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Attirée par la quatrième de couverture qui indique que "Sur l'eau" est une nouvelle fantastique de Guy de Maupassant, je me suis vite interrogée sur ce que j'étais en train de lire. Rien de fantastique mais un récit de voyage ou plutôt un journal de rêvasseries comme le précise l'auteur.
Il faut dire que j'ai téléchargé gratuitement une version numérique sur ma liseuse et qu'il s'agit bien du récit de 1888 et non de la nouvelle de 1876 qui porte le même nom et qui fait partie du recueil de "La maison Tellier". Les deux textes ne sont pas dissociés sur Babelio actuellement.

Me voilà donc embarquée avec Maupassant à bord du "Bel-Ami" pour une croisière le long de la côte méditerranéenne française, sur lequel il tient un journal entre le 6 et le 14 avril, accompagné par deux marins, Bernard et son beau-frère Raymond.
Partant du chantier du constructeur Ardouin du port d'Antibes, il profite de sa solitude flottante pour arrêter les idées errantes qui traversent son esprit comme des oiseaux. C'est Maupassant qui l'écrit et sa superbe plume nous décrit aussi bien la mer que la terre, des paysages vu du bateau ou des lieux qu'il visite à chaque escale.
Sans but précis, le mauvais temps les oblige à accoster à Cannes, occasion d'évoquer les aristocrates étrangers qui envahissent la croisette. Mais c'est plutôt une Côte d'Azur encore sauvage qu'il décrit quand il fait des excursions a terre près d'Agay, de Saint-Raphaël et de Saint-Tropez.

On voit bien que ce journal n'était pas destiné à être publié car les idées De Maupassant dérivent vers des considérations littéraires, sociales, historiques ou géographiques, ce qui n'est pas sans intérêt mais fait un peu tanguer son bateau au nom approprié de "Bel-Ami", on se demande pourquoi...


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J'ai fait une pause bien-être après deux lectures qui m'ont bien secouée. Et c'est auprès de l'ami Maupassant que je me suis assise pour écouter le récit de son voyage en Méditerranée et sur la Méditerranée grâce au yacht le « Bel ami ».

Et le départ se fait d'Antibes, qui à l'époque a encore ses remparts. Sur le bateau, se trouvent également deux marins aguerris qui aident Monsieur, même si celui-ci aime à penser qu'il est le seul maître à bord.

Et Maupassant nous régale de ses observations de la côte vue de la mer. Il faut se replacer au temps où la Côte d'Azur était bien plus sauvage que maintenant, où les villas somptueuses de tous les nantis de la terre n'avaient pas encore conquis les espaces encore plantés des riches essences méditerranéennes.

Plusieurs escales permettent également au lecteur de replonger dans la géographie de l'époque, comme la première à Cannes où les mondains et autres aristocrates se promènent déjà sur la Croisette, où le paraître domine aussi. Ce sera alors le moment pour notre auteur de donner un bon coup de griffe aux amateurs de cette discipline.

Une autre escale dans l'anse d Agay, uniquement accessible en bateau, mènera Maupassant à emprunter un petit chemin et le clair de lune lui permettra de convoquer quelques poètes pour honorer l'astre nocturne, comme Musset ou Hugo. Une convocation sympathique.
Pas du tout comme celle qui suit, car la nuit sans sommeil l'amènera à évoquer la misère aperçue ici et là. Et comme l'écrivain y est plus sensible qu'un autre homme (dixit), le voilà quasiment obligé de retenir de ce qu'il voit pour pouvoir s'en servir dans ses écrits…

La solitude sur le bateau doit le tourmenter. Ses pensées sont bien sombres. L'escale à Saint-Raphael, et le mariage qu'il croise, lui montre combien les hommes sont laids et leur contact amoindrit la pensée : il vaut mieux être seul que plongé dans la foule, on raisonne beaucoup mieux ainsi…

Enfin Saint-Tropez apparaît et le soleil brille enfin. La description de ce petit port de pêche est bien étonnante et c'est là que le lecteur comprend comme le temps a passé et que le charme a presque disparu.


