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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
En août 1789, les privilèges de la noblesse et du clergé ont été abolis et l'on parle d'instituer le droit de veto au profit de Louis XVI. L'intrigue est ainsi encadrée après le prologue et à la fin du livre par des scènes ayant trait à la Révolution, mais ayant peu de rapport avec l'enquête.
Gabriel Joly ne sort plus, tout à son chagrin (voir les tomes précédents). Un riche négrier est assassiné, puis une actrice de la Comédie-Française. Gabriel, sollicité par le commissaire Guyot, fait le lien entre les deux meurtres. Il est malheureusement incapable d'en empêcher d'autres.
Je n'ai pas été convaincue par l'intrigue en elle-même, même si elle se termine à la façon d'Agatha Christie, le détective (amateur dans le cas de Gabriel Joly), réunissant tous les suspects et faisant mine de les soupçonner les uns après les autres. La solution du problème apparaît comme par magie, grâce à des informations inconnues du lecteur.
En revanche, le mélange de personnes réelles et fictives est savoureux et le lieu où se déroule l'intrigue, la Comédie-Française, rend la lecture passionnante.

Lien : https://dequoilire.com/lassa..
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J'avais lu avec bonheur « Nous rêvions juste de liberté » en 2017.

Nous sommes en août 1789.
La révolution embrase le pays tandis qu'à Versailles les députés sont en train de rédiger LA DÉCLARATION des DROITS de L'HOMME ET du CITOYEN .

Le jeune journaliste Gabriel Joly, brillant et idéaliste , à l'issue de sa dernière enquête , alors qu'il a retrouvé le « Loup en Corse » et mis la main sur un incroyable trésor ———on vole l'être aimé à Gabriel ———car il assiste , impuissant ,à la mort de la jeune Lorette , bibliothécaire du couvent des Cordeliers ,assassinée par le colonel Duvilliers …..dont il était tombé éperdument amoureux …

Endeuillé, morose , Gabriel peine à retrouver le goût de vivre mais une très étrange affaire de meurtre , meurtres crapuleux , dans le cercle très secret de la Comédie - Française le tirera petit à petit de sa torpeur et de son chagrin .

Journaliste - enquêteur , adjoint du commissaire Guyot ,il mettra toute son énergie , son intelligence, son imagination à débusquer un effroyable meurtrier qui s'en prend à des membres : acteurs ou techniciens de la Comédie - Française..
Les uns après les autres ——- notamment madame Verneuil , égorgée , sa pauvre tête transpercée , de la plus horrible manière ——-sont assassinés sauvagement en plein théâtre ……
N'en dévoilons pas plus ,…
Courses poursuites , chasse effrénée , huit - clos haletant, cachettes, poulies , escaliers , pincettes et écarteurs , scalpels , corridors et loges , poignards , caves , cette intrigue très prenante met en scène des meurtres en rafale .

Elle nous tient en haleine jusqu'à la dernière page ——-même George Danton est soupçonné ——-vrais ou faux témoignages , poursuites infernales , ce roman historique fort bien mené , chapitres courts , relances continuelles lors des poursuites de Gabriel et ses acolytes , le pirate Récif , notamment , l'auteur mixe habilement de très nombreuses anecdotes à propos de la Comédie Française , ses codes , ses usages , son histoire …..
grâce à des personnages réels ou fictifs , et une connaissance , un travail opiniâtre, approfondi de L'Histoire de cette époque troublée.

Un ouvrage très bien documenté , passionné et passionnant , petit bijou d'aventures de finesse et d'humour au sein duquel Alexandre Dumas aurait côtoyé Agatha Christie sans problème .
Alors Gabriel réussira t - il à démasquer le ou les auteurs de ces crimes odieux? . Une belle découverte à la médiathèque,: excellent polar historique !
Et ce n'est pas fini : À suivre , derniers mots de l'ultime phrase ….
470 pages où le lecteur retient son souffle …

« La seule nécessité est la digne mère de l'Art …
Et alors la vanité , Monsieur …..Oui,, la vanité , elle , est la mère de l'envie , et l'envie ,la mère du Crime » ….
« Et je sais aussi , monsieur, qu'il est plus aisé de cultiver son mal que de le combattre »
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Quel plaisir de retrouver Gabriel Joly et de suivre un petit cours d'Histoire appliquée en sa compagnie, sans que jamais cela devienne rébarbatif !

Nous sommes en août 1789, les privilèges de la noblesse et du clergé ont été abolis… le roi ne le sait pas encore, mais un jour, sa tête tombera. Et il ne pourra pas y mettre son véto.

Après avoir assisté à des pendaisons d'aristocrates à la lanterne, participé à la prise de la Bastille, fait la révolution française, je me demandais ce que l'auteur me réservait comme promenade de santé (euphémisme).

