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Dans l'univers des contes interdits tome 3 sur 13
EAN : 9782898190780
216 pages
CORBEAU (10/01/2022)
3.55/5   20 notes
Résumé :
Une policière mise sur la touche à cause d’une grave erreur, forcée de reprendre le boulot afin d’assassiner un inconnu. - Un père prêt à tout pour rescaper sa fille des griffes d’un psychopathe. - Un tueur sanguinaire obsédé par un mythe aztèque. - Une famille unie par le crime qui coule dans ses veines. ~ Des bêtes dressées pour assouvir la vengeance. Ce n’est pas sans raison que Cam est le personnage le plus résilient et le plus dur du Conte Interdit Peau d’âne: ... >Voir plus
Que lire après Cam : Policière sans limitesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Est-ce que la collection des contes interdits a fini par presser tout son jus? C'est là question que je me pose depuis la lecture des 2 derniers tomes de la série. Non pas que Cam fût un mauvais livre, bien au contraire. le problème c'est qu'avec cette nouvelle série de la collection (dans l'univers de), j'ai l'impression de ne plus être capable de me laisser surprendre par la magie des auteurs qui y sont attitrés. Peau d'âne avait été mon premier conte interdit et j'y avais senti un vent de fraîcheur, un renouveau intéressant au niveau de la littérature du style horreur/thriller québécoise. Mettons au clair un truc tout d'abord. La plume de Steve Laflamme en est pour moi une bien affûtée, se démarquant par le souci du détail et l'attention particulière mise sur la structure du texte. le rythme est bon et on commence par un élément déclencheur intéressant. Celà dit, est-ce qu'on a droit à de grandes surprises? À une histoire qui nous sort des sentiers battus? Malheureusement pas vraiment. L'histoire classique d'une policière suspendue mais qui essaye de se faire justice elle-même, encore là ça peut passer. L'enlèvement de son enfant? D'accord, on peut s'y laisser tenter malgré tout. Cependant, l'histoire est un peu tombée dans le redondant, dans le déjà vu. Filon intéressant au niveau des chiens à qui on injecte de l'agressivité liquide. le problème c'est que l'auteur n'a pas exploité ce concept très longtemps,le relayant à l'arrière plan du récit, malgré le jus qu'il aurait pu en tirer afin de faire de son livre une oeuvre un peu plus unique. Combo intéressant entre les piqûres d'abeilles et les mygales dès le départ également. C'est certes un livre sans réel temps mort que nous offre Steve Laflamme. On ne regrette pas l'avoir lu. J'aurais malheureusement une mise en garde à mettre aux éditions ADA: Ne laissez pas un concept intéressant mourir dans une redondance. Publiez moins de livre, quitte à en publier des plus originaux. le lecteur intéressé que j'étais lors de peau d'âne est tranquillement en train de se demander si la série devrait s'arrêter là. Vous avez une bonne équipe d'auteur. Maintenant, surprenez moi, changez d'angle et faites reluire votre collection à nouveau. Au risque de perdre au moins un fan des contes interdits. Est-ce que la collection des contes interdits a fini par presser tout son jus? C'est là question que je me pose depuis la lecture des 2 derniers tomes de la série. Non pas que Cam fût un mauvais livre, bien au contraire. le problème c'est qu'avec cette nouvelle série de la collection (dans l'univers de), j'ai l'impression de ne plus être capable de me laisser surprendre par la magie des auteurs qui y sont attitrés. Peau d'âne avait été mon premier conte interdit et j'y avais senti un vent de fraîcheur, un renouveau intéressant au niveau de la littérature du style horreur/thriller québécoise. Mettons au clair un truc tout d'abord. La plume de Steve Laflamme en est pour moi une bien affûtée, se démarquant par le souci du détail et l'attention particulière mise sur la structure du texte. le rythme est bon et on commence par un élément déclencheur intéressant. Celà dit, est-ce qu'on a droit à de grandes surprises? À une histoire qui nous sort des sentiers battus? Malheureusement pas vraiment. L'histoire classique d'une policière suspendue mais qui essaye de se faire justice elle-même, encore là ça peut passer. L'enlèvement de son enfant? D'accord, on peut s'y laisser tenter malgré tout. Cependant, l'histoire est un peu tombée dans le redondant, dans le déjà vu. Filon intéressant au niveau des chiens à qui on injecte de l'agressivité liquide. le problème c'est que l'auteur n'a pas exploité ce concept très longtemps,le relayant à l'arrière plan du récit, malgré le jus qu'il aurait pu en tirer afin de faire de son livre une oeuvre un peu plus unique. Combo intéressant entre les piqûres d'abeilles et les mygales dès le départ également. C'est certes un livre sans réel temps mort que nous offre Steve Laflamme. On ne regrette pas l'avoir lu. J'aurais malheureusement une mise en garde à mettre aux éditions ADA: Ne laissez pas un concept intéressant mourir dans une redondance. Publiez moins de livre, quitte à en publier des plus originaux. le lecteur intéressé que j'étais lors de peau d'âne est tranquillement en train de se demander si la série devrait s'arrêter là. Vous avez une bonne équipe d'auteur, maintenant, surprenez moi ou perdez moi
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😱🖤💕🖤😱 J'ai redécouvert avec plaisir Cam, policière endurcie et à la limite suicidaire, qui apparaissait dans Peau d'Âne de l'univers des Contes interdits !!! L'histoire nous captive et nous déstabilise dès les premières pages... Et je vous assure que le rythme fou des événements combiné aux rebondissements multiples nous tient en haleine et nous garde sur le bout de notre fauteuil ! Steve a une plume magnifique, une imagination débordante et surtout, le don incroyable de nous surprendre et de nous ébranler dans chacun de ses livres ! J'ai adoré celui-ci et j'ai hâte au prochain !!!
