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sur 241 notes
Dans ce récit autobiographique, Yann Moix raconte son enfance, il scinde son texte en deux grandes parties, Dedans et Dehors, dans lesquelles il retrace son histoire dans de courts chapitres scandés par les changements de classe, de la maternelle aux classes préparatoires scientifiques. Chaque chapitre relate un moment d'une de ces années scolaires. Dedans c'est sa vie au sein de la cellule familiale à Orléans ; Dehors, c'est sa vie en dehors de sa famille, l'école, la rue, ses amis et ses premières amours. Les deux parties suivent exactement la même chronologie.

La première partie est glaçante car Yann Moix y raconte son enfance martyrisée soumis à la violence physique et psychologique de ses deux parents qui ne craignent pas de lui dire qu'ils préféreraient le voir mort. Coups, insultes, humiliations se succèdent de la part de parents qui semblent être de sombres brutes perverses et sadiques. Yann Moix décrit des scènes d'une insoutenable cruauté d'une façon assez factuelle n'évoquant qu'occasionnellement ses ressentis, ses réactions face aux sévices que la folie de ses parents lui fait subir. Très solitaire, il trouve, dès l'âge de neuf ans, refuge auprès d'André Gide " il revivait en moi tandis que je survivais en lui" , premier pas vers une passion pour la littérature qui le sauvera même si ses parents l'ont contraint à s'engager dans des études scientifiques alors qu'il détestait les mathématiques.

Dans la deuxième partie ses obsessions sexuelles prennent beaucoup de place. Yann Moix s'étend sur ses fantasmes sur une fille différente à chaque chapitre. Ce qui est saisissant c'est la séparation entre ses deux mondes, Dedans et Dehors, car aucune allusion aux traitements qu'il subit chez lui n'apparaît dans cette deuxième partie. de la même façon, dans la première partie l'indifférence du monde extérieur, l'absence de soutien des enseignants, des voisins n'ont pas manqué de m'interroger. Deux mondes irrémédiablement étanches au sein desquels sa passion pour la littérature se renforce et se prolonge dans son désir d'écrire, d'abord en imitant les mots de ses maîtres puis en trouvant sa propre langue jusqu'à la publication de son premier roman.

Autant la première partie est un témoignage fort, glaçant qui peut permettre de comprendre le personnage public qu'est devenu Yann Moix, autant les fantasmes qu'il étale dans la deuxième partie m'ont profondément ennuyée même si j'ai cru comprendre qu'il voulait ainsi montrer l'origine de ses difficultés avec les femmes mais sa pensée n'est pas toujours facile à suivre... le découpage Dedans/Dehors, technique narrative que j'ai au départ trouvé très intéressante, m'a finalement semblé assez artificielle, il m'a manqué des liens entre les deux parties très distinctes, des éléments pour comprendre comment il a pu survivre.
Dès les premiers chapitres on se rend compte qu'on est ici dans de la grande littérature, la plume de Yann Moix que je découvre avec ce roman est très belle, d'une puissance rare. Cependant son utilisation abusive de mots savants et d'effets de conjugaison (imparfait du subjonctif, deuxième forme du conditionnel passé..."J'eusse dû faire l'inverse") finit par rendre son style trop précieux, voire pédant, plus de sobriété dans l'écriture m'aurait permis de mieux l'apprécier. J'ai apprécié que le ton ne soit jamais larmoyant, que ce témoignage soit totalement dénué de voyeurisme. J'ai aimé la pudeur de Yann Moix et le regard assez distancié qu'il porte sur lui-même dans la deuxième partie où il ne manque pas de se moquer de lui-même.
Ce texte est aussi un très bel éloge à la littérature, un cri d'amour pour les écrivains qui l'ont sauvé, Gide, Péguy, Sartre. Un texte autobiographique qui semble sincère et qui peut être lu par tous ceux qui, comme moi, n'éprouvent aucune sympathie pour ce personnage public qui se révèle être en fait un grand traumatisé. Un texte que j'espère libérateur pour Yann Moix...

J'ai lu ce roman début août avant la polémique qui sévit autour de texte avec la réaction dans la presse du père de Yann Moix et le tapage médiatique qui en découle. Je suis ravie de l'avoir lu sans rien connaitre de ce règlement de comptes et d'avoir pu le lire comme une oeuvre littéraire hors de tout autre contexte qui ne m'intéresse pas.
Lien : http://leslivresdejoelle.blo..
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Dans ce roman (autobiographique ?) Yann Moix raconte en deux parties l'histoire d'un jeune homme de son année de maternelle à celle de mathématiques spéciales.
La première partie s'intitule "Dedans", ainsi pour chaque année scolaire il raconte sa vie à la maison, dans sa famille ; pour la seconde intitulée "Dehors" il s'agit de sa vie à l'école, à l'extérieur de sa famille, ses rencontres amoureuses et amicales.