Une enquête à huis clos sur des meurtres crapuleux ! Génial, me voici confinée avec Gabriel Joly et le commissaire Guyot à la Comédie Française. Je ne pouvais rêver mieux, car l'enquête sera ardue pour nos enquêteurs.

L'auteur n'a pas fait dans la facilité ou le simplisme. Il s'est creusé les méninges et, tout en nous faisant suivre cette enquête, il en profitera pour instruire nos petits cerveaux sur l'Histoire de cette époque, la mélangeant habillement avec son histoire, l'intégrant facilement grâce à ses personnages fictifs ou réels.

Quelle joie ce fut de retrouver ce cher Gabriel Joly, bien en peine, notre joli rouquin. Un seul être vous manque et tout est dépeuplé et j'avoue qu'un personnage m'a manqué aussi dans ce troisième tome. Son excuse est d'avoir rencontré la mort et je ne le pardonnerai jamais à son père littéraire.

Récif, le pirate s'est fait désirer aussi, le revoir à un moment donné m'a transporté de joie tant ce personnage est réussi et que son duo fonctionne très bien avec Gabriel, apportant de l'humour dans les dialogues, là où le commissaire Guyot est plus réservé.

Ce roman n'a qu'un seul défaut : il se lit trop vite ! J'ai eu beau tenter de ralentir le rythme afin de faire durer le plaisir plus longtemps, c'était impossible, il a été dévoré voracement. Pas ma faute, il est trop addictif, ce roman, sans pour autant que l'auteur ait collé des péripéties toutes les 10 pages.

Cela tient sans doute à son atmosphère, à ses personnages truculents (fictifs ou réels), à la plume de l'auteur qui sait chatouiller le lecteur et le renvoyer, dans ses écrits, à des situations bien de notre époque. Caustique, j'aime ça.

Sinon, j'ai ri avec son pastichage du "Paris Libéré" de MonGénéral et avec le fait qu'il ait utilisé les noms de certains auteurs pour ses personnages (Saussey et Minier).

L'enquête m'a donné du fil à retordre. J'ai eu beau faire tourner mes cellules grises, il n'en est rien sorti de conséquent : impossible de trouver le nom du coupable de ces crimes sordides !

Ayant lu tous les Hercule Poirot, je suis blindée, j'ai tout vu en ce qui concerne les coupables (Agatha Christie a bien fait tout le tour), ce qui m'a fait suspecter les trépanés, le commissaire, le narrateur omniscient, le Loup… Oui, tout le monde y est passé, sans que j'aie le moindre mobile.

Lorsque Gabriel Joly dévoile l'affaire, tel Hercule Poirot réunissant tout le monde dans le grand salon, l'auteur, sadique, ménagera encore le suspense, prenant son temps, nous laissant mariner dans notre jus, avant de porter le coup fatal, telle une botte qui clouera le lecteur à son fauteuil. Excellentissime ! Malgré mon dos douloureux, je m'incline !

Un polar historique qui privilégie autant le fond que la forme, qui nous donne un petit cours d'Histoire bienvenu, sans jamais devenir lourd et qui nous offre des meurtres en huis-clos digne de la reine du crime.

