C'est rare mais j'ai abandonné cette lecture au bout de quelques dizaines de pages. Pourquoi ce besoin de dialogue dans un niveau de langage qui s'écarte clairement du reste de l'écriture, et de vulgarité ? Mystère...
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Mais tu ne vas pas me casser les couilles avec des histoires pareilles Simoun ! Que la Sandrina, elle est belle comme la plus belle des mères. Que si tu m'emmerdes avec cette histoire, je te donne la triquée ! (Pour illustration de ma critique...)
Mais ça, c’était le temps avant, celui de l’insouciance et de la jeunesse. Une fois unis à Sandrina et Madalèna, ils étaient devenus des hommes responsables, avec un foyer bien à eux et la volonté de le bien remplir. Une volonté encore plus forte chez leurs femmes, parce que le village, tout petit, se relevait à peine de la terrible époque des bavants.
Non… Celle-là, mieux vaut pas l’évoquer… Trop de sang et de larmes…