Ce que savait la nuit le lendemain de ma vaccination et là, je m'endors au bout d'un chapitre (précisons que les chapitres de ce roman sont très courts). Même chose le lendemain. Et le jour d'après.


Vous avez saisi le concept : pendant trois semaines, je n'ai fait que m'endormir en lisant ce roman, et je ne compte plus les nuits pendant lesquelles je me suis réveillée avec la lumière de ma lampe de chevet en pleine figure, ni celles où mon copain m'a retrouvée ronflant allègrement livre en main. N'ayant rapidement plus l'excuse du vaccin pour expliquer cette lassitude qui me prenait invariablement, j'ai pensé que c'était le livre qui posait problème, et sérieusement envisagé de le lâcher. Mais, bizarrement, alors que ce roman ne m'intéressait pas, je voulais connaître la fin, et, encore plus bizarrement, je me suis retenue de lire directement les dernières pages (ce que je faisais quand j'étais jeune avec certains Agatha Christie, et que je regrettais aussitôt). J'ai fini par me convaincre que le livre n'y était pour rien, que j'avais trop de mal à me concentrer et à prendre du recul à cause de certains événements absolument passionnants de ma vie, comme des problèmes de vase d'expansion, de purgeur, et autres machins bien connus des plombiers-chauffagistes (non, ce ne sont pas des métaphores salaces, ignares en plomberie que vous êtes !) et dont les écrivains ne parlent pas assez souvent, me semble-t-il. Je ne remercierai donc jamais assez les Babeliautes fans d'Arnaldur qui ont écrit que ce roman n'était pas terrible, voire mauvais : fini l'auto-flagellation, tout est la faute de l'auteur !


D'Arnaldur Indriðason, je n'avais lu que Les Fils de la poussière (sympathique), et Les Nuits de Reykjavik (moins bien), de la série Erlendur - et c'est sans compter l'adaptation cinématographique de la Cité des jarres. Je passe vite fait sur la traduction, vu que je me suis assez épanchée dans ma critique du roman Les Fils de la poussière. En gros, mêmes problèmes, y compris ces foutues erreurs dans l'utilisation de la concordance des temps qui me rendent complètement dingue... mais gardons la tête froide. J'avais choisi ce livre pour tenter autre chose que la série Erlendur (du nom du personnage principal de nombreux romans d'Arnaldur Indriðason) et mal m'en a pris. le personnage ici central, Konrad, un policier à la retraite déjà apparu dans la Trilogie des ombres du même auteur (trilogie que je n'ai pas lue et que je n'ai désormais aucune envie de lire un jour), ressemble étonnamment au personnage d'Erlendur, si bien que j'avais tout le temps en tête le visage d'Ingvar Eggert Sigurðsson, qui jouait Erlendur dans Jar City du réalisateur Baltasar Kormákur (vous les connaissez tous les deux si vous avez vu la série TV Trapped). Par conséquent, c'était un peu raté pour le changement de programme.


