La lecture de ce livre me laisse un peu dubitative : ce que j'ai apprécié c'est d'avoir une vision de "l'intérieur" sur la manière dont les Afghans, hommes et femmes, vivent sous les talibans. Or l'auteur est un algérien qui vit en France, à Aix en provence ! Comment puis-je lui faire confiance quant à ce qu'éprouve une femme de Kaboul derrière son tchador ?
Pour ce qui est de l'écriture, je l'ai trouvée un peu emphatique.
Je suis quand même arrivée au bout car je trouvais l'intention intéressante. Mais vais-je aller au bout des deux autres volumes ?
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Dans les ruines de Kaboul, dominé par les talibans, deux hommes Atiq et Moshen et leurs femmes trainent leur vie, leur peine et leurs tragédies.
Je n'ai pas aimé. le livre est plat même si c'est trop dur, trop violent. J'ai eu des difficultés avec les noms des personnages.
Le récit montre l'inhumanité du régimes des talibans. Même si j'ai trouvé le style un peu ennuyeux, le livre est à faire lire à ceux qui défendent le voile en France et l'intégrisme.
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Je n'ai pas été transportée par l' histoire. La condition des femmes est terrible mais il m' a manqué quelque chose. Dommage
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Je ne m'arrêterais pas à ce livre et lirais de nouveau cet auteur mais je m'attendais à beaucoup mieux. Je suis arrivée à la fin avec peine. J'ai déjà lu d'autres qui m'ont beaucoup plus apporté. Celui -ci est plutot confus pour l'ecouter en audio lib
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Honnêtement, en commençant à lire la première page, j'ai eu peur de trouver le style ronflant et ampoulé. Ca commence comme ça:
"Au diable Vauvert, une tornade déploie sa robe à falbalas dans la danse grand-guignolesque d'une sorcière en transe; son hystérie ne parvient même pas à épousseter les deux palmiers calcifiés dressés dans le ciel comme les bras d'un supplicié."
Je me suis dit que ce n'était qu'une impression de départ défavorable et, dieu merci, j'avais raison, le style s'est ensuite fluidifié. Les auteurs devraient se méfier de leur enthousiasme.
Soleil écrasant, poussière, et au milieu de la fournaise, Kaboul - cité millénaire à la splendeur définitivement passée, gangrénée par les Talibans. Depuis que ceux-ci sont au pouvoir, les femmes ne travaillent plus et sont devenues des fantômes, la musique et les universités ont cessé de résonner dans la ville, les échoppes et les cafés se sont vidés.
Sous cette chape de plomb, l'auteur nous dessine le passé et la vie de différents individus. Ces destinées, au départ distinctes, finissent par se croiser la première fois autour d'une lapidation, et par se confondre sur un air d'exécution publique au coeur d'un stade - façon arènes romaines.
(...)
http://lelabo.blogspot.com/2008/02/yasmina-khadra-les-hirondelles-de.html
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Certains passages sont très difficiles à lire pour une femme, mais ma note ne vient pas de là.
C'est plus du à l'ensemble du livre où les mots choisit par l'auteur m'ont souvent fait pensé qu'il cherchait à placé des grands mots pour montrer qu'il avait de la culture.
Ma lecture a été un calvaire du début à la fin, pas moyen de s'attacher à aucun des personnages.
Un livre de plus qui ne retournera pas dans ma bibliothèque.
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