Heureusement que quelques anecdotes et historiettes (la paysanne et son hussard, le prisonnier de Monaco) viennent gratiner ce journal de bord, car pour une fois, je me suis bien ennuyée auprès de Bel Ami, que j'ai trouvé pompeux et plutôt misanthrope. Mais je lui pardonne car, il le dit lui-même, ces quelques réflexions personnelles n'étaient pas destinées et être publiées. Et il récompense quand même le lecteur de certaines descriptions sur la mer bien plus que jolies :
« Dès que nous fûmes dans la passe, entre la jetée et le fort carré, le yacht, plus ardent, accéléra sa marche et sembla s'animer sur les vagues légères, innombrables et basses, sillons mouvants d'une plaine illimitée. Il sentait la vie de la mer en sortant de l'eau morte du port. »
« Quel personnage le vent pour les marins ! On en parle comme d'un homme, d'un souverain tout puissant, tantôt terrible, tantôt bienveillant. C'est de lui qu'on s'entretient le plus, le long des jours, c'est à lui qu'on pense sans cesse, le long des jours et des nuits… il est le maître de la mer, celui qu'on peut éviter, utiliser ou fuir, mais qu'on ne dompte jamais. »
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Sur l'eau/Guy de Maupassant
Cette nouvelle parue en 1888 raconte une croisière De Maupassant en Méditerranée à bord de son yacht Bel-Ami dans les années 1873 à 1875.
C'est non seulement un récit de voyage mais aussi une belle description des paysages et de la vie à bord.
Maupassant évoque aussi la vie littéraire, ses tourments intimes, et les vices d'une aristocratie dont il fait une satire féroce, des gens qui s'approprient les acteurs célèbres, les artistes et les musiciens.
Et puis la beauté de la mer et les caprices du vent sont décrits dans ce style inimitable qui est propre à Maupassant. On découvre tels qu'ils étaient vers 1875 des lieux devenus mythiques comme Saint Tropez, Saint Raphaël, Sainte Maxime, Saint Aygulf, Agay…
En somme, un délicieux bavardage ont dit certains : c'est même un peu plus !
Citations sur le vent :
« Aucun ennemi ne nous donne autant que lui la sensation du combat, ne nous force à tant de prévoyance, car il est le maître de la mer, celui qu'on peut éviter, utiliser ou fuir, mais qu'on ne dompte jamais. »
La misanthropie croissante De Maupassant transparait au fil des pages :
« Dieu, que les hommes sont laids ! Pour la centième fois au moins, je remarquais au milieu de cette fête que, de toutes les races, la race humaine est la plus affreuse. »
Suit une réflexion sur l'attitude des foules fort juste et qui ne laisse de donner à penser que Maupassant préfère la solitude à bord de son Bel Ami.
Maupassant se livre aussi à une petite analyse de l'Histoire, « cette vieille dame exaltée et menteuse » comme il dit avec ironie. Et il vante les qualités épiques de l'Histoire de France qui a eu une Jeanne d'Arc et un Napoléon.
Au passage il vante aussi les qualités de séduction des hommes français : « Nous aimons les femmes, nous les aimons bien, avec fougue et avec légèreté, avec esprit et avec respect. Notre galanterie ne peut être comparée à rien dans aucun autre pays. »
Il fait remarquer que les mots ont souvent fait l'histoire des princes :
« Un seul coup d'oeil jeté sur le passé de notre patrie nous fera comprendre que la renommée de nos grands hommes n'a jamais été faite que par des mots heureux… »
Et il cite les exemples célèbres de Henri IV, de Clovis, etc…
Un genre de récit dont Maupassant donne une conclusion très à propos :
« J'avais profité de ma solitude flottante pour arrêter les idées errantes qui traversent notre esprit comme des oiseaux… »
Un bijou littéraire.
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Ce livre n'est pas à confondre avec la nouvelle éponyme écrite auparavant. Ici il s'agit bien d'un récit de voyage de 1888, ou plutôt d'un recueil de chroniques de divers voyages maritimes effectués par MAUPASSANT entre 1881 et 1887, près de Cannes, Antibes, Saint Tropez, dans cette région alors fraîchement appelée Côte d'Azur (en 1887 justement !).

Ne vous attendez pas à un récit maritime au long cours dans ce recueil, mais bien plutôt de réflexions sur les abords de la Méditerranée. Comme tout bon écrivain, de surcroît doté d'un certain talent, MAUPASSANT, fin observateur, prend des notes qu'il rédige ensuite. Sa « croisière » n'en est pas tout à fait une malgré la volonté de l'auteur d'y présenter une suite logique. Ces brefs voyages ne se sont pas effectués en une fois, ni même sur un temps court.

Ce qui frappe dans ce livre, c'est cet éloge de la solitude, que MAUPASSANT recherchait contre vents et marées, et paradoxalement un étouffement par la foule dès qu'il pose le pied à terre. Car ce recueil n'est pas fait d'un bloc : si l'auteur aime à décrire ce qu'il voit en mer à la façon d'un peintre impressionniste, il digresse longuement sur des idées, des réflexions captées sur la terre ferme. Il semble fatigué de l'humain et n'hésite pas à égratigner ses semblables, notamment ceux de la bourgeoisie ou de l'aristocratie, ou encore les courtisans, pullulant en ces lieux (voir aussi quelques pages d'anthologie dans « Les dimanches d'un bourgeois de Paris »). Bien que la Côte d'Azur ne soit pas encore le vacarme touristique qu'elle deviendra, on y trouve déjà l'aisance dans la représentation de classe. de passage à Cannes, il note « Et je pensais que dans toutes ces villas, dans tous ces hôtels, des gens, ce soir, se sont réunis, comme ils ont fait hier, comme ils le feront demain et qu'ils causent. Ils causent ! de quoi ? des princes ! du temps !... Et puis ?... du temps !... des princes !... et puis ?... de rien ! ».

