Je peux commencer cette critique ?
D'accord mais je serai bref et interrogatif, car je ne suis pas sûr d'avoir beaucoup de réponses.
N. Lefebvre écoute beaucoup, on lui parle d'elle.
Puisque
Flaubert écrit à E. Goncourt en 1879 : « En revanche, je désapprouve la Préface – comme intention », l'auteure le fait mais après le « Parle » du début du livre.
Et puisque ce livre s'appuie essentiellement sur la correspondance de l'écrivain normand, elle articule cette postpréface autour de cet autre passage épistolaire adressé pour le même prix au même écrivain naturaliste :
« Qu'avez-vous besoin de parler directement au Public ? Il n'est pas digne de nos confidences. “Cache ta vie”, dit Épictète »
Car pour expliquer le mieux ce texte, c'est l'auteure qui finalement le définit le mieux : «Parle est un peu tout et rien du tout».