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3,66

sur 8868 notes
Et hop, vite fait, un ptit mot sur un best seller que tout le monde avait lu sauf moi.
Voilà qui est réparé et je ne le regrette pas.

Tout simplement jubilatoire !
Allan Karlsson, le jour de ses 100 ans décide de se faire la malle et saute en charentaises par la fenêtre de sa maison de retraite. 200 pages plus loin, il aura la police, les journalistes et un gang de dealers sur les basques. C'est pas ça qui va l'émouvoir, l'ancêtre, il en a vu d'autres ! Et puis comme il le dit lui-même : "Quand la vie joue les prolongations, il faut bien s'autoriser quelques caprices."
Ce bouquin peut rappeler Irving (pour l'histoire de la vie qui se mêle à L Histoire), Paasalinna (pour le récit loufoque et l'ambiance nordique) et Kennedy Toole (pour l'aspect ubuesque de certains personnages) : c'est un cocktail aussi détonnant que les pétards d'Allan.
Le roman est construit sur une alternance de chapitres « fuite d'Allan au présent » et « histoire de la vie d'Allan ». Ainsi, au fur et à mesure que l'on suit cette cavale du centenaire, on découvre aussi son passé, et le tout s'imbrique parfaitement.
On croise une foule improbable de personnages historiques.
Car la vie d'Allan a été riche, plus riche que de raison. Son talent d'artificier allié à une suite d'évènements particuliers, un gros faible pour la vodka et à sa chance insolente l'ont mené sur les lieux et chemins des épisodes historiques les plus célèbres de la seconde moitié du XXème siècle même si, bien souvent Allan, ne comprend pas grand-chose, tout hermétique qu'il est aux concepts politiques et religieux.

Je remercie aux passages tous les copains copines qui ont fait de si bonnes critiques de ce bouquin que je ne pouvais pas faire l'impasse.( Arrête de sourire, Laurence, un jour, je viendrai au bout de ma PAL…)
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Loufoque, truculent, ce récit déjanté vous embarque pour la Suède et un tour du monde dans les pantoufles d'Allan Karlsson.
Ce vieillard centenaire, cabochard se fait la malle de la Maison de retraite qui l'a accueilli le jour de son anniversaire. Nous le suivons dans ses aventures rocambolesques dans sa Suède natale mais aussi grâce à de nombreux retours en arrière nous suivons sa vie à travers les grands événements de l'histoire auxquels cet étrange bonhomme a été mêlé de près.
Ces incursions de la grande Histoire dans la petite sont comme des pépites incrustées dans un road movie qui sans cela aurait pu être somme toute banal, elles donnent à ce roman tout son relief.
Le ton est humoristique, l'autodérision est le maître mot de ce roman original dont les personnages secondaires sont tout autant attachants que notre héros hors d'âge .
Un excellent moment de lecture, après "Et puis Paulette" je vais finir par devenir gérontophile!
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« J'ai cent ans et j' suis bien content
J'ai encore mal aux dents
Mais la souffrance c'est très rassurant
Ca n'arrive qu'aux vivants
J'attends tranquille sur mon banc
Que ce vieux monde explose
Tant il se décompose
Moi ça fait quatre vingt quinze ans
Que j' crois plus à grand chose
Il est temps que j' me repose »

Le vieux Allan Karlsson aurait pu chanter ce couplet de Renaud le jour de son anniversaire mais au lieu de jouir d'un repos bien mérité dans sa maison de retraite, il préféra sauter par la fenêtre de sa chambre et se faire la malle.
Faire une fugue en charentaises quand on a cent ans, ça peut surprendre, mais quand on connaît le destin de cet énergumène, on finit par se dire que cette fugue était finalement dans l'ordre des choses.