Et c'est d'un mou ! Je me souviens qu'un membre de SensCritique avait écrit un jour quelque chose comme "J'aime bien les trucs mous, mais là, c'est exagérément mou" (je précise qu'il parlait de musique). Je reprends ici cette formulation, tellement elle s'applique parfaitement à mon cas. Je peux apprécier des enquêtes lentes, qui s'appuient sur un aspect réaliste du travail policier, sur une ambiance morne, etc., etc. Encore faut-il quelque chose pour accrocher le lecteur. Ici, on a un cold case rouvert à cause de la découverte du corps d'un type disapru depuis... j'ai oublié depuis combien de temps, en fait - ça fait longtemps, mais à l'heure qu'il est, et alors que j'ai laborieusement terminé le roman ce matin, je suis incapable de dire s'il est censé s'être passé vingt, trente ou quarante ans entre la disparition du type et la réapparition du corps. Peu importe. Konrad (le faux Erlendur), pourtant à la retraite, reprend du service pour élucider la chose, tout en refusant de reprendre du service, tout en reprenant quand même du service sans reprendre du service... Bon, tout ça n'est franchement pas clair, et je suis sûre que légalement, ça ne tient pas la route (je sais pas vous, mais pour ma part, j'aurais pas envie d'aller répondre aux questions d'un policier à la retraite qui prétend m'interroger pour le compte de quelqu'un soi-disant afin de rendre service, c'est pas vraiment une démarche qui me mettrait en confiance). En plus, je sais pas, il s'y prend mal ce Konrad, il commence à poser des questions et dès que ça devient un peu intéressant il dit "Au revoir" à son interlocuteur, c'est pas très constructif. Pas étonnant que l'enquête n'avance pas ! Et alors qu'on n'avance toujours pas, ne voilà-t-y pas qu'on se met à parler de la mort mystérieuse du père de Konrad, qui n'a strictement rien à voir avec cette enquête. Ah ben ça risque encore moins d'avancer ! Je n'insisterai pas sur les passages un peu réacs qui n'arrangent pourtant pas nos affaires : les femmes ne s'intéresseraient qu'au maquillage et pas du tout au sport, les jeux vidéos seraient forcément idiots, tout comme les films d'action, etc., etc. Bref.


L'intrigue n'a certes rien d'original, mais rien de nullissime non plus. C'est juste la façon dont c'est traité qui est ennuyeuse. Il se trouve que Ce que savait la nuit a été écrit par Arnaldur Indriðason plus de vingt ans après son premier roman, qu'Arnaldur publie beaucoup et que ça sent la vieille recette éculée. Et alors que je commençais juste à me dire que finalement, bon, c'était peut-être pas si mal que ça, arrive la fin, avec une espèce de morale à la con et mal assumée. J'ai déjà dit que je regardais pas mal de séries télé scandinaves, notamment policières ; or, dans ce roman, on est très loin des choix très violents que peuvent faire des personnages de policiers dans certaines de ces séries, sans pour autant qu'il nous soit imposé un point de vue moral sur leurs actions - je pense en particulier à Bron/Broen ou à Forbrydelsen. Dans Ce que savait la nuit, c'est tout le contraire. Ce que j'ai trouvé assez déplaisant, en sus d'être tout simplement chiant.
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Le corps d'un homme vient d'être retrouvé piégé dans un glacier en Islande.
Cet homme avait disparu 30 ans plus tôt et c'était Konrad qui avait été chargé de cette affaire à l'époque.
Mais Konrad n'est plus policier, c'est un retraité qui a beaucoup de temps devant lui depuis qu'il est veuf et ça le démange de participer à l'enquête car il n'a jamais oublié cet homme et cette enquête inachevée.
Mais bien entendu, au bout de tant d'années, il ne reste aucun indice matériel, seulement de vagues souvenirs et encore….
C'est donc une vraie quête à travers la mémoire que Konrad va entreprendre, la sienne et celle des quelques témoins de l'époque, d'autant qu'il est lui même hanté par le meurtre non résolu de son père.
J'ai beaucoup aimé l'ambiance mélancolique de ce roman et les descriptions de la vie en Islande.
Un roman hypnotique.
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Où l'on retrouve un personnage du dernier tome de la trilogie des ombres...Konrad, le policier à la retraite qui aime se replonger dans les affaires classées et aider ses anciens collègues.

Découverte macabre par un groupe de touristes et leur guide ( métier en expansion sur l'île depuis quelques temps, permettant aux personnes au chômage de se reconvertir ) dans un glacier qui commence à fondre: le corps congelé d'un homme disparu depuis trente ans, Sigurvin. Konrad, alors en activité, était obsédé par cette affaire non résolue. L'associé du mort avait été suspecté, mais sans aucune preuve, il n'avait pas pu être arrêté. Et Konrad ne croyait pas vraiment en sa culpabilité. Et voilà que le corps est retrouvé !