Ce troisième tome est à la hauteur des deux premiers, il clôt magistralement la trilogie du Loup des Cordeliers et, cerise sur le gâteau, il est noté "à suivre" à la fin, ce qui me remplit de joie à l'idée de retrouver Gabriel Joly et les autres !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Troisième enquête de notre jeune journaliste-enquêteur de Gabriel Joly dans l'été révolutionnaire du Paris de 1789, nous sommes cette fois au mois d'août où un meurtrier s'en prend à des membres, techniciens ou acteurs de la Comédie Française.
Adjoint du commissaire Guyot, Gabriel mettra toute son imagination, son talent pour débusquer le criminel au cours d'une enquête réalisée quasiment à huis-clos, dans une atmosphère où tout le monde paraît coupable. Un polar historique dans lequel Agatha Christie aurait rencontré Alexandre Dumas.
Même si ce n'est pas la plus palpitante des enquêtes du jeune journaliste, c'est avec plaisir que nous découvrons de nombreuses anecdotes sur la Comédie Française.
Un bon point somme toute pour l'excellent travail de documentation.
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L'assassin de la rue Voltaire est la troisième aventure et enquête de Gabriel Joly ayant pour cadre la Révolution Française.
Après le loup des Cordeliers, le Mystère de la main rouge, voici venu le temps de l'assassin de la rue Voltaire. Bien qu'il existe une continuité entre chaque enquête, celles ci peuvent être lues indépendamment.
Nous sommes donc aux prémices de la Révolution Française.
La première enquête le loup des Cordeliers s'est déroulé autour du 14 Juillet de la prise de la Bastille
La deuxième enquête, le Mystère de la main rouge a couru de Paris en Corse sur la fin du mois de Juillet 1789.
La troisième enquête , l'assassin de la rue Voltaire se situe à Paris , en Août. Pendant la nuit du 4 Août les privilèges ont été abolis et dorénavant , l'assemblée travaille sur la Constitution des Droits de l'homme.
Gabriel Joly , notre héros , est monté à Paris en Mai 1789, espérant devenir un grand journaliste. Employé par son oncle au Journal de Paris , il s'y ennuie et s'intéresse plus aux faits divers. Cet intérêt le mettra sur la trace du Loup des Cordeliers et lui conférera l'amitié de Camille Desmoulins et Danton.
De retour à Paris après avoir résolu les énigmes du Loup des Cordeliers et de la main rouge , Gabriel Joly est au prise avec une nouvelle énigme.
Des meurtres ont lieu dans l'enceinte de la Comédie française , haut lieu de la culture et de la royauté. Gabriel Joly parviendra-t-il à résoudre cette enquête dans les temps impartis , la cour royale ne souhaitant pas que piteux spectacle s'éternise.
Comme à son habitude , Henri Loevenbruck s'appuie sur une documentation historique importante pour intégrer son récit dans la réalité de l'Histoire.
Le découpage en cours chapitres, fait que l'intérêt et la tension ne baissent pas ; bien au contraire.
Dans cette enquête, l'avancée de la Révolution est moins présente mais reste toujours présente en arrière plan.
Tout le premier plan est à l'honneur de la Comédie Française; qu'il s'agisse de ses comédiens ,de son architecture ou de ses loges, balcons, caves et théâtre.
Laissez vous emporter dans les sous pentes du théâtre. Laissez vous surprendre par les costumes, perruques et parfums. Un assassin rôde autour de vous !
L'assassin de la rue Voltaire mérite bien quelques de lecture.
Henri Loevenbruck enquête après enquête conserve le souffle des aventures à la Dumas.
En attendant l'enquête suivante....
Lien : https://auventdesmots.wordpr..
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Suite des aventures de Gabriel Joly, après ses aventures en Corse. Il est effondré de chagrin et reste enfermer chez lui. Il prend clairement une mauvaise direction jusqu'à ce que le commissaire fasse appel à lui pour résoudre une enquête. Des meurtres, liés à la Comédie-Française....Un petit huit-clos bien sympa dans ce lieu mythique commence alors.
J'ai bien aimé ce tome, il y a moins de développement sur le contexte historique et on se concentre un peu plus sur l'enquête et les problèmes de Gabriel. le thème de la vengeance est bien prégnant, que ce soit dans l'enquête ou dans la tête de Gabriel. La lecture est fluide et prenante, je lirai avec plaisir la suite !
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Que diriez-vous de visiter la Comédie-Française de fond en comble ? Qui plus est celle de 1789. Sauf que pour avoir ce privilège, il faudra accepter d'y rester enfermé toute une nuit. En charmante compagnie, avec la troupe et les employés. Oh, et avec un meurtrier en pleine activité aussi…

C'est donc à vos risques et périls que vous vous plongerez durant quelques centaines de pages dans ce huis clos historique, la visite se faisant sous l'assistance et l'escorte du sémillant Gabriel Joly. le journaliste devient fin limier pour renifler les moindres recoins de l'endroit mais aussi les âmes des gens de la balle.

La scène où se jouent les pièces les plus illustres va servir de théâtre aux faux-semblants, cachotteries et autres mensonges.

Le troisième roman de la série des enquête de Gabriel Joly se veut différent dans son approche, moins aventurier. Après une mise en place un peu longuette à mon goût, le temps de raconter le contexte historique (la rédaction de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen) et rappeler où en sont les protagonistes, le récit débute vraiment lorsque les clés des portes du théâtre en ferment les serrures.

Nous avons beau nous retrouver durant la révolutionnaire fin du XVIIIème siècle, cette histoire et surtout sa manière de la raconter est clairement un hommage à des oeuvres futures d'une grande dame du crime. Gabriel Joly n'a rien de son physique ni de son âge, mais le jeune homme se transforme pourtant en une sorte d'Hercule Poirot.

Pour démasquer L'assassin de la rue Voltaire, le journaliste enquête, consulte et confronte, à la manière de. Au bal masqué des tartuffes, il met toute sa vélocité mentale au service de la vérité.

Et c'est là que le roman prend toute son ampleur. Il n'est pas souvent l'occasion de parcourir des lieux si illustres, à la suite de personnes qui le sont tout autant. le contexte rend l'ambiance spécifique, et la mise en scène soignée achève de plonger le lecteur dans l'ambiance.

