Le crépuscule des fauves

Contrairement à la majorité des Babeliotes si j'en crois les notes moyennes des deux tomes, j'ai préféré le premier tome au second.
J'avais aimé découvrir chacun des personnages, les voir évoluer chacun de son coté, voire se retrouver pour certains.
J'ai beaucoup moins aimé ce deuxième tome, beaucoup plus technique d'une part quand les hackers sont rassemblés, un peu invraisemblable d'autre part quand il s'agit des péripéties vécues par Maya en Turquie.
Le plaisir de la découverte n'est plus là et le livre laisse moins de place aux personnages, plus à ce qu'ils accomplissent, et j'avoue que les différentes opérations ont fini par me lasser.
Quoiqu'il en soit je lirai probablement le troisième tome, pour connaître la fin. Il sera sûrement à la bibliothèque :-)

Ce deuxième tome de la série « 9 » m'a un peu moins emballée que le premier même si j'ai tout de même passé un bon moment de lecture. Sans l'effet de surprise et de nouveauté, je me suis moins passionnée pour les péripéties (parfois limite vraisemblables) de notre équipe de hackers-justiciers.

Le récit démarre exactement à la suite du tome 1 ; en lisant les deux tomes à la suite, cela pourrait donner l'impression de simplement entamer un nouveau chapitre. C'est un point que j'ai apprécié.

Malgré tout, je reste engagée dans cette série et je lirai avec plaisir le prochain tome.

Suite logique de « c'est arrivé la nuit »: on entre dans le vif du sujet.
Les 9 hackers ont été convoqués dans un manoir en Ukraine pour mettre au point et exécuter un plan visant à mettre à bas les fauves du capitalisme qui se gave sur la détresse des plus pauvres, et qui a ciblé plusieurs très grosses fortunes dans le but de les délester d'une partie de celle-ci qui sera reversée à leurs victimes.
Dans ce tome, l'équipe fait connaissance, mais il en manque deux: n°9, le « chef » que personne ne connait mais qui, tout au long de ce tome, donne une interview à un journaliste - ce qui sert de voix off et explique ce qu'il se passe au lecteur (bien vu, ça reprend exactement le procédé d' « entretien avec un vampire »), et l'une d'entre elle, coincée en Turquie et poursuivie par les services secrets.
Ce tome est très technique, même s'il est expliqué point par point par « 9 » qui renseigne le journaliste. Il est à peu près compréhensible par un néophyte mais les personnages deviennent un peu caricaturaux, et leur personnalité, fortement narcissique et egocentrée agace souvent, d'autant qu'ils ne semblent pas du tout préoccupés par l'absence de l'une des leurs, et font passer leur vie privée avant leur mission qu'on pensait être de la plus haute importance: du coup, je ne me suis pas sentie très impliquée moi non plus dans cette lecture, au point d'avoir eu du mal à terminer ce volume. Je vais réfléchir avant d'acheter ou pas la suite…

Le crépuscule des fauves rattrape un peu le premier volume de cette trilogie des 9. Maintenant que les personnages sont présentés et que les relations se sont établies entre eux - c'est coup de foudre sur coup de foudre et cela me laisse toujours dubitative au coeur d'un récit qui se veut à suspens autant d'histoires d'amour - l'action commence vraiment à se mettre en place. Plus que l'action, le point intéressant est, pour moi, l'envers du décor d'internet et tout ce que cela entraîne pour des individus lambda de se connecter à son gps, aux réseaux sociaux, etc. On a beau connaître les dangers du Net, les voir détaillés par le menu et l'usage qui peut en être fait est plus qu'inquiétant. Pour l'histoire je n'ai pas vraiment adhéré à l'intrigue qui brasse un peu tous les sujets : le pouvoir politique, les paradis fiscaux, les migrants, la Syrie, les réseaux sociaux. Même si le monde est une immense toile d'araignée, à trop de fils, on s'y perd.