C'est un accident suspect qui permettra de relancer l'enquête. Un accident pour éliminer un témoin gênant. Mais n'en disons pas plus.

Comme toujours, l'auteur livre une description sans concession de la réalité sociale actuelle de l'Islande, après une crise économique sans précédent. Et les retours dans le passé vont, eux, faire ressurgir des trafics d'alcool et de drogue.

Mais le roman permet aussi de mieux découvrir le personnage complexe de Konrad, seulement esquissé auparavant. Même s'il m'attire moins qu'Erlendur, il a néanmoins un côté attachant, des déchirements intérieurs dus essentiellement à une enfance difficile et à des remords concernant le couple qu'il formait avec Erna. Ses souvenirs de sa femme décédée sont fort émouvants.On pense, la fin le laisse présager, le suivre dans d'autres enquêtes, et notamment on se doute qu'il voudra éclaircir l'assassinat de son père...

Un opus intéressant et prenant, cependant pas parmi les meilleurs de l'auteur, selon moi.
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Un bon "cold case" mélancolique, surprenant avec peu d'action pour un climat et un côté social et psychologique excellemment dépeint. le rythme est tel que j'ai ressenti un drame social au lieu d'un polar dans le bon sens. Une bonne lecture sans cruauté particulière chargée plutôt de la misère humaine. Les personnages sont secrets, marqués par le poids du passé. L'intrigue n'a rien d'exceptionnelle, un dénouement à la hauteur du livre.
J'ai aimé ce Konrad, policier à la retraite, qui met son nez dans une vieille affaire non résolue qui le hante.
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Je ne m'y connais guère en polars. Mais je me souviens avoir lu il y a longtemps, de cet auteur, « La femme en vert » et «L'homme du lac », que j'avais beaucoup aimés.

A vrai dire, ici, je me suis un peu ennuyée, ou du moins j'ai trouvé que tout le déroulement de l'enquête était assez plan-plan.

Konrad, un policier depuis peu retraité, est contacté par une de ses anciennes collaboratrices toujours en exercice. En effet, on a découvert un cadavre dans un parfait état de congélation dans un glacier (tout le monde sait que les glaciers fondent peu à peu à cause du réchauffement climatique). Et cet homme congelé, Konrad l'avait cherché des mois durant, trente ans auparavant. le présumé assassin a toujours nié l'avoir tué, et cette fois encore, il le rappelle pour le prier instamment de retrouver le vrai, celui qui a gâché sa vie.
Et voilà Konrad repris par la fièvre de l'enquête. On ne se refait pas !

Et me voilà aussi en train de le suivre, de rencontrer des gens qu'il n'avait pas eu l'occasion de connaitre dans le passé. C'est qu'il suit une autre piste.

Bref, je ne vous en dirai pas plus, je n'ai pas du tout envie de décortiquer l'enquête ni d'analyser quoi que ce soit. Je sors d'une bonne grippe et mes neurones ont des difficultés à se dégripper.
3 étoiles, c'est bon mais c'est assez.
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Il fallait à un moment que je sois moins emballée par cet auteur. Voilà c'est arrivé.
Le flic à la retraite est sympa, bourré de questionnements, de doutes, l'atmosphère islandaise est tjrs aussi plaisante. Mais je n'ai pas réussi à m'intéresser à cette histoire. Au point que, chose exceptionnelle, il a fallu que je revienne en arrière car le nom de l'assassin ne m'évoquait absolument rien ! Et pourtant en ces temps de confinement j'ai pu lire vite ce polar ! Alors je ne sais pas pourquoi j'ai moins accroché. Atmosphère de confinement ? Fatigue de ma part ? Alors que j'ai tjrs apprécié cet auteur, là le fond du polar en lui mm ne m'a pas emballée. Et le reste n'a pas été suffisant pour monter ma note finale.... Une réelle pointe de déception...
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