C'est cette cavale que nous raconte Jonas Jonasson. La cavale complètement folle d'un vieux complètement déjanté. C'est plutôt cocasse et ça fait sourire évidemment...
Une cavale entrecoupée par des chapitres retraçant la vie d'Allan, artificier suédois de son état. Des chapitres qui prennent bien de la place dans ce roman loufoque car le moins que l'on puisse dire c'est que la vie d'Allan fut bien remplie. Sa vie, c'est de la dynamite, si j'ose dire, susceptible d' exploser à tout moment et prête à faire péter tous les coins de la planète.
Allan, c'est une sorte de « Mister Bean » mais en moins con tout de même ou une sorte d' « Attila » mais en beaucoup plus gentil. Il faut dire aussi que partout où il passe, y'a forcément une catastrophe qui survient : utilisation de la bombe atomique, incendie de Vladivostok,crise cardiaque de Staline...et j'en passe. C'est à se demander comment, lui, il a pu survivre à tout ça.
C'est qu'Allan est un éternel optimiste, prêt à rendre service à qui se montrera un peu gentil avec lui en lui offrant un bon dîner bien arrosé et très habile pour transformer la vérité - en veux-tu en voilà - pour arranger ses interlocuteurs, qu'ils soient président de la république, révolutionnaire, procureur, dictateur ou petit escroc...

J'ai passé indéniablement un bon moment avec ce roman inventif à l'humour absurde même si les chapitres relatifs à la vie du héros m'ont parfois paru bien longs. Il faut dire aussi que le vingtième siècle n'est pas une de mes périodes historiques préférées et que je suis sans doute passer à côté de certains sous-entendus liés aux événements géopolitiques de cette période. Dommage...
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Quelle aventure extraordinaire !!! un régal.

Jamais j'ai autant ri en lisant un livre. Cette histoire est complètement folle et l'auteur à un sens de l'humour vraiment tordant.

D'ailleurs si vous, lecteurs de ce livre, connaissez d'autres bouquins dans ce style et aussi bien fait, n'hésitez pas à me donner des idées :-) car j'en redemande... dommage qu'il n'y aura pas de suite.

Tout commence par l'histoire d'Allan Karlsson qui s'échappe de sa pension pour personnes âgées le jour de ces 100 ans et qui vole une valise pleine d'argent à la gare et part à l'aventure.

Mais le livre passe très rapidement au récit de la vie d'Allan depuis sa naissance et au début je n'avais pas envie que cette partie prenne trop de place dans le récit, je ronchonnais pour que, vite, on retrouve la suite de la désopilante cavale du vieux.

Mais vous verrez que plus le livre avance plus c'est l'histoire de sa vie qui prend de l'importance et finalement cette histoire est encore plus incroyable et irrésistible que sa cavale.

Biensûr tout est faux et l'histoire est impossible mais construite de manière à pouvoir l'être. On devrait d'ailleurs classer se livre dans la section Science-fiction ou histoire :-) hi hi

Allez.... pour ceux qui ne l'ont pas lu et qui n'ont pas peur du deuxième degré, lancez-vous immédiatement dans ce tour du monde fantastique. Prévenez votre famille que le sourire bébête qui s'affiche sur votre visage dès l'ouverture du bouquin n'est pas dû à un tic nerveux ou une attaque cérébrale.



