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sur 374 notes
Le restaurant des Kamogawa est de ceux qui ne se trouvent pas facilement. Bien cachés à l'abri des regards dans une petite ruelle de Kyoto, Nagare et sa fille Koishi tiennent à garder le côté intimiste de leur petit établissement pour lequel ils ne font pas de publicité. Ceux qui viennent par curiosité ou grâce au bouche à oreille sont là pour déguster de délicieux plats faits maison mais surtout pour tester une expérience culinaire qui sort de l'ordinaire ! En effet, père et fille proposent à leurs clients de reproduire un plat qu'ils ont en mémoire mais dont la recette est depuis longtemps oubliée. Les curieux, désireux de retrouver leurs madeleines de Proust après des épisodes parfois difficiles dans leurs vies, leurs confient les souvenirs qu'ils ont de ces plats afin de leur permettre de trouver la recette qui s'en rapproche le plus et aussi de trouver les ingrédients parfaits pour la réaliser. Pour ce faire Nagare n'hésite pas à sillonner la ville et ses alentours !



Avouez mon résumé donne terriblement envie de pousser les portes de ce restaurant tout mignon et cosy qui propose une expérience incroyable. Je me demande d'ailleurs si cela existe quelque part ! Divisé en six petites histoires qui se suivent (une histoire par client et donc par recette oubliée) au fil des saisons, le récit met en avant la complicité d'un père et de sa fille qui eux aussi ont vécu des événements difficiles et qui ont envie d'aider les autres d'une certaine manière au travers de leurs plats et de ce concept innovant. Certains clients m'ont beaucoup émue lorsqu'ils racontaient leurs passés respectifs et le pourquoi ils souhaitaient absolument retrouver telle ou telle recette. C'est un véritable hymne à la nostalgie de ces saveurs d'antan qui marquent une vie et évoquent des souvenirs heureux avec des proches qui ne sont peut-être plus là ... Rentrer dans ce restaurant c'est avoir la volonté d'aller de l'avant d'une certaine manière et tout est mis en place pour que le moment soit le plus cosy possible. Même Roupillon le chat est là pour les apaiser avec ses ronrons qui rythment la routine de l'établissement. Un moment de lecture un peu hors du temps, doudou, réconfortant et gourmand. J'ai découvert plein de spécialités japonaises et rassurez-vous, il n'y a pas que des sushis si vous n'aimez pas ça !
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Koishi et Nagare, père et fille, tiennent le restaurant Kamogawa à Kyoto.
Tous deux cuisinent et Koishi s'occupe plus particulièrement du bureau d'enquête
des recettes oubliées . Elle pose les questions et son père résout les énigmes. Mais attention leur restaurant est difficile à trouver. Pas d'enseigne, pas d'éclairage. Seule solution : lire leur encart publicitaire dans le magasine Ryori shunju et suivre son instinct !
Si vous aussi vous aimez la cuisine japonaise -et la cuisine tout court- venez découvrir le délicieux restaurant des recettes oubliées !
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J'ai lu ce livre pour ressortir d'une petite panne de lecture. Je l'ai choisi pour sa simplicité, sa jolie couverture et son thème qui me donnait très envie. J'ai été directement charmée par le concept de ce restaurant.
Toutefois je l'ai trouvé un peu trop simple. le schéma narratif se répète à chaque chapitre, c'est en même temps intéressant de voir la même situation avec des personnages différents, et en même temps redondant de lire les meme phrases des personnages principaux prononcés à chaque chapitre. Les pointes de sexismes conservateurs de nombreuses situations m'ont également quelque peu agacé.
Tout de même, ce livre m'a fait passé un bon moment et j'en ai encore beaucoup appris sur la culture japonaise. Il m'a donné envie de me renseigner sur la cuisine traditionnelle et sur les différentes régions du Japon.
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Une jolie lecture pleine de douceurs et de saveurs !

En ouvrant ce roman, on entre dans le restaurant et bureau d'enquête des Kamogawa. le père et la fille proposent aux clients de retrouver un plat qui leur manque. La construction est simple et fluide : une partie = un client = un plat = deux chapitres. La brièveté de la forme s'allie à la lenteur du récit. On prend le temps de la rencontre, des échanges de vie et de saveurs.
J'aime cette délicatesse japonaise où les sujets tristes sont enveloppés de sérénité, où le temps se suspend sans pour autant paraitre long.

Six madeleines de Proust, nostalgiques et exotiques, à lire avec gourmandise et légèreté.
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Un restaurant discret qui fuit la publicité criante se targue toutefois d'une ligne laconique dans une revue culinaire japonaise d'une énigmatique compétence : "Nous retrouvons vos plats". Les clients intrigués viennent alors pour retrouver une bouchée de souvenir. Au gré de véritables enquêtes culinaires, on découvre la compétence surprenante d'un chef accompagné de sa fille, retraçant le contexte d'une simple bouchée teintée de nostalgie et de saveurs uniques.