Je referme ce deuxième tome de la série 9 un peu perplexe, et un peu désabusée. le premier volet avait titillé mon intérêt sans me scotcher non plus mais assez pour me donner envie de lire la suite. Mais là, passées les premières pages pour se remémorer l'histoire, je me suis perdue en chemin. Les personnages sont trop nombreux pour que l'on puisse s'attarder vraiment sur chacun d'entre eux, du coup, j'ai eu l'impression de rester toujours en surface, et de ne pas creuser bien loin, ce qui ne m'a pas permis de m'attacher à eux. Quant à l'intrigue, il y a "beaucoup beaucoup beaucoup" trop d'informations complexes pour mes petits neurones pour que je comprenne bien tous les aspects de l'intrigue. Résultat, mon cerveau s'est fait un résumé rapide: "en bref, tout le monde est corrompu et les puissants manipulent tout et tout le monde". J'ai lutté pour arriver au bout car je me disais que la fin m'inciterait à lire la suite, mais non. Alors, je ne dis pas que je n'ai pas du tout aimé ce roman mais au fil des pages, j'ai décroché. Pas suffisamment pour que je l'abandonne mais assez pour avoir hâte que ça s'arrête. Ce qui m'a plu et tenue jusqu'au bout, c'est cette bande de Robin des bois numériques dont je trouve le travail fascinant. Je pense que beaucoup d'entre nous ont cet attrait pour les gentils justiciers qui se sortent des situations les plus périlleuses avec des moyens inconnus pour les usagers lambdas que nous sommes. Pour le moment, je ne pense donc pas lire le troisième tome, mais d'ici l'année prochaine, j'ai encore le temps de changer d'avis.

Depuis le temps que cette trilogie était en cours de lecture chez moi (cf mon avis sur le tome 1 qui a plus de deux ans il me semble 🤭), j'ai enfin terminé cette histoire du groupe des 9.

💻ça raconte quoi?💻

grosso modo on a une bande de hackers invétérés , qui font partie d'un groupe international de hacking. Ils ne se connaissent pas, ne se sont jamais vus et opèrent dans l'ombre. Tels des Robins des Bois modernes, ils embrassent la cause de la veuve et l'orphelin au détriment des plus riches.

💻 jusque là tout va bien…💻

Sauf qu'évidemment, travailler ensemble aux quatre coins du monde ça va vite poser souci pour rester discrets et efficaces. de fil en aiguille, les méchants deviennent plus importants et plus méchants (terrorisme, extrémisme, groupe pharmaceutique douteux…) et donc nos héros vont devoir revoir leurs principes.

💻 du Marc Levy ??!💻

Et oui étonnant, pour moi en tous cas, de retrouver Marc Levy dans un « techno-thriller ». Ça change et c'est tant mieux! Même si l'on sent que ce n'est pas son domaine de prédilection (y'a quand même des « trucs » un peu gros et improbable les), on a une ambiance à la croisée d'Operation Espadon et La casa del papel avec ces protagonistes liés à leurs lieux de vie.

💻 une trilogie ? Ah dommage💻

Et là je sors mon buzzer rouge ! Alerte trilogie -> le tome 2 ne sert à rien! Pardon hein mais c'est vraiment le cas ici. On n'apprend rien, et je suis un peu en colère : le titre du tome 3 spoile toute l'intrigue du 2!

💻 c'était chouette quand même ?💻

Le 1 oui. Clairement très bon j'ai adoré. En parallèle de l'histoire de nos hackers, on a une narration sous forme de dialogue entre « 9 » (le.la chef.fe à l'identité secrète) et … Un policier? Bref un interrogatoire en règle quoi. Ça ajoute du souffle, de la déconnexion. Il faut aimer les POV multiples (là 9 différents) mais c'est rythmé et les pages se tournent d'elles mêmes.
Les deux autres … se lisent rapidement mais je trouve que j'ai perdu le fil du fond de l'histoire… L'essence de l'intrigue devient trop tenue au profit des intrigues sociales inter-personnages.

💻 en bref 💻

Si vous aimez les techno thrillers lisez le 1. Pour le reste , bof bof bof … a vous de voir !

Tome 2 de la série 9.

Pour moi, cela restait un Marc Levy et je ne suis généralement pas déçue. ERREUR! Première déception de cet auteur pour ma part!