C'est un MAUPSSASANT plutôt misanthrope qui s'exprime en ces pages, mais apaisé alors qu'il retrouve la mer sur son yacht le « Bel-Ami » ou même sur une simple barque. Il nous entretient de la pêche, des paysages qu'il aperçoit au loin, mais sait se faire virulent, non seulement pour l'espèce humaine, mais pour ce qu'elle produit, la littérature notamment, qui n'est à ses yeux qu'hypocrisie. Puis il se fait contemplatif, mais toujours saignant : « Et partout, le long de ce rivage démesuré, les villes au bord de l'eau, les villages accrochés plus haut au flanc des monts, les innombrables villas semées dans la verdure ont l'air d'oeufs blancs pondus sur les sables, pondus sur les rocs, pondus dans les forêts de pins par des oiseaux monstrueux venus pendant la nuit du pays des neiges qu'on aperçoit là-haut ».

Et puis le calme revient. MAUPASSANT s'ébahit devant la lune, confie des éléments géographiques, enrichit sa trame de faits divers, notamment celui de l'encombrant cadavre du musicien italien Niccolò PAGANINI, mort à Nice, mais aussi de l'évasion du général BAZAINE du Fort royal de l'île Sainte-Marguerite, tout près de Cannes en 1874. de passage à Monaco, il se remémore ce fait divers d'un homme condamné à mort par la justice, mais ne pouvant être exécuté en l'absence de guillotine sur le territoire monégasque. D'ailleurs, MAUPASSANT écrit sur les prisons, mais aussi sur le prolétariat ou la dangerosité de la routine et fait part de certains incidents de ses voyages.

Piètre poète, MAUPASSANT réussit pourtant dans ce récit à poétiser les paysages en de fines allégories, il nous embarque à bord de son yacht pour mieux nous faire sentir les embruns. Ce livre est tout d'abord sorti en 1888, MAUPASSANT traversait déjà des crises de semi démence ajoutées à des accès de mélancolie profonde, nous retrouvons cet état de fait dans certaines des chroniques ici présentes. Il a rédigé d'autres récits de voyages, comme « Au soleil » ou « La vie errante », et il n'est pas du tout impossible que je revienne vous en causer d'un pied alerte et marin dans les prochains mois.

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Sur l'eau n'est pas le livre le plus connu De Maupassant, mais il bénéficie d'un certain succès d'estime. Et pour être du Maupassant, c'est du Maupassant ! Un immense soin apporté aux mots et de magnifiques descriptions. C'est ce que j'ai préféré dans ce livre, en partie parce que c'était ce que j'étais venue y chercher.
Mais entre ces descriptions, il y a toute la misanthropie dont Maupassant peut faire preuve quand il trempe sa plume dans le vitriol. Il n'est pas tendre avec le genre humain, il est prompt à exposer la bêtise humaine, encore plus quand l'homme est en troupeau. Mais ce sont aussi toutes les contradictions de l'écrivain qui ressortent, lorsque tantôt il se place au-dessus de la mêlée tantôt il admet qu'il n'est pas mieux que les autres. Et cela fait passer la pilule.
Un condensé De Maupassant, donc, avec le récit de ces quelques jours de navigation à bord du Bel Ami (pas difficile de deviner d'où viennent les fonds qui lui ont permis cet achat…) : un regard acéré sur le genre humain, une santé déjà chancelante, et surtout un superbe style et des phrases qu'on ne se lasse pas de relire pour en apprécier le polissage parfait et l'éclat sans pareil.
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Publié en 1888, Sur l'eau ( à ne pas confondre avec le titre d'une nouvelle de l'auteur) est un carnet de voyage écrit au gré d'une promenade d'une quinzaine de jours le long de la mer méditerranée. Entre les mains d'un écrivain lambda, on pourrait craindre les observations ennuyeuses et pittoresques notées besogneusement, mais avec Maupassant, le voyage sera palpitant, drôle, poétique et érudit.

Tout d'abord, nous sommes saisis par la beauté des descriptions, que ce soit une baie ou un rocher épineux planté dans l'eau. Même dans la banalité d'un journal de bord, le talent De Maupassant explose, sa vision du monde est poétique et nous embarque dans un tourbillon de sensations. Lire Sur l'eau, ce serait comme lire de la peinture impressionniste, c'est une accumulation de petites touches sensibles qui donne à voir un grand ensemble, qui transcende le réel.

