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Depuis "Ces jours qui disparaissent", il était inévitable que je revienne vers Timothé le Boucher. Ce n'était pas prévu dans l'immédiat, ni avec "Dans les vestiaires" (c'est "Le patient" que j'avais davantage repéré), mais nos chemins se sont croisés lors de ma dernière visite à la bibliothèque, in extremis d'ailleurs, puisque j'avais déjà fait mes choix et qu'il m'a fallu en sacrifier un si je voulais repartir avec.

Timothé le Boucher change ici complètement de sujet et s'adresse également à un public plus large. On y suit un groupe d'adolescents (garçons) dans les nouveaux vestiaires du collège. Nouvelles peintures et nouveau design : bleu-vert dans le sas principal où les bancs le long du mur ont remplacé les casiers, rose dans les toilettes qui n'ont plus de séparations, et enfin des douches collectives à la place des cabines individuelles. Contents de leurs nouveaux vestiaires, les garçons sont également déstabilisés, notamment parce qu'il leur est désormais difficile de cacher leur intimité et leurs complexes. Se déshabiller et se laver aux yeux de tous n'est pas donné à tout le monde. S'il y en a pour qui ce changement ne dérange pas, certains, en revanche, se tourneront face au mur, d'autres ne prendront tout simplement pas leur douche ou détourneront l'attention sur les défauts des autres.

C'est ainsi qu'on est amené à nous parler d'harcèlement et de violences scolaires, de souffre-douleur et de moqueries, de puberté, de sexualité ou encore de voyeurisme. Il y est beaucoup question de cruauté entre les adolescents. D'un jeudi à un autre, on retrouve toujours le même groupe de garçons, on y voit évoluer les relations entre les uns et les autres et leur "rang" dans le groupe (du plus populaire à la tête de turc). Il nous est montré comment la place et le rôle de chacun peuvent être à ce point malléables, pour un mot ou un geste de travers, ou encore une vidéo filmée à votre insu qui tourne sur les réseaux...

D'une petite brimade au début, on a tôt fait d'arriver au drame inévitable si rien n'est fait entre temps...

Le sujet choisi par Timothé le Boucher n'est pas le plus rigolo, mais entre parfaitement dans l'actualité. Je n'ai pas été aussi remuée que dans "Ces jours qui disparaissent". J'ai eu envie, en revanche, de distribuer des claques à la pelle. C'est fou ce que l'effet de groupe peut avoir comme conséquence sur les comportements. Quelques-uns ont su de temps à autre me toucher individuellement, malheureusement l'envie de le tarter la page suivante se fait vite sentir dès lors qu'il redevient un petit c** quand il retrouve ses potes.

L'adolescence, c'est quand même une période terrible. Les jeunes peuvent être adorables entre eux, autant qu'ils peuvent être tout le contraire. Ils se cherchent, le corps change, l'apparence a son importance, autant que les marques (chères de préférence) qu'il faut porter, les hormones se réveillent, etc. Timothé le Boucher aborde tout ça dans son roman graphique et il le fait relativement bien, même si la méchanceté prédomine sur toute l'histoire. On n'en ressort pas rassurés car l'auteur met le doigt là où ça fait mal : son intrigue est malheureusement et cruellement réaliste...

Un petit mot sur les dessins : Plutôt classiques, épurés, aux traits fins, ils n'ont rien d'exceptionnel mais s'accordent assez bien avec l'histoire. Là où j'ai eu un peu plus de mal, c'est pour retenir le prénom de chacun, je me suis davantage fiée à leur visage.

On dit que l'adolescence, c'est l'âge bête. Ça ne concerne évidemment pas tous les jeunes (heureusement ! ... enfin j'espère !), l'auteur, en tout cas, ne fait rien pour démontrer le contraire...
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Bienvenue dans le huis-clos des vestiaires du cours de sport !
Dans cette bande dessinée, Timothé le Boucher traite le sujet délicat du harcèlement scolaire.

Pas facile tous les jours pour Corentin, un adolescent en surpoids et souffre-douleur de sa classe.
En effet, chaque jeudi dans le dos de la prof n'importe quelle excuse est bonne pour l'humilier, le rabaisser ou même le violenter physiquement. Tant qu'il reste la cible des moqueries et que cela fait rire les camarades. Surtout Gauthier, un des garçons populaires et respectés.
Mais face à ce groupe déchaîné, Corentin a-t-il une chance de trouver sa place et de surmonter sa souffrance ?

Cet ouvrage de 127 pages se lit d'une traite avec intérêt.
Par contre, je m'attendais à une lecture poignante avec de nombreux moments bouleversants, mais ce ne fut pas le cas.
Malgré les quelques passages inévitables qui caractérisent le harcèlement, j'ai trouvé que le récit était trop porté sur l'aspect humoristique des adolescents qui blaguent entre eux.