C'est un livre un peu difficile à chroniquer car j'ai ressenti beaucoup d'ambivalence entre une compassion la plus absolue face à l'horreur infinie de la maltraitance et un ennui profond face à la vie d'un jeune garçon/homme.

Cette première partie sur la vie à la maison décrit une maltraitance psychologique et physique parfois à la limite du soutenable, ces parents sont d'une cruauté sans limite, mais le jeune garçon se plonge dans la littérature pour se "sauver", et malgré les différentes descentes de ses parents dans sa chambre pour bruler, jeter, déchirer les oeuvres qu'il lit, il s'accroche à ce besoin des mots et des phrases.

Dans la seconde partie à l'extérieur, le jeune garçon n'est pas tellement épargné non plus, par ses camarades ou par les filles. Il vit beaucoup d'humiliations et notamment amoureuses, mais pas que.

Je sais que l'homme est sujet à beaucoup de polémiques et je ne veux absolument pas m'attarder la dessus, c'est l'écrivain qui m'intéresse et là je crois que l'on peut dire qu'il y a un vrai génie, YM sait parfaitement manier le verbe et surtout la phrase, littérairement parlant c'est un plaisir de le lire.

Un bilan mitigé donc, un livre qui me laisse décontenancée face à un personnage encore plus f(l)ou qu'avant cette lecture.

#Orléans #NetGalleyFrance
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Ayant vu le témoignage (bouleversant) du frère de YM, je savais que l'oeuvre n'était probablement que très peu autobiographique et d'ailleurs, elle n'a pas été présentée comme telle par l'auteur, au départ. Avant de changer d'épaule probablement pour le buzz.
Mais en réalité, je m'en fichais. Que le roman soit autobiographique ou pas, le thème de la maltraitance est un thème qui justifia à lui seul que j'achète ce livre. Je pense qu'un auteur, surtout s'il est doué, peut parfaitement aborder des thèmes qui ne l'ont pas concernée et j'ai donc lu ce livre comme s'il était une fiction.
Les premières pages, une claque : le style est brillant. J'ai beaucoup apprécié la langue, le regard incisif sur les choses et la vie.
Les actes de maltraitances, d'une violence rare, m'ont terrifiée et révoltée, comme il se doit. Je ne doute pas que de telles horreurs soient malheureusement crédibles. Nombre d'enfants ont malheureusement subir des châtiments comparables.
Là où je n'ai pas été convaincu, c'est par le discours de l'enfant, parfois en contradiction absolu avec de la psychologie de base. J'ai trouvé que l'auteur avait du mal à se mettre dans une façon de penser propre à l'enfance, prêtant au personnage des intentions et des projections qui sont cognitivement impossible à ces âges-là.
Deux exemples : un enfant ne détestera pas ses parents, du moins il ne renoncera pas à l'envie d'être aimé par eux. Un enfant maltraité se demande toujours ce qu'il a fait pour mériter cette haine et par conséquent il se hait, manque de confiance en lui. Il est totalement impossible qu'un enfant qui ne reçoit aucun amour, qui est battu et rabaissé à longueur de journée, se visualise comme un Dieu génial et incompris, plein d'allégresse et même d'outrecuidance.
C'est d'ailleurs cette outrecuidance qui, lors de certains passages notamment ceux sur la littérature, a fini par me lasser. J'ai souvent eu l'impression de lire un essai sur la littérature, ce qui n'était pas du tout ce que j'étais venu chercher en achetant ce livre.
Malgré ces défauts, le style, l'émotions dégagée par certains passages, m'ont poussés à continuer ma lecture longtemps, même si je trouvais qu'on tournait en rond (autour du nombril du héros pour être précis).
La deuxième partie qui revient à nouveau sur l'histoire, mais sans la maltraitance, je n'ai pas compris et je me suis ennuyée. L'impression d'ailleurs de lire deux personnages différents, ce qui était peut-être volontaire : vouloir montrer les deux personnalités d'un être, celle blessée à l'intérieur et celle plus lisse à l'extérieur. J'ai surtout trouvé que cette deuxième partie, trop détachée, perdait de vue les promesses du roman. En tout cas ce que moi j'en attendais.
Je crois que je ferais bien d'aller relire "Poil de carotte".
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Un livre qui pourrait faire penser à Dickens... Une lecture un peu laborieuse de tant de souvenirs pénibles vécus par l'auteur. Malgré la langue érudite et précise la lecture ne m'a pas permis de m'y plonger totalement car il m'a semblé qu'elle alourdi le propos. La seconde partie qui touche à ses années d'étude m'ont plus intéressée mais n'en reste pas moins un peu lourde de citations et de tentatives amoureuses déçues accumulées.
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J'ai lu l'ouvrage avant même l'éclatement de la polémique, cette déchirure familiale fort médiatisée. J'ai été séduit par la première partie, sur les souffrances -présumées- que Yann Moix prétend avoir subies pendant son enfance. N'avoir jamais cité à nul endroit l'existence de son frère cadet, annihilée, me dérange beaucoup. La seconde partie est quant à elle inutile. On n'y apprend rien, elle ressemble à du remplissage. Aussi, Yann Moix se complait dans une écriture très poussive, pour montrer à son lectorat qu'il s'est manié la langue française comme personne... C'est lourd.
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Le monde littéraire est agité d'un vent de polémique depuis la sortie du violent Orléans, dernier né de Yann Moix. Auteur, personnage provocateur, encensé par les uns, critiqué par les autres, il ne laisse personne indifférent.