Mais Sur l'eau ne se limite à pas cela, loin de là ! Maupassant profite de cette déambulation maritime pour reprendre des idées, des réflexions sur la société, la guerre ou la littérature. C'est également pour lui l'occasion de nous raconter des histoires plutôt lugubres qui vont nous hanter un bon moment. Et ainsi vogue le texte, de récits saisissants dont on ne sait si on doit les croire ou pas, tel des micro-nouvelles qui nous attendent derrière une vague, en passant par des descriptions désespérées et caustiques de la race humaine, tout en réfléchissant à ce qui définirait l'esprit français.

Sur l'eau est un petit bijou de la littérature française, qui nous fait voyager dans de magnifiques paysages, mais également dans l'esprit d'un artiste exceptionnel. Tour à tour mordante, exaltée ou sinistre, la plume De Maupassant fait des merveilles et on ne regrette pas un seul instant d'être monté à bord pour vivre cette aventure maritime et littéraire.
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Ce récit de voyage, publié en 1888, cinq ans avant le décès à 43 ans de Guy de Maupassant est constitué de diverses chroniques publiées séparément et intégrées au récit de plusieurs voyages que l'auteur a fait sur son voilier le Bel Ami en méditerranée entre Cannes, Saint Raphaël et Saint Tropez. C'est plus qu'un récit de voyage, bien sûr Maupassant décrit la mer, le vent, la météo, le travail des deux matelots Bernard et Raymond qui ne sont jamais d'accord sur les prévisions météo et la direction des vents, il décrit la beauté de la côte, le golfe de Grimaud, Saint Tropez, Cannes, Nice, mais cela va bien au-delà. Lorsqu'il passe à côté du rocher de Saint Féréol il raconte l'histoire du violoniste Paganini qui fut inhumé là pendant 5 ans car il était mort du choléra. Lorsqu'il entend sur la côte la fusillade d'entraînement du régiment d'Antibes, il écrit 4 pages sur les hommes de guerre et sur sa détestation de la guerre. Lorsqu'il arrive à Cannes qui était la ville de la noblesse, il se lance dans une description pleine d'humour sur le comportement de cette société qui se bat pour avoir à sa table des princes et des personnes de haut rang, ainsi que des gens de l'art, peintres et surtout écrivains, il détaille les prouesses des maîtresses de maison pour obtenir la présence d'un écrivain ou d'un poète. Plus loin il consacre des lignes à parler de son travail, comment il capte dans la société de quoi faire vivre ses personnages. Plus loin encore, il décrit à la perfection le comportement des hommes dans une foule, les réactions de la foule, et les paroles qu'il faut tenir pour ce faire accepter par elle. Ensuite, il parle des femmes, évoque les prémices de leur émancipation, décrit ce qu'est à ses yeux la galanterie, il dresse un portrait élogieux de la gente féminine ; Il prend également la défense des employés dont il ne faut pas d'après lui, négliger l'importance pour la société autant que la rudesse de la tâche (avec un peu d'humour). Il accorde quelques pages pour rappeler les bons mots de l'histoire de France, et les paroles devenues célèbres des Rois. A l'occasion d'une visite à la Chartreuse de Verne (une ruine à son époque) il nous conte une merveilleuse histoire d'amour. L'écriture était géniale, on sent le 19ème siècle vivre dans ces pages. J'ai eu beaucoup de plaisir à cette lecture.
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Guy de Maupassant je crois qu il restera mon préféré, j aime sa plume ses histoires des vrais contes au plus incroyable récit il sait souvent me captivée et quelque fois je devine l égnime mais souvent je reste bouche bée apres ces récits., l'épave sa facon de tomber en amour , Mlle Perle son apparition dans cette famille et le retour,,, dans ce roman j avais l impression d etre sur la cote avec lui,,,, wow quel écrivain....j aime bien..
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Ici, il s'agit de la courte nouvelle; passer un moment sur une rivière dans un canot peut-être agréable mais si l'ancre se coince, c'est angoissant: le froid, la nuit, le brouillard: le rhum et la pipe aident un peu à patienter mais cela ira mieux quand deux canotiers viendront aider; le problème vient de ce qui coince l'ancre...
Maupassant nous tient en haleine et nous fascine par son écriture
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J'ai toujours aimé Maupassant, son art de la description, son style propre et net, dépourvu de toute surcharge, des qualités que l'on retrouve dans ce petit recueil, rassemblant diverses nouvelles aquatiques. Evocation (nostalgique pour nous) des bords de Seine et des "canotiers", chère aux peintres auteurs de son époque.
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