Cependant, l'auteur met bien en avant le fait qu'il puisse exister des hiérarchies dans les groupes d'élèves et que chaque adolescent tient à sa réputation.
À travers une vue d'ensemble des collégiens, il aborde avec justesse plusieurs sujets comme la puberté, la sexualité, la pudeur, la virilité, le voyeurisme...

Du côté graphique, les dessins sont fidèles au style de l'auteur. La calorimétrie est axée sur des tons pastels qui sont agréables à regarder.
Les dialogues sont parfois puérils, mais ils restent assez drôles puisqu'ils sont représentatifs de cette tranche d'âge.
J'ai été surprise par la fin, mais je n'en dirai pas plus.

Bref, une petite déception avec cette BD pour le manque d'émotions.
Par ailleurs, Ces jours qui disparaissent et le patient, m'attendent dans ma PAL et je me réjouis à l'avance de les découvrir.
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Des élèves de fin de collège ou de début de lycée découvrent qu'on leur a aménagé de nouveaux vestiaires pour leurs cours d'EPS. Surprise : une douche collective remplace les anciennes cabines individuelles. Mais surtout, dans ce lieu clos où les adultes entrent peu, le harcèlement, les jeux de pouvoir, les renversements d'alliance, les combats psychologiques et physiques peuvent avoir lieu. ● Je n'ai pas été emballé par cet album aux planches répétitives et aux dessins plus qu'approximatifs, surtout dans les bagarres. le dessin déformé par les vitres opaques aurait pu être intéressant pour une ou deux cases, mais le procédé est trop utilisé. L'unité de lieu m'a paru être une fausse bonne idée. le message selon lequel la société se recrée dans ce lieu en vase clos ne m'a pas convaincu. Aucune ébauche de solution au harcèlement n'est proposée.
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Huis-clos qui sent la sueur, la testostérone et la brutalité de l'adolescence, Dans les vestiaires aborde les coulisses d'une vie scolaire, le quotidien terrible et pesant de jeunes garçons et filles coincé·es dans des dynamiques de rivalité suffocantes. Survivre à tout prix, à quel prix ?

À l'instar de ses ouvrages suivants, Ces jours qui disparaissent et le patient , Timothé le Boucher explore la psyché humaine mais décortique ici le monde sans pitié du collège, dans toute sa cruauté et son système hiérarchique. Une réédition de ce début 2021 permet de rappeler, tristement, que le harcèlement scolaire est toujours d'actualité et fait de nombreuses victimes qui pâtissent souvent toute leur vie des traumatismes causés par les coups et l'humiliation quotidienne.

Bien qu'à mon sens cette bande dessinée présente quelques lacunes, elle reste primordiale pour informer, présenter un état des lieux de la réalité et des comportements d'adolescents soumis aux injonctions de pouvoir et de domination alors cristallisés par leurs complexes, leurs interrogations et transitions physiques. Sans artifice mais avec un réalisme alerte, l'auteur plonge le·a lecteur·rice dans une tension insidieuse permanente et en fait un·e témoin interdit·e, dérouté·e et presque voyeuriste des relations féroces entre les membres d'une micro société.

Si le scénario manque parfois de sensibilité, et c'est peut-être en cela que le livre est aussi très réussi, Timothé le Boucher évite l'écueil d'une construction manichéenne mais rapporte à juste titre l'évolution des sentiments, des positions de chacun jamais tout à fait victimes, jamais complètement bourreaux. Même si, à titre personnel, j'aurai souhaité la proposition de quelques clés et solutions pour lutter contre le harcèlement, Dans les vestiaires percute son lectorat pris au piège, de même que ces adolescent·es, dans cette cage et le système scolaire violent connu de tous·tes mais voilé par la société qui pousse jusqu'à l'intolérable, l'inévitable.

[dans le cadre de la masse critique. Merci à Babelio et La Boîte à bulles pour l'envoi de ce livre !]
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Faire une bd ayant pour thème les vestiaires est une chose curieuse en soi. Mais pourquoi pas ? Il y a un côté voyeuriste qui ne met pas très à l'aise lorsque l'on recherche l'intimité. le cadre est celui d'un collège avec des élèves qui découvrent leur nouveau vestiaire. Il y a les bandes qui s'organisent et toujours un souffre-douleur dans le lot.

Cela peut rappeler des mauvais souvenirs à certains lecteurs entre moqueries et agressivité. Dans mon cas, on n'avait pas le droit de prendre des douches: cela réglait tout problème éventuel ! D'ailleurs, la bd prendra également soin de ne rien montrer. le politiquement correct sera de mise.