Depuis quelques années, dans nombres d'interview et quelques lignes glissées ça et là dans ses livres, Yann Moix évoque un passé trouble, une enfance violente et privée d'amour. Aujourd'hui, il raconte et laisse tomber les masques. Pure fiction, autobiographie ou un mélange des deux ? Orléans est avant tout un roman. le roman d'une enfance rude.

Le livre est divisé en deux parties, »Dedans » relate la cellule familiale, les nombreux châtiments et corrections disproportionnés. Rythmé par les années scolaires, le lecteur suit le parcours du narrateur, le voit grandir, bercé par les grands noms de la littérature dans laquelle il trouvera un échappatoire. »Dehors » est un brin plus lumineux, puisque ce chapitre évoque les amis et le temps des amours. Mais les éclaircies sont rares et de courtes durées. Il est si difficile de se construire ainsi…

Orléans est le regard d'un adulte sur l'enfant qu'il était hier… Yann Moix est un auteur qui s'inspire énormément de ce qu'il vit et de ce qu'il ressent comme matière pour ses livres. Ainsi Rompre était son texte de rupture amoureuse, ainsi Orléans est son roman de l'enfance. Il renoue avec les démons de son passé, avec une écriture peut-être plus simple que ce à quoi il nous a jusque là habitué. Il ne triture pas les mots et ses phrases jusqu'à les épuiser de leurs sens mais il est bien plutôt, ici, dans une recherche de naturel sans les artifices de l'écriture pour exposer sa »vérité dans sa simplicité nue ».

Je remercie vivement la maison d'édition pour l'envoi de ce livre !
Lien : https://topobiblioteca.wordp..
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Question sûrement naïve de celui qui ignore tout des arcanes du monde littéraire : pourquoi Yann Moix qualifie-t-il de roman ce qu'il revendique en parallèle comme un récit autobiographique ?
En 2019, la sortie d'"Orléans" avait fait grand bruit et l'on comprend pourquoi le père de l'auteur s'était indigné de son contenu, tout comme son jeune frère qui lui a intenté un procès en diffamation, en vain puisqu'il a été débouté en décembre 2023.
Si les faits relatés sont exacts, il n'est nul besoin de chercher très loin les raisons pour lesquelles Yann Moix présente ce visage tourmenté : qui pourrait prétendre à la sérénité, à l'équilibre, après avoir subi de telles humiliations physiques et morales ?
Scindé en deux parties, Dedans et Dehors, elles-mêmes divisées en chapitres portant comme titres les classes où se trouve l'auteur de la maternelle aux études supérieures, le roman traite d'abord des innombrables et surprenants sévices subis dans la sphère familiale avant de prendre pour cadre le milieu scolaire et les relations qui s'y sont nouées.
Yann Moix évoque aussi sa passion pour les lettres, que ce soit dans ses lectures (Gide, Péguy) ou dans ses propres productions qui témoignent d'une grande précocité. Les qualités d'écriture dont il fait preuve dans "Orléans", même si de nombreux passsages ne sont pas dénués d'une certaine affectation, ne laissent guère planer de doute sur un talent qui n'a pas attendu le nombre des années pour s'exprimer, ce malgré l'opposition de ses parents en ce domaine aussi.
Même si le fond peut être sujet à caution, Yann Moix aurait confié à des proches qu'il avait exagéré certaines situations, la forme atteste que nous avons affaire à un écrivain qui sort du lot.
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J'ai découvert l'auteur après avoir entendu parler de lui dans la presse. L'image donnée du personnage n'est guère attachante ... misogyne, suffisant, voire agressif dans ses interventions chez Ruquier ... Il avait tout pour m'interpeller. Je l'ai donc emprunté à la bibliothèque sans attente particulière.

Et j'ai été happée par ce texte, faisant abstraction de ce que je connaissais du personnage, j'ai lu avec effarement l'enfance de l'auteur, la violence à laquelle il a été confronté dès son plus jeune âge.
J'ai aussi été terriblement choquée du silence de son entourage, surtout à l'époque et à l'endroit où cela se passe. On n'est pas en rase campagne au 19ème siècle.

