cette fameuse situation de crise qui nécessite de lire de la littérature réconfortante. Ceci-dit, c'est plutôt une bonne nouvelle pour mes livres qui auraient pu prendre la poussière durant des mois – peut-être même des années – dans ma PAL.
Bref, tout ça pour dire que je n'ai pas hésité longtemps avant de piocher
Tous les bonheurs du monde de
Céline Miannay dans ma Pile à Lire. Et si vous avez la chanson de Sinsemilia dans la tête (OK, ce n'est pas tout à fait le même titre, mais c'est une sacrée incitation), bienvenue au club.
Ce qui m'a plu tout de suite, en découvrant le résumé, c'est que ce roman allait me faire voyager jusqu'à Montréal – une ville que j'ai eu la chance de visiter et que j'adore. Ce qui commençait plutôt bien.
Quand le poste de Juliette est supprimé, son employeur lui propose de partir un an à Montréal. La jeune femme que rien ne retient vraiment en France accepte l'aventure, soutenue par son père qui lui conseille de sauter sur cette occasion. Là-bas, elle va découvrir de nouveaux collègues, de nouvelles habitudes et les joies du bénévolat, en rejoignant une association qui vient en aide aux sans-abris.
Ce roman m'a procuré pas mal d'émotions. J'ai trouvé Juliette vraiment sympa, j'ai adoré retourner au Québec – même si ce n'était qu'à travers un roman -, j'ai beaucoup aimé la relation entre Juliette et son père, j'ai détesté sa mère et sa soeur. Et surtout, j'ai apprécié les personnages secondaires et le sujet des sans-abris. Et puis, il y a un peu de romance. Une romance un peu dingue, mais après tout… On nous passe bien des téléfilms de Noël en avril, alors pourquoi pas un peu de la magie de Noël dans ce roman ?
En tout cas, j'ai passé un bon moment avec
Tous les bonheurs du monde ; un moment plein de réconfort. Parfait en ce moment. Non, en fait, parfait tout le temps.
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