J'ai bien aimé l'évolution psychologique de certains personnages. Cependant, ils ne sont pas constants. le bon et le mauvais se côtoient et se mélangent. Bref, aucun élève ne reflète des qualités basées sur la bienveillance du prochain. L'âge bête sans doute ! Par ailleurs, on assistera à une évolution des rapports de force entre garçons d'une même classe. C'est assez intéressant.

Le dessin est assez épuré et se cherche. Aucun sensualisme ne transparaît. Certains dialogues seront futiles. Cependant, toute la réussite de cette bd est de ne montrer que ce qui se passe dans le vestiaire : ce lieu collectif des plus secrets. Pari audacieux réussi pour le jeune auteur qui réalise une bonne bd sur un sujet délicat et difficile !

Au final, cela ne sonne un peu vrai même si la violence parait un peu exacerbée. Je ne crois pas que tous nos ados sont bêtes et méchants. En faire des assassins est un pas que l'auteur a allègrement franchi. Pas de concession ! Bref, la cruauté morale et physique sera de mise. D'où un certain malaise palpable…
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Voici une histoire qui se passe uniquement dans le vestiaire des garçons, le jeudi après le cours de gymnastique. Les hormones en ébullition des adolescents s'y exprime dans toute la cruauté que peut être celle d'adolescents en quête de reconnaissance de leurs pairs. Outre la vulgarité, le voyeurisme et la rivalité, un de leur passe-temps favori est de rabaisser l'inévitable tête de Turc de la classe : le garçon rondouillet encore un peu perdu dans l'enfance.
D'une semaine à l'autre, cependant, la dynamique change, les alliances se modifient et la victime d'hier devient le bourreau...un schéma malheureusement classique bien exploité dans cette BD qui se distingue surtout par son exploitation intelligente du lieu et du temps. Je ne suis, sinon, séduite ni par le dessin ni par les personnages.
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Ah ! Une bande-dessinée avec un thème comme le harcèlement ne pouvait que m'intéresser ! Et que dire... je m'attendais à une histoire somme toute banale sur le sujet, qui nous montrerait un élève souffrant de harcèlement scolaire. Mais non, c'est bien plus profond que ça, et tellement réaliste. Dans ce huis-clos, nous suivons, semaine après semaine, des élèves qui, après le cours de sport, se rendent dans les vestiaires. Ces derniers ont récemment été changés, et les douches sont désormais communes. C'est un gros problème pour ces adolescents, pas forcément à l'aise avec leur corps... et ça l'est encore plus pour ceux qui ne sont pas populaires, voire qui sont les bouc-émissaires.

Comme je le disais plus haut, c'est très réaliste. On retrouve des situations qui arrivent malheureusement bien trop souvent, dans les vestiaires d'une salle de sport, loin du regard des profs. Au fur et à mesure des semaines, la violence se fait de plus en plus importante. La hiérarchie se retrouve bousculée, avec ces nouveaux vestiaires, tout est chamboulé.

Jusqu'à un final inattendu, totalement surprenant, qui nous laisse sans voix.

Une bande-dessinée très bien faite, réaliste, qui aborde avec justesse un sujet très grave.
Lien : http://leslecturesdanais.blo..
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Seconde rencontre avec Timothé le Boucher après "Ces jours qui disparaissent".

Cette fois-ci, l'histoire se déroule au collège avec la réception des nouveaux vestiaires. Les collégiens découvrent les nouveaux lieux : verres opaques pour empêcher de voir de l'extérieur, nouveaux vestiaires, nouvelles douches, nouveaux WC.

Timothé Leboucher va nous entraîner dans une histoire de harcèlement. Il nous livre tous les ingrédients : les adolescents ne sont pas satisfaits de leurs nouvelles douches qui sont collectives (imaginez, il va falloir se déshabiller devant les autres pour aller se doucher) mais ils retrouvent des points d'eau propres et non souillés par les autres. Les adolescents ne se font pas de cadeaux entre eux, ils sont "mâles" en devenir dans toute leur splendeur et leur bêtise. Comparaison et remarques sur le physiques, recherche d'un bouc émissaire, être capable de raconter ce qui va impressionner les autres, on a vraiment la sensation d'être au coeur des vestiaires.

Le collège est monde difficile à vivre pour beaucoup d'adolescents. C'est le lieu où commencent les différences : différences physiques, différence de maturité, différence de centre d'intérêt, exacerbation des différences sociales, bref c'est l'âge bête disent certains. C'est surtout l'âge de la cruauté sans que les auteurs en aient réellement conscience.

Nos braves adolescents, certains du moins, sont "travaillés" par leur puberté. Et regarder les filles, à travers une grille d'aération, va devenir une activité, une source d'excitation voire une source de conflit. ET en plus, leur professeur d'éducation physique est une femme, au visage ingrat mais au corps tentant, selon certains élèves.