J'ai beaucoup apprécié ma lecture malgré la dureté des faits. Je n'ai pas cherché à justifier l'attitude de l'adulte en fonction de son vécu d'enfant, je suis une simple lectrice lambda, ce petit bonhomme m'a fait bien de la peine.
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A propos de ce roman, Yann Moix écrit qu'Orléans est un roman d'humiliation comme il existe des romans d'initiation. Voilà, le décor est posé. Loin de l'arrogance qu'on lui prête, Yann Moix évoque son enfance passée dans la capitale de la région Centre-Val de Loire vu de l'intérieur, c'est-à-dire entre les murs de la maison familiale, puis vu de l'extérieur, c'est-à-dire à l'école avec les amis et les premières amours.

Si Orléans débute par de belles phrases empreintes de poésie, "Le monde rouillait. Derrière la fenêtre, c'était l'automne. L'air jaunissait. Quelque chose d'inévitable se déroulait dehors : la mort des choses." s'ensuivent des scènes de violence et d'humiliations pas ordinaires. En les découvrant les viscères se nouent. Les horreurs s'enchainent rendant le tout insoutenable. On aimerait tellement que tout cela soit faux. Et si tel n'est pas le cas, on s'interroge. Que des parents prennent un malin plaisir à humilier et à violenter leur enfant, malheureusement on sait que cela existe. Mais quand un enfant est déposé à l'école en pyjama avec son petit déjeuner qu'il doit prendre au pupitre devant toute la classe hilare, on s'interpelle. Comment est-ce que l'institution scolaire a pu se rendre complice de tels actes dégradants ? Même si en 1970 on était moins sensibilisé à ces questions, comment se fait-il qu'un membre de l'Education Nationale ne se soit pas aperçu de la maltraitance Et puis au milieu de toutes ces violences, on se réjouit que très tôt le narrateur ait rencontré la littérature. Ce fut pour lui, et même si ses tortionnaires de parents ne l'ont pas entendu ainsi, une salvatrice découverte. Je crois ne pas me tromper en affirmant que la littérature a maintenu l'enfant Yann Moix en vie. Elle l'a aidé à encaisser les coups, les insultes et les humiliations. Elle lui a apporté un halo de lumière dans son monde de noirceur.
La seconde partie d'Orléans, "Dehors" est dédiée aux relations que le narrateur a pu entretenir avec les autres. Ses camarades de classe d'abord, puis avec la gente féminine. Empreinte de passages moins violents, voire tendres, cette dernière permet peut-être de mieux cerner la personnalité de l'auteur, si tant est qu'il en ait voulu ainsi, mais elle est surtout plus poussive à lire. Yann Moix évoque ses souvenirs de classe comme on regarde un album photo. Ce genre d'exercice est souvent délicat parce qu'en dehors de l'intéressé, il passionne rarement ceux qui ne figurent pas sur la photo.

Alors faut-il lire Orléans ?
Ce roman est le regard de l'adulte Yann Moix devenu écrivain sur son enfance servie par une plume toujours aussi acérée. On referme ce texte habité en se réjouissant que l'enfant martyr qu'il a été, ait eu la chance un jour de croiser la plume de Gide, Péguy, Sartre, Bataille et les autres. Non seulement la Littérature a permis à l'auteur de survivre, mais surtout elle illumine et enchante son écriture. Rien que pour cela Orléans mérite d'être lu.
Lien : https://the-fab-blog.blogspo..
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Orléans a fait polémique. On ne s'en étonnera pas. Tout ce que publie ou dit Yann Moix est provocation.
(...) Connaissant bien cette ville, où j'ai moi-même passé une partie de mon adolescence et mes premières années de jeune adulte, j'ai eu envie de me faire ma propre opinion. J'espérais probablement aussi retrouver quels souvenirs à la faveur de la description d'un quartier.(...).

Pour tout dire je ne courais pas un grand risque puisque je m'apprêtais à l'emprunter en bibliothèque. J'ai malgré tout par acquis de conscience lu un paragraphe au hasard, puis un autre ailleurs, et encore un troisième quelques pages plus loin. Ce livre m'est, comme on dit, tombé des mains.

Le style est tellement travaillé qu'il ne laisse aucune place à l'émotion alors que c'est sans nul doute ce que l'auteur a cherché à diffuser, et qui pour moi est rédhibitoire à susciter la moindre empathie. Je vous donne un exemple : La gifle, comme son avatar lexical, était maritime et aérienne ; il y entrait un je en sais quoi de voltige salée.

Pour lire la totalité de la chronique : https://abrideabattue.blogspot.com/2020/12/orleans-de-yann-moix.html
Lien : https://abrideabattue.blogsp..
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