En vers et contre tous, Gabriel Joly fera tout pour arrêter le coupable de cette tragédie.

Loevenbruck a fignolé les échanges entre les personnages, à coups de répliques et tirades proprement jouissives. Et de courses-poursuites aussi, le long des coursives et des passages cachés de cet endroit mythique.

Le tout, dans un contexte historique finement détaillé et une écriture joliment surannée. Tout pour s'immerger dans le temps et dans les coulisses d'une période illustre qui a forgé ce que nous sommes aujourd'hui.

Jetez-vous à la poursuite de L'assassin de la rue Voltaire. C'est une expérience d'immersion garantie, lors d'un pan de l'Histoire de France, aux cotés de personnages incarnés.

Henri Loevenbruck en bon dramaturge nous plonge dans un huis clos atypique, dont il n'est pas aisé de deviner le noeud d'une intrigue faite de surprises et de chausse-trappes, tout autant que d'échanges où il fait preuve de sa verve désormais légendaire.
Lien : https://gruznamur.com/2021/1..
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Août 1789, Paris. Dans les affres de la douleur, à peine soulagé par le laudanum, Gabriel Joly, journaliste et enquêteur à ses heures perdues, ne quitte plus sa chambre des Cordeliers. C'est alors qu'un meurtre à la Comédie Française survient, et on le persuade habilement d'aider le commissaire Guyot et son second Minier sur cette affaire dans un cadre peu banal. Même à huis clos, alors que les acteurs et employés ont interdiction de sortir, les crimes se poursuivent et il va falloir rapidement retrouver l'assassin...

Avec 3 ouvrages en 2023, Henri Loevenbruck est assurément l'auteur que j'ai le plus lu cette année, et dont j'adore, à chaque fois, retrouver la plume quasi cinématographique. J'ai moins aimé cette enquête car le monde du théâtre me passionne moins, et qu'il y avait une trop grande galerie de personnages et de suspects, néanmoins cela reste une très bonne lecture et un vrai page turner malgré ses quasi 500 pages. de plus, la vulnérabilité de Gabriel, sa complicité avec Guyot et Récif, les fils dénoués brillamment au fur et à mesure de l'enquête sont vraiment plaisants. Par ailleurs l'auteur, qui retranscrit comme personne le Paris du 18e, se penche également sur le sort des enfants des rues, ou la place des femmes qui reste très subalterne un mois après la Révolution, malgré les belles promesses. Enfin, comme d'habitude chez Loevenbruck, on a ici en début de roman de magnifiques plans de coupe de la Comédie Française.
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J'ai retrouvé avec grand plaisir Gabriel Joly dans ce troisième tome, bien que mal en point en début d'histoire, suite aux évènements du second. C'est sans compter l'amitié de Récif et de Théroigne de Méricourt qui lui feront relever la tête.

C'est plus intimiste, presque un huis clos dans ce théâtre de la Comédie-Française, mais pas que. Ça va se passer sur des toits aussi.

Et pendant que les députés bataillent à rédiger la Déclaration des droits de l'homme, le commissaire Guyot et notre héros, vont enquêter pour élucider les meurtres commis dans ce lieu. Je me suis crue par moment dans un Agatha Christie ou un Gaston Leroux, mais avec la verve des romans d'aventures.

J'ai eu du mal à lâcher ce tome très prenant, où le loup des Cordeliers reprend du service également.

J'ai aussi souri à deux personnages secondaires, un inspecteur et le régisseur, facétieux auteurs de polars, potes dans la vie...

Bref, très très bon moment de lecture !
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Henri Loevenbruck est vraiment un auteur étonnant .
Ses romans se suivent et ne se ressemblent pas .
Le 1er de cette série était plus historique que fictionnel .
C'était l'inverse pour le 2e qui faisait la part belle à la fiction romanesque
et à l'aventure .
"L'assassin de la rue Voltaire" est carrément un " whodunnit" ...
La Révolution française est juste évoquée ; l'intrigue pourrait se dérouler
à une toute autre époque .
Des meurtres sont commis dans un lieu clos , la Comédie-Française .
L'intrépide journaliste , Gabriel Joly , promu chef d'enquête , réunit ,
tel Hercule Poirot , tous les protagonistes . L'assassin est forcément là , dans le théâtre , car il continue de tuer des membres de la troupe .
Qui est-il et quel est son mobile ?
Je ne me suis pas ennuyé un instant
avec cet " assassin de la rue Voltaire"
Une remarque cependant : l'auteur commet ( il n'est pas le seul )
une faute de français .
A deux reprises , il dit " débuter..... quelque chose " .
Or , le verbe débuter est intransitif ; on ne débute pas un roman ...
c'est le roman qui débute .
Ceci ne m'empêchera pas de lire la suite de cette série avec plaisir !

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