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Vous connaissez Une Histoire Vraie, de David Lynch? Ce vieil homme de 73 ans qui veut se réconcilier avec son frère avant qu'ils ne meurent tous les deux, et pour cela traverse l'Iowa à bord de sa tondeuse à gazon faisant du 20km/h?
Quel road movie!
En quatrième de couverture, Fluide Glacial qualifie ce livre, celui dont vous lisez la critique, de polar, road movie déjanté. C'est ce qui m'a motivée à le lire, bien plus que cette couverture un peu cheap, moi qui adore les road movies sous toutes leurs formes. Et ben j'avais pas bien compris!
Moi, je m'attendais à suivre ce centenaire en chaussons parcourant la Suède puis qui sait le Danemark, l'Espagne, que sais-je, un peu comme les héros fantaisistes de Pasilinna, de ses petits pas lents et fatigués... Allan Karlsson, s'il fait des rencontres cocasses, ne va pas bien loin de sa maison de retraite, c'est bien plutôt son alter-ego, le jeune Allan qui parcourut la Terre dans le passé.
Le roman est cousu de trois intrigues: celle d'Allan le vieux, celle d'Allan le jeune et quand même plutôt insensible - pas surprenant que le vieux n'y réfléchisse pas à deux fois quand il s'agit de sauver sa peau - et celle de l'enquête policière qui montre des enquêteurs bien perspicaces, malheureusement!
Perso, c'est le vieux qui m'intéressait et sur le coup, je trouvais la tournure que prenait cette histoire assez originale. Mais 500 pages des pérégrinations d'Allan le jeune qui se lie d'amitié, par hasard, à ce qui ne se fait pas de plus fin en matière de politique - qu'ils ont l'air gentils et drôles, Franco, Mao, Staline, et surtout Kim Jong-Il, le célèbre dictateur Nord-Coréen -, j'avoue, ça m'a lassée... Et si je sépare ainsi Allan le jeune d'Allan le vieux, c'est que j'ai eu des difficultés à les fondre dans un seul corps.
Pour tout dire, il y a quand même un passage que j'ai vraiment beaucoup aimé... mais j'ai déjà oublié lequel.
Bref, j'ai trouvé le roman poussif et d'un humour très répétitif; une fois les cinquante premières pages lues, le ton devient très monotone...
A choisir et à titre de comparaison, je préfère Paasilinna, que Jonas Jonasson cite d'ailleurs dans ce livre et dont il est sûrement l'un des admirateurs; ceci dit, je ne lirais peut-être pas 500 pages d'affilée non plus de Paasilinna, car dans les deux cas, 200 pages me suffisent largement.
Vu toutes les bonnes critiques qu'a eues ce livre, la mienne ne vaudra pas grand chose de toute façon et vu la place que le nouveau prend en tête de gondole à la Fnac, je pense que l'avenir littéraire de Jonasson est assuré!
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Résumé

Allan Karsson doit fêter son centième anniversaire à la maison de retraite où il réside depuis quelques temps et dans laquelle il ne plaît pas du temps et surtout l'infirmière chef, soeur Alice, l'exaspère par son aspect garde chiourme, lui qui est si épris de liberté. On est en 2005.
Alors, il décide de faire le mur (au propre comme au figuré car il doit enjamber un muret pour s'enfuir, chaussé de ce qu'il appelle non sans humour ses chaussons-pisse (« on les appelle comme ça parce que les hommes d'un certain âge ont du mal à faire pipi plus loin que le bout de leurs chaussons »).
Pour qu'on ne le retrouve pas, il prend le car et un billet pour la première station qu'il peut obtenir avec l'argent qu'il a en poche. Arrivé à la gare, il voit une belle valise rouge et de façon impulsive l'emporte avec lui.
Il va se retrouver entraîné malgré lui dans une escapade hilarante, farfelue mais passionnante qui lui fait rencontre des personnages hauts en couleurs, car on croise des voyous car la valise en question est remplie d'argent mal gagné. Il va rencontrer aussi.
Parallèlement à ce pseudo-polar, où les morts se multiplient, de façon tellement rocambolesque que le commissaire chargé de l'enquête y perd son latin et finit par le prendre pour un serial killer alors qu'au départ il s'agit d'une simple enquête pour disparition, un chapitre sur deux nous raconte toute la vie d'Allan, pacifiste convaincu qui déteste la politique mais est un spécialiste des explosifs.
Au fur et à mesure que le road-movie de 2005 se complique, dans sa vie personnelle, Allan comme ce cher Forest Gump va rencontrer tous les grands de ce monde, car il mis le feu à sa propre maison maniant ses explosifs et doit quitter la Suède. Il y a des épisodes mémorables comme, la rencontre avec Trumann, Churchill, la cuite avec Hoover, la façon dont il souffle la solution à Einstein pour la bombe atomique, sa rencontre avec Staline à pleurer de rire quand on le dictateur « péte les plombs » alors qu'il est en train d'avaler des litres de vodka en chantant, sa rencontre avec le demi-frère d'Einstein au goulag du côté de Vladivostok, son évasion spectaculaire avec Einstein qui le conduit à Kim-Jung Il le dictateur nord coréen, puis Mao Tsé Toung, De Gaulle en mai 68, Franco et la guerre civile espagnole, j'en passe et des meilleurs…. Chaque fois, il va avoir une action sur l'histoire du pays qu'il traverse.
Pendant ce temps, en 2005, il rencontre ceux qui vont devenir ses copains de vadrouille, Julius plus ou moins délinquant, Benny, un vendeur de hot-dogs qui pour un héritage a commencé toutes les études possibles et imaginales car les versements devaient s'arrêter à l'obtention du diplôme, donc il a été presque médecin, presque vétérinaire, presque professeur de lettres ou historien, etc. ce qui lui a valu d'être fâché pour la vie avec son frère Bosse féru de religion. On rencontre aussi Mabelle, rousse haute en couleur et au langage imagé (dont va tomber amoureux Benny) qui a recueilli dans son jardin Sonja, une éléphante échappée d'un cirque.
On a la classique jalousie entre le commissaire blasé et revenu de tout et le procureur m'as-tu-vu qui veut monter en grade et joue avec la presse.
J'espère que je vous ai mis en appétit. A vous de découvrir la suite….



