Waltz, tome 1

Il n'a pas d'amis, pas de famille, il n'a même plus de nom, il est tueur à gage. Pour une poignée de yens, ce jeune homme tout juste sorti de l'adolescence tue sur commande, mais se laisse parfois emporté par sa fougue et sa susceptibilité et peut aussi tuer son commanditaire pour une parole ou un geste qu'il n'a pas appréciés. Il est doué pour le meurtre mais c'est un amateur. Ce à quoi veut remédier Iwanishi, un mystérieux inconnu bien décidé à le prendre en main pour faire de lui un professionnel. Iwanishi n'a que faire des récriminations de son protégé. Contre son gré, il devient son "manager", le soumet à des épreuves et lui donne même un nom: désormais il sera "La Cigale".


Nous assistons, dans ce premier tome, aux débuts de la Cigale, tueur à gage qui sévit aussi dans le prince des ténèbres. Sous la houlette de son mentor, le jeune homme va passer du statut d'amateur à celui de tueur professionnel, car il ne suffit pas de savoir manier le couteau pour exceller, il faut aussi de la réflexion, de l'efficacité et du style. Toutes choses qu'Iwanishi propose de lui enseigner.
Ceci dit le propos du manga est surtout l'action. Les scènes sanglantes se succèdent sans trop d'originalité et, si les dessins sont plutôt nets et précis, il ressort tout de même de l'ensemble un sentiment de répétition et d'ennui. Les personnalités sont survolées, les tentatives d'humour assez vaines. Ce qui prévaut, ce sont les meurtres, les gorges tranchées, les corps étripés.
La fin laisse présager que la violence sera encore au rendez-vous dans le tome suivant avec une guerre de rivalité entre tueurs. Pour certains, l'action, la violence et le sang peuvent être suffisants mais personnellement, j'aurais aimé un scénario plus travaillé, une histoire qui se tienne. Je n'ai pas détesté mais je reste un peu sur ma faim. A suivre donc pour voir si tout cela s'améliore.

Merci à Babelio et Kurokawa pour cet envoi dans le cadre de l'opération Masse critique.

L'auteur nous indique qu'on peut lire ce manga même si on ne connaît pas la série mère le prince des ténèbres. Soit, j'ai essayé et le résultat n'est absolument pas convaincant! C'est également censé se situer 4 ans avant les faits de la série d'origine. On suit le destin d'un tueur en herbe. Il aura également un tuteur qui devra lui refaire toute son éducation tout en lui apprenant les petits trucs de ce métier pas comme les autres.

Encore un manga hyper violent qui manque de psychologie propre. On retrouvera encore tous les défauts et travers du genre. Ce tueur à gage est sensé nous intriguer. Cependant, on est loin d'une série comme « Le tueur » par exemple. On dirait même que certaines expressions ont été littéralement détournées. Je n'accuse pas, hein ! En tout état de cause, c'est trop poussif et pas assez crédible.

Un manga gore qui pourra sans doute séduire une certaine population en manque de défouloir. Il faut dire que cette cigale m'a un petit peu pris au dépourvu quand la bise fut venue.

Waltz Tome 1 nous fait découvrir le quotidien d'un jeune tueur à gages, adepte du couteau. le lecteur découvre rapidement que le jeune héros sans nom n'est qu'un amateur, très impulsif, capable par exemple d'assassiner son commanditaire du moment pour un mot de trop. Sa vie est des plus sinistres et solitaires jusqu'au jour où apparaît un inconnu nommé Iwanishi, qui se met en tête de devenir son manager et de faire de lui un vrai pro. Il le baptise « La Cigale » et décide de le tester au cours de plusieurs missions dangereuses...

Ce manga est tout en hémoglobine : la Cigale y massacre au couteau tous ceux qui se mettent en travers de son chemin. D'où un premier tome très violent (et la suite semble être du même acabit). le dessin, très incisif, accentue la noirceur du héros et introduit beaucoup de rythme. L'histoire parait en revanche assez classique : un mystérieux inconnu prend sous son aile un jeune adolescent inexpérimenté et sans famille. L'humour atténue quelque peu la tension présente dans tout le manga : Iwanishi abreuve ainsi la Cigale de devises fumeuses d'un certain Jacques Crispin, il provoque l'adolescent afin que celui-ci réfléchisse et n'agisse pas comme un sauvage écervelé, etc. Ce premier tome remplit assez bien son rôle car il donne envie de lire la suite et notamment l'affrontement à venir entre la Cigale et le « Briseur de nuques ». En conclusion, il s'agit d'un manga efficace et qui se lit sans déplaisir.

Merci à Babelio et Kurokawa pour m'avoir fait découvrir ce manga dans le cadre de "Masse critique"!

4ième de couverture :"L'homme est un loup pour l'homme et la seule issue pour les brebis égarées est : la mort. "La Cigale", sous ce pseudonyme se cache un tueur à gages désabusé et impulsif. Dans les bas-fonds, la seule évocation de son nom fait trembler les plus endurcis des mafieux. Mais qui est vraiment cet assassin et quelles sont ses motivations ? Courage, confrontation, détermination. Laissez-vous emporter dans une valse ensanglantée pour le découvrir".



C'est la série des découvertes avec Babelio. Lors d'une masse critique précédente, j'avais découvert le livre audio et dans celle ci dédiée a la bande dessinée j'ai lu mon premier manga. du manga, hormis le sens de lecture, je ne connaissais rien du tout et je pensais grâce a ce titre me faire une petite idée. Hélas, j'espère que ce livre ne représente pas tout l'intérêt des mangas car hormis des hectolitres d'hémoglobine et de la baston en veux tu en voila, on ne peut pas dire l'histoire soit intéressante et palpitante. le dessin est classique pour le genre mais avec ces expressions exagérées qui m'énerve et que l'on voit souvent dans les dessins animées japonais de série (quand un personnage pleure ce n'est pas des larmes mais une fontaine qui sortent des yeux,etc...). Une caricature de manga qui confortera ses détracteurs qui ne voient dans ce genre qu'une expression de violence.

Une expérience intéressante, a défaut d'être réussite, que j'ai pu faire grâce a Babelio et aux éditions Kurokawa
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..

Ce manga est très violent à cause du sujet (des tueurs en série) mais on a l'impression que l'auteur se complait à la montrer plutôt qu'à présenter ses personnages. Il faut donc un certain temps avent que le lecteur puisse s'intéresser à leur histoire et s'inquiéter de leur sort. Accrochez vous donc sur ce premier tome car c'est dans les suivants que l'histoire devient légèrement plus intéressante.