Nippon, ni mauvais - sur un format proche du café de la série japonaise bien connue, le plat est prétexte à la découverte d'instantanés de vie. On regrette peut-être le format questionnaire puis solution en deux chapitres à chaque histoire. Plonger dans la méthode d'enquête de la réalisation des plats aurait été plus prenant qu'une simple révélation au client.
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Un livre qui sent bon la cuisine et l'amour entre un père et sa fille. Ces deux derniers ont ouvert un restaurant un peu spécial. Pas d'enseigne, ni de publicité hormis une phrase dans un magazine culinaire. Les clients qui viennent ici sont des habitués ou des personnes à la recherche de goûts perdus ou oubliés. Grâce à des enquêtes approfondies, le chef cuisinier, ex-policier, s'engage à cuisiner pour le quémandeur, la recette demandée.

J'ai bien aimé cette lecture, et j'ai trouvé l'idée sympa. Mais pour moi qui ne connais rien du Japon, c'était un peu dur à la lecture. Entre les noms, prénoms et lieux que je ne connais pas du tout, j'ai été souvent perdue. de plus, je pense qu'il me manquait réellement la connaissance des aliments et des plats japonais pour en apprécier les références. Surtout qu'il y a énormément de descriptions culinaires.

Malgré tout, j'ai passé un bon moment divertissant.
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Une lecture poetique douce, avec la complexité des mots asiatiques mais cela ne gache rien a la douceur. Les courts chapitres sont rapides a lire et donnent envie de decouvrir la cuisine asiatique. Limportance de certains plats marquants dans nos vies. L'importance aussi de prendre le temps de bien manger, d'apprecier ce que l'on mange.
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Un titre qui me donnait envie depuis très longtemps mais, dès la lecture du premier chapitre, je me suis dit « c'est trop rapide ». Je n'ai pas abandonné, j'ai lu jusqu'à la fin, sans que cette impression ne me quitte.

Il y a beaucoup de dialogues, peut-être trop nombreux pour moi, j'ai trouvé les petites histoires un peu trop expéditives ; on n'a pas le temps d'apprécier les personnages, même les restaurateurs alors qu'on les voit tout le temps !

L'écriture est douce, légère, mais vraiment trop rapide à mon goût. Ça change des romans japonais sur j'ai l'habitude de lire, et je me suis sentie comme pressée par l'auteur de terminer ma lecture.

L'histoire est intéressante, même très bonne ! Mais je ne lirai pas le deuxième tome, qui ressemblera certainement à celui-ci dans sa forme.

Cependant, il peut plaire, alors n'hésitez pas à vous faire votre propre avis !
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« Le restaurant des recettes oubliées » nous présente six personnages en quête des saveurs d'un plat dont la recette s'est perdue.
Un agréable voyage dans l'univers de la cuisine et des recettes qui les ont marqués.
Dont je n'ai pas pleinement profité, n'étant pas une experte en gastronomie japonaise.

Les séquences sont répétitives, les descriptifs des plats destinés « aux spécialistes », et les évocations géographiques laborieuses pour qui n'est pas calé en géographie.
Les personnages auraient mérité un peu plus de consistance, et une histoire dans laquelle ils pouvaient évoluer (mais c'est peut-être une attente trop occidentale).
Dommage, j'aurais bien aimé trouver ce restaurant, j'aurais eu quelques souvenirs à leur soumettre…
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Moshi moshi !

   J'ai lu le premier service d'Hisashi Kashiwai, le restaurant des recettes oubliées, publié aux Éditions Nami. Ce restaurant pas comme les autres vous propose de reproduire des recettes oubliées et pour une personne comme moi, qui peut avoir les larmes aux yeux, rien qu'en humant une odeur m'évoquant un souvenir, ce livre ne pouvait que faire écho en moi.

   Il s'agit d'une petite compilation d'histoires, toutes plus émouvantes les unes que les autres. J'ai beaucoup apprécié le côté enquête/révélation. Il n'y a pas vraiment de trame de fond mais les personnages de Nagare ainsi que de sa fille Koshi sont inévitablement attachants. le deuxième service m'attend et il me tarde de les retrouver.

   Ce qui me touche dans la littérature nippone, c'est la pudeur avec laquelle l'auteur.e nous livre les émotions. Il n'y a pas tous ces termes, tous ces adjectifs dont nous usons parfois dans la langue française. C'est une écriture quasi clinique mais qui à mon sens rend le récit beaucoup plus fort, plus pur et plus sincère. On lit et sans s'en rendre compte on se prend un coup de massue en plein coeur. C'est fascinant cette façon de vous émouvoir.

   Pour ma part, si je devais demander une recette à Nagare, ce serait celle de la soupe à l'oignon de mon père. Et vous, quelle serait la vôtre ?

P.S. Gros coup de coeur pour cette cover

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