Ce que j'en pense :

C'est le premier roman de du Suédois Jonas Jonasson, et c'est une réussite. Plus c'est gros, plus on adhère. Comme dirait Forest Gump : « quand, on ouvre une boîte de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.
Les ficelles sont grosses, avec Allan revisitant l'histoire en y ajoutant sa touche. Certaines scènes, notamment la cuite avec Hoover et la prestation de Staline, sont à mourir de rire. Allan et ses contradictions : il est pacifiste en manipulant avec plaisir les explosifs, et son amour immodéré de tout ce qui contient de l'alcool avec un joli parasol dans le verre, sous le soleil des Tropiques si possible.
Sa phrase préférée est : « les choses sont ce qu'elles sont et elles seront toujours ce qu'elles seront »
Comme toujours, j'aime bien les histoires à deux voix qui font alterner 2005 et le passé toujours à un moment crucial. Quand on entre dans ce livre, on ne veut plus en sortir tellement on s'amuse, tellement c'est jubilatoire…
Herbert Einstein est à croquer aussi avec ces attaques de paniques, où il bafouille n'importe quoi, (sa compagne Amanda qui va devenir dictateur sous les tropiques) toute sa vie il ne veut qu'une seule chose : mourir car sa vie n'a pas de sens, il n'est qu'un pâle reflet de l'illustre Albert et probablement atteint du syndrome d'Asperger.
J'aime l'humour farfelu, complètement déjanté de Jonas Jonasson qui nous fait passer un très bon moment en nous faisant réviser l'Histoire au passage. J'attend son prochain livre avec impatience.
Ah bon, il y avait 500 pages, je ne m'en suis pas rendue dompte tellement j'étais plongée avec délice dans ce livre. C'est vrai certains l'ont comparé à un antidépresseur mais c'est tout à fait ça.
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Un roman récréatif et divertissant où l'on sourit plus qu'on ne rit mais connaissant bien la Suède, j'ai été ravie de me balader sur ses routes chéries en compagnie d'Allan et de ses improbables acolytes.

Je ne vais pas m'étendre étant donné le nombre d'avis déjà postés sur ce roman qui a conquis un public large et varié. Je me suis bien amusée à sa lecture même si le propos se fait parfois verbeux ; personnellement j'aurais bien retranché une bonne centaine de pages.