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Une excellente histoire d'enquête, tel que Steve Laflamme - auteur sait les écrire. « Cam, Policière Sans Limite » est très bon. On y suit Camélia qui recherche sont enfant kidnappé. Pour arriver à ses fins, elle est prête à tout. Avec des alliés, elle se rapproche de plus en plus de Molosse, d'un plan sordide pour réaliser une vieille légende, et la découverte d'un monde souterrain. Un voyage dans le monde policier, du Mexique à la mafia Italienne de Montréal, j'ai adoré cet histoire!
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Que ce fut laborieux : l'histoire est déconstruite, on se perd dans les lieux, les personnages et surtout les liens qui les relient tous. J'ai eu beaucoup de mal à comprendre la raison de pas mal des actes. On peut aussi noter que certaines scènes manquent de crédibilité, on pourrait croire les personnages invincibles tellement les balles fusent de partout
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Philippe Boudrias n’était pas à proprement parler un excellent sergent-détective. Il n’était pas particulièrement mauvais non plus. Il aimait croire qu’il accomplissait son boulot comme la moyenne. Il n’aurait jamais l’occasion d’être promu au rang de lieutenant, il le savait ; mais il estimait correspondre néanmoins à l’image du policier que la population requiert. Conciliant, compréhensif, souriant : Boudrias croyait au slogan protéger et servir, il l’endossait en même temps que son uniforme chaque jour. Lui et Cam s’étaient connus par hasard, à une autre époque. Ils avaient fait équipe une fois ou deux, puis Cam avait vite été promue au sein du Groupe tactique d’intervention, en raison de ses capacités exceptionnelles au tir de précision. Ils avaient néanmoins eu le temps de faire connaissance. Ils ne s’étaient pas fréquentés d’un point de vue amoureux, mais allez dire cela à leurs corps, qui s’étaient trouvé quelques accointances. Boudrias était joli garçon, et il était impératif que son sourire ne s’approche jamais des glaciers de l’Arctique.
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Plutôt que de répondre à son signe de solidarité, elle se tourna vers lui. Ses prunelles baignaient dans des larmes trop timides ou orgueilleuses pour se laisser aller, mais Marois voyait à son regard que cette femme ne se laisserait pas noyer par le chagrin.
Qu’ils le veuillent ou non, ils étaient à présent liés par le destin de leurs enfants.
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Jamais l’homme qui la tenait captive ne venait lorsqu’elle le réclamait. Il apparaissait plutôt quand il en sentait le besoin. Il l’observait brièvement, lui servait à boire et à manger, puis repartait. Il portait une cagoule qui effrayait Alexandra : les trous pour les yeux étaient cerclés de rouge – comme un trait sanguinolent –, et ne se trouvaient pas à la même hauteur. À la place de la bouche, la cagoule arborait le dessin d’une gueule ouverte sur des crocs dégoulinants d’écume.
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Elle n’avait rien perdu de la dégaine qui faisait d’elle la policière la plus convoitée par la gent masculine au sein de la division montréalaise de la Sûreté du Québec, à l’époque, mais aussi la plus décriée par ses collègues du même sexe. Cam n’avait jamais joué le jeu de la solidarité féminine. Si elle avait été engagée, c’était pour ses compétences, pas pour satisfaire un quota ni permettre à un supérieur de cocher les cases des attentes correspondant à la rectitude politique.
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À force de concentration, elle réussit à faire apparaître dans son esprit quelques images floues. Des verres alignés sur une table. Une cahute si rudimentaire qu’elle ne pouvait que se situer à l’extérieur de la ville, dans la campagne mexicaine. Cam se rappelait avoir erré dans les rues de Guadalajara, une semaine auparavant. Lui revenait une odeur – le musc insupportable de l’homme qui lui avait fourni sa ration de Perrico. La suite était plutôt embrouillée.
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Vidéo de Steve Laflamme
Entrevue avec l'auteur Steve Laflamme 10 févr. 2020
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