Une putain d'histoire

Un putain de livre complètement raté, pour employer son vocabulaire que je n'apprécie guère
Près de 600 pages pour un roman interminable.
Je suppose que son éditeur le paie à la page. Tout cela est très long ,très lent ,truffé de descriptions sans intérêt qui font perdre le fil.
Manque de rythme, intrigue bien faiblarde, personnages mal travaillés
Ne perdez pas votre temps. Il y a tant de bons livres dans cette catégorie.J'ai lu ,dans la foulée,Un employé modèle de Paul Cleave.Il n'y a pas photo .10 pages suffisent pour rentrer dans le roman quand il en faut 200 à Bernard Minier.
A oublier

Une adolescente est retrouvée morte sur une ile où tout le monde s'épie...

Argg... Tout semble bâclé : l'intrigue, le style, les personnages, et pourtant... c'est long, long comme un jour sans pain...

Après glacé et le Cercle, j'ai cru que je m'étais trompée d'auteur ...

Je n'arrive pas à entrer dans les intrigues de Bernard Minier. Je n'avais pas réussi à lire glacé et je n'ai pas plus réussi à avancer dans une putain d'histoire. Difficile pour moi de comprendre ce qui ne marche pas : ses personnages auxquels je ne crois pas, les invraisemblances et les situations caricaturales, les intrigues invraisemblables...rien ne me retient. Je pensais que cette île au large de Seattle me plairait plus que les environs de Toulouse et bien non ! J'ai lu la fin (quand même) ...tellement incroyable que je ne regrette pas d'avoir laissé tomber. Désolée, je n'y arrive pas.

J'ai seulement parcouru l'ensemble du roman mais assez pour comprendre l'histoire et la trouver encore une fois glauque et sans originalité. L'auteur copie Chattam, Giebel et rien n'est personnel… Les personnages sont caricaturaux ; l'intrigue est décousue, violente, malsaine… Il avait pourtant trouvé son style avec son personnage récurrent Servaz et « le cercle » reste je pense son roman le plus réussi. Il a voulu jouer au romancier français qui écrit un roman américain mais il se contente de prendre des morceaux de ci de la chez ses petits camarades et cela donne un livre trop long, pas très bien écrit et dont l'intrigue n'a aucun intérêt.

impression très mitigée en refermant ce livre
j'ai adoré les 3 premiers bouquins de Minier celui là beaucoup moins
l'histoire ne m'a pas accroché .....malgré le fort rebondissement vers la fin
je reste un peu blasée....indifférente.....
je voulais tellement la suite des aventures de Servaz et Hirtman que j'ai lu ce livre un peu comme une corvée
alors que l'histoire tient debout....sacrément
dommage

" Une putain d'histoire " est pour ma part une putain de déception ! Après avoir lu glacé il y a quelques années, j'ai dévoré il y a quelques semaines le Cercle et N'éteins pas la lumière. J'avais d'ailleurs confirmé Bernard Nimier dans le top 5 des écrivains français de triller.... Dans la foulée, j'ai voulu prolonger ce plaisir avec cet opus. En vain !

Je n'ai pas reconnu la patte de Bernard Minier dans ce roman. La construction et la narration est assez confuse dans le tout début du livre sans doute plus appropriée pour les plan d'un film que pour l'écriture... la narration faite par le protagoniste, un adolescent de 16 ans, est très maladroite (grand écart de langage entre les dialogues et les pensées)... des réflexions à l'emporte-pièce, redondantes à l'excès qui agacent fortement !

Son message concernant le respect de la vie privée, l'abus de surveillance et de contrôle via les portables et internet est asséné très régulièrement au fil des pages, .... trop présent dans la lecture, il est comme ses panneaux publicitaires que l'on rencontre au bord des routes défigurant le paysage.

Beaucoup d'idées dans ce roman et beaucoup de surprises mais la recette ne prend pas du moins pour en faire un thriller abouti. Je n'ai pas accroché à son histoire d'enfant psychopathe qui à l'âge du primaire cumule toutes les perversités d'un adolescent ou d'un jeune adulte sans être inquiété. Les pièces s'emboîtent mal. Un excellente fiction doit être crédible et non pas alambiquée et tordue sous prétexte d'être originale.

S'il voulait rendre hommage au thriller américain, c'est raté...
S'il voulait parler de l'adolescence, c'est encore à côté....

Néanmoins, Bernard Minier a réussi à me garder jusqu'au bout de la lecture de ce roman.

Ah, quelle déception que ce Minier après les deux autres que j'avais lus récemment.
Sans doute impressionné par l'incroyable succès de la vérité sur l'affaire Harry Québert (pourtant un très mauvais roman), voilà Minier qui nous fait son roman américain.
Le titre déjà, pensé d'abord en américain (a fucking story) avant d'être traduit en français, annonce la couleur.
On y retrouve tous les défauts de la série B américaine, en particulier cette propension des personnages à prononcer deux injures ou insultes par phrase. Vraiment pénible à la longue. Les américains parlent-t-ils ainsi ? J'ai vécu deux ans aux USA et je ne l'ai pas remarqué (sauf dans les polars télé et les thrillers cinéma).
Minier abuse aussi à la fois des comparaisons douteuses à longueur de page ou des images les plus stupides pour décrire la peur.
Peu à peu, à la lecture, on se rend compte qu'on est en train de lire une version de la collection "chair de poule" pour adulte.
Bernard Minier, qui fait par ailleurs de bon thriller, n' a pas besoin de tomber dans la médiocrité pour vendre et se guérira, je l'espère, de ce syndrome Dicker qu'il a malencontreusement contracté.

Décevant on ne reconnaît pas l auteur certes il a placé cette fois ci l intrigue aux États Unis c est déroutant pour une fan comme moi mais c est à mon avis le moins bien des MINIER
Je vous conseille plus Glace qui pour le coup était vraiment une putain d histoire

quelle déception moi qui adore cet auteur après avoir lu ce livre je me demande encore qui a bien pû écrire ce livre la quatrième de couverture met le mot peur en gros en rouge mais ne vous inquiétez pas vous n'aurez pas peur à part la découverte du coprs je me suis crue revenue au temps du club des cinq navrant !

J'ai découvert Bernard Minier avec le livre: "Soeurs" qui m'a beaucoup plu. J'ai ensuite enchainé avec les thrillers : "Nuit", "La vallée", "La chasse" dont les intrigues m'ont happé du début à la fin. Donc, pour lire celui-ci, je ne mes suis pas posé de questions. Mais je n'ai pas du tout aimé, je n'ai accroché à aucun moment donc je l'ai très largement survolé. Dommage.