Cette série, c'est beaucoup moins mon style que ses précédents romans, moi qui lis très peu de thrillers ou de romans d'enquête. Mais le 1er tome m'avait quand même plu, j'avais aimé les personnages dispersés, le fait qu'ils ne se soient jamais rencontrés les uns les autres.

Mais dans ce nouveau tome, je n'ai pas apprécié l'aspect trop technique, le jargon informatique, du hack, du coup j'ai trouvé plusieurs pages (voir chapitres) vraiment très lourdes, barbantes. Ca m'a même complètement déconnectée de l'histoire en fait ...

Tels des Robin des bois de l'ère numérique, les membres du Groupe 9 réalisent leur premier exploit. En introduisant divers virus, malwares et autres bots, dans des circuits informatiques, ils parviennent à dérober plus de 250 millions de dollars à diverses banques et autres milliardaires peu sympathiques et à les reverser à plusieurs milliers de gens lésés par ces derniers. Pendant ce temps, à Istambul, Maya, partie à la recherche d'une petite réfugiée syrienne porteuse de documents aussi compromettants pour les ripoux oligarques que les célèbres « Panama papers », est repérée par les services secrets turcs et traquée dans la nuit, d'abord en voiture, puis à pied dans la campagne, à travers champs et forêts. Elle finit par leur échapper miraculeusement et par se cacher dans un camp de réfugiés syriens. Parviendra-t-elle à trouver une aide assez efficace pour pouvoir être ex-filtrée du pays ? le Groupe 9 pourra-t-il récupérer les documents et confondre tous ces fauves prêts à dévorer l'humanité ?
« Le crépuscule des fauves » est le deuxième tome d'une saga d'aventures et d'espionnage qui s'annonce longue et pas particulièrement passionnante. Après la présentation des personnages du premier opus, le lecteur espère entrer dans le dur dans celui-ci. Malheureusement, même arrivé à la dernière page, on sent que l'on est encore fort loin du dénouement, même si quelques miettes, qu'on ne déflorera pas, sont jetées à la toute dernière page sur l'identité du mystérieux neuvième comparse. L'auteur tente de décrire les menées secrètes des oligarques, leur désir d'imposer un nouvel ordre mondial basé sur un crédit social à la chinoise, leur emprise sur les médias, les fake-news, le poids des réseaux sociaux, les psy-ops, les inversions accusatoires et la corruption généralisée. Mais sans doute de peur d'être taxé de complotisme, il ne va jamais au fond des choses et prend bien soin de toujours se maintenir sur le droit fil de la pensée unique en imputant toutes ces turpitudes aux seuls « méchants » patentés du narratif officiel. (Trump, mais également Nigel Farrage que l'on reconnaîtra aisément sous le pseudo de « Garbage », « ordure », Murdoch sous celui de « Berdoch », voire Zuckerberg, relooké en « Sucker »). La narration, se dispersant sur chacun des personnages, manque de cohérence, de punch, de suspens et même parfois de vraisemblance. Un troisième tome est déjà paru. Lévy poussera-t-il le bouchon jusqu'à en tartiner 9 ? le lecteur risque de vite se lasser des bricolages numériques de cette charmante bande de rocambolesques pirates du net…
Lien : http://www.bernardviallet.fr

Cette suite de c'est arrivé la nuit est à l'image du premier tome de l'intrigue, le fond est intéressant mais on a la sensation que l'histoire est un peu vide et que Marc Lévy tire des lignes pour faire un roman.
Ça se lit toujours bien mais ça manque clairement d'intrigues, de rebondissements, et de profondeur.
On a toujours cette sensation que c'est un premier roman et que l'auteur tâtonne un peu.
Alors le livre vaut tout de même le détour car le sujet est franchement bien et tristement réaliste mais on peine à retrouver l'écriture de Marc Lévy.

Dans la lignée du précédent et je reste encore sur la même impression.. J'ai eu du mal à arriver au bout peut être car j'ai trouvé que c'était un peu confus mais là fin , ou plutôt les dernières pages permettent de conclure l'histoire en nous faisant attendre le prochain...
pas sûr que je ne le lise quand même