Amusant de se laisser porter par les divagations de ce conte pour grands enfants à travers le monde et le temps. La seule question que je me pose encore - et je serais reconnaissante aux lecteurs qui voudront bien éclairer ma lanterne - c'est pourquoi notre sympathique centenaire est représenté affublé d'un costume rose sur la couverture du livre ? Aurais-je raté un chapitre ?


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Quoi de mieux que ce livre pour se mettre dans l'ambiance des vacances ?
J'avoue que j'y allais un peu en moon-walk (à reculons, quoi), je craignais de tomber, vu le titre, sur un de ces petits romans trop faciles aussitôt lus, aussitôt oubliés...
Mais je suis en fait tombée sur un roman, qui bien que complètement farfelu, voire déjanté, s'avère très bien ficelé, avec des personnages aussi loufoques qu'attachants, des situations qui,bien qu'invraisemblables, ne basculent jamais dans l'irréel ou l'impossible, et un style jouissif, tout en second degré.
Cela m'a permis de réviser un peu mon Histoire contemporaine (revisitée d'une manière tout à fait inédite !), et surtout, de me détendre, en savourant les pages, les unes après les autres !
Pas de la grande littérature, dans le sens classique du terme, mais un roman tout à fait réussi, bien mené, et qui atteint son but !
J'ai hâte de voir le film !!!
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Un livre lu = une critique, donc, voilà, je m'y colle, même tout le monde a déjà pu se faire une idée sur ce livre. Je fais partie des quelques lecteurs qui l'ont trouvé ennuyeux. Pourtant, dans le civil, je vous promets que je suis plutôt primesautière et prête à m'esclaffer à la moindre sollicitation. Alors pourquoi ce roman ne m'a-t-il arraché que quelques rares et pâles sourires?
1) Parce que j'étais dans une phase de dépression aiguë quoique refoulée? Même pas.
2) À cause de ses répétitions. Franchement, le côté "je lis les aventures du héros" puis "je relis les mêmes informations au fur et à mesure que l'enquêteur comprend ce qui s'est passé ou que le héros raconte sa vie à ses copains", ça aurait tendance à réveiller mon côté écolo: était-il vraiment utile de couper des arbres pour ça?
3) À cause de la pauvreté des personnages. Chacun est doté d'une caractéristique et rarement de deux. Par exemple, "la dame qui dit des gros mots". Pour certains, c'est encore plus succinct: par exemple "le comparse" ou même "le nouveau comparse qui est le frère du précédent". Et bien sûr "l'imbécile". Et "la femme de l'imbécile qui est elle-même une imbécile". L'honnêteté intellectuelle me pousse à préciser que le héros, lui, est, sinon complexe, du moins binaire: il est franc jusqu'à la bêtise ou menteur et subtil si ça peut arranger l'auteur.
4) Mais surtout, ce livre n'a aucun point de vue. On ne sait pas si l'auteur trouve ses personnages sympas ou lamentables. Ou alors, la morale de l'histoire se résumerait au concept suivant: "La politique c'est pas bien". Et pour le prouver, on a toute une galerie de personnages plus cons que méchants: Staline est un abruti, Mao aussi mais quand même il est plutôt sympa et franchement, De Gaulle a l'air beaucoup plus antipathique que Kim Jong-il. Tous ces dictateurs ne méritent pas la sale réputation qu'on leur fait! La preuve: on peut les avoir tous rencontrés et finir centenaire.
Bon, ben voilà: c'est le genre de banalisation du mal qui me glace les zygomatiques. Même au second degré.
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Une histoire rocambolesque. Un mélange de "Forest Gump" et du "Grand blond avec une chaussure noire".
On y découvre les aventures d'Allan sur un siècle d'histoire.
Le lecteur se mélange parfois un peu les pinceaux dans cette lecture. C'est parfois un peu "trop", mais qu'est-ce que c'est drôle... Un humour sarcastique, cocasse...
Bon, j'avoue avoir passé quelques passages... Un peu trop détaillé et trop long (trop historique) à mon goût. Mais ce n'est que mon avis personnel.
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