Peut-être faut-il connaître les films de
Fellini bien plus afin de mieux apprécier cette BD?
Pourtant j'avais déjà lu
Manara avec Un été indien, et j'avais adoré…
C'est pas parce que c'est
Manara que c'est nécessairement bon, faut croire.
« La trame, l'intrigue, les aléas n'ont qu'une importance relative chez
Fellini. Ce qui compte, c'est la révélation merveilleuse, l'émouvante mise à jour d'essences secrètes, l'ineffable transfiguration universelle qui unit tout : hommes, animaux, plantes, choses en une glorieuse parade, animisme plein de douceur, adoration réciproque et panique ». (p.49)