Raymond LeclercLes Cayol tome 2 sur 4
/5 5 notes
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Résumé :
Firmin Cayol ce garçon de l’an 93 fuyant la Terreur, la canaille et les peines de cœur, c’est le peuple de France libertin, chevaleresque, débrouillard, ingénu, sans scrupule et courageux. Sur la Dordogne, il échappe enfin à la troupe de pirates dont il était le complice involontaire. Traqué par le tribunal révolutionnaire, il peut maintenant gagner Saint-Domingue, alors en pleine révolte des esclaves. Tout se précipite pour le jeune Périgourdin, devenu marin de la ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Coeur de chène est le second volet de la sage Les Cayol.
On y retrouve Firmin le jeune périgourdin, toujours en proie avec les brigands qui l'ont embarqué malgré lui. Ses aventures vont nous entraîner jusqu'à Saint-Domingue, puis l'Espagne, la guerre. Mais saura-t-il résister à l'appel de son pays natal qui lui manque pourtant beaucoup.
Tout aussi passionnant que le premier tome, cette série est une très belle lecture
On y retrouve Firmin le jeune périgourdin, toujours en proie avec les brigands qui l'ont embarqué malgré lui. Ses aventures vont nous entraîner jusqu'à Saint-Domingue, puis l'Espagne, la guerre. Mais saura-t-il résister à l'appel de son pays natal qui lui manque pourtant beaucoup.
Tout aussi passionnant que le premier tome, cette série est une très belle lecture
Citations et extraits (2)
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Au fil des jours, à Firmin furent révélées d'autres identités et surtout celles des bas-officiers de sa bordée. Depuis que la Révolution avait accroché des bonnets rouges à la pomme des mâts, aucun de ces gradés ne portait l'uniforme. Il n'en commandaient pas moins pour ça ! Tous parlaient à cheval, et mieux valait ne pas se faire répéter l'ordre, si on avait hantise du fouet, de la bouline ou du bouclage à fond de cale.Les officiers, eux, se montraient peu. Il dédaignaient la vie du vaisseau en rade, ne manifestaient aucun goût pour juger du rendu des exercices de manoeuvre ou d'artillerie.
Les hommes, pourtant habitués à la dure, dormaient si pauvrement qu'ils vivaient tout le jour en somnolence. Ainsi déconfortés, ils prirent en grippe villes et paysages.
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