Timothé le boucher nous livre tous les jeux de ces collégiens dans le lieu de non droit que sont les vestiaires. Les adultes n'y entrent que sous certaines conditions car il faut veiller à préserver l'intimité des élèves c'est pourquoi ce sont souvent des lieux d'exaction, d'humiliation, de violence. Les élèves le savent et les plus violents s'en servent.

Timothé le boucher aborde les différents mécanismes du harcèlement où souvent le harceleur a lui-même était victime de harcèlement. Il y a les harceleurs, il y a les témoins passifs qui n'approuvent pas mais ne disent rien, ne préviennent pas, ne protègent pas la ou les victimes. REt il y a les victimes qui n'osent parler et s'enferment dans leur solitude ou qui comme Corentin vont choisir de passer du côté des harceleurs, de devenir harceleurs à son tour.

Cette histoire est violente mais le harcèlement est violent. Cette histoire est cruelle mais les ados sont cruels entre eux. Et encore l'auteur ne montre que des relations entre garçons. L'auteur aborde le phénomène des jeux violents qui peuvent dégénérer et la capacité des ados à se lancer des défis ou accepter des défis pouvant mal tourner.

L'histoire est prenante, voire très prenante. le graphisme simple permet de se centrer sur le coeur de l'histoire. Peu d'éléments de décor, des gros plans sur les visages, des scènes de lutte.

Cette BD ne peut pas laisser indifférent, elle brasse au plus profond surtout du fait de sa conclusion qui est inattendue. À donner à lire en éducation morale et civique ou dans d'autres cours pour favoriser la réflexion de nos ados, pour réussir à créer de l'empathie. celle-ci ne se décrète pas mais elle doit se construire et c'est un vaste chantier.

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Avec « Le patient », Timothée le Boucher m'avait enfermée dans les manipulations bien retorses de deux êtres particulièrement machiavéliques. Cet album m'entraîne dans un endroit que je ne connais pas : les vestiaires des garçons.
La classe d'Hugo, Gauthier, Bastien et les autres se presse contre les vitres dépolies : ils vont avoir droit aux nouveaux vestiaires. C'est beau, c'est propre et fonctionnel. Une seule chose manque : l'intimité. Pas de séparation entre les urinoirs, douches communes. Se mettre nu devant les autres ? Pas question !
En revanche, une découverte intéressante : là, en haut du mur, une bouche d'aération permet de voir du côté des filles.
Toute l'histoire se déroule dans un huis clos inquiétant. La professeure de sport étant une femme, elle laisse les jeunes gens seuls pour enfiler leur tenue ou se doucher après l'effort. Mais le lecteur, lui, a un droit de regard, qui le place, en réalité, dans la situation qu'il trouvait malsaine de la part des jeunes : celle du voyeur.
Très vite, on est plongé dans les rivalités : il y a ceux qui veulent s'imposer, ceux qui écrasent les autres, ce sont les plus âgés, « les intellos », les « boloss » et puis, le pauvre Corentin, dont l'embonpoint fait une cible toute désignée pour les moqueries et les brimades.
Mais si, au début, on éprouve de la compassion pour ce malheureux petit rondouillard, on s'aperçoit bien vite qu'il n'est pas un saint, lui non plus et qu'il a bien compris une chose : pour ne pas être un souffre-douleur, il suffit d'en débusquer un autre.
L'histoire se déroule de jeudi en jeudi, car c'est le jour de sport, et elle va crescendo jusqu'à l'innommable. Il y a un terrible décalage entre les couleurs douces choisies par Timothée le Boucher et le sadisme, la cruauté des jeunes gens, pourtant sympathiques, sans doute, pris individuellement et changés en monstres par l'effet de groupe.
Cette bande dessinée m'a paru très réaliste, très bien traitée, mais elle m'a mise très mal à l'aise.
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Je continue ma découverte de Timothé le Boucher avec sa bd "Les vestiaires" qui traite du harcèlement en milieu scolaire. Nous sommes au premier cours de sport de l'année et les garçons découvrent leur nouveau vestiaire. Tout y est collectif des toilettes aux douches. Il n'y a plus de place à l'intimité et un endroit où de cacher du regard des autres. Les clans sont déjà définis et la hiérarchie entre élèves aussi. Et c'est Corentin qui sera le souffre douleur à cause de son poids. Au fil des semaines, nous découvrons les brimades mais aussi ceux qui le soutiennent, les plaisanteries et les défis entre garçons, l'espionnage du vestiaires des filles, ...
Mais un jour ce n'est plus Corentin le souffre douleur mais Gauthier son harceleur.

Comme dans toutes ses BD, Timothé le Boucher joue avec son lecteur jusqu'au clap de fin et son rebondissement. Ici, à nous d'imaginer ce qu'il arrivera à ce groupe de garçons. La thématique du harceleur harcelé est bien traité et tout peut basculer en quelques secondes.
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