Ce flot d'interrogation lui donna le vertige.
Alice au pays des emmerdes...
"Il y a des moments dans l'existence où une porte s'ouvre et où votre vie dérape dans la lumière".
Mort, on dit beaucoup moins de conneries, vous verrez.
La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu'il n'existe pas - page 148
Dans sa tête, une check-list commençait à se mettre en place :
1) récupérer les enregistrements du parking de Franklin-Roosevelt,
2) recenser tous les avions privés qui avaient décollé de paris après minuit en direction des États-Unis,
3) retrouver où son Audi avait été abandonnée,
4) vérifier l’existence de ce Gabriel Keyne ainsi que la solidité de ses déclarations…
La perspective de ce travail la rasséréna quelque peu. Depuis longtemps, l’adrénaline que lui procurait son métier était son principal carburant. Une véritable drogue qui, dans le passé, avait ravagé sa vie, mais qui lui donnait aujourd’hui la seule raison valable de se lever tous les matins.
Elle respira à plein poumons l’air frais de Central Park.
Je connais trop les hommes pour avoir jamais voulu en avoir un comme gynécologue. Il m'a semblé évident qu'une femme était plus à même de comprendre une autre femme. Question de psychologie, de sensibilité, d'intimité.
Il y a des moments dans l'existence où une porte s'ouvre et où votre vie dérape dans la lumière. De rares instants où quelque chose se déverrouille en vous. Vous flottez en apesanteur, vous filez sur une autoroute sans radar. Les choix deviennent limpides, les réponses remplacent les questions, la peur cède la place à l'amour.
Il faut avoir connu ces moments.
Ils durent rarement.
Il y a des moments dans l'existence où une porte s'ouvre et où votre vie dérape dans la lumière. De rares instants où quelque chose se déverrouille en vous. Vous flottez en apesanteur, vous filez sur une autoroute sans radar. Les choix deviennent limpides, les réponses remplacent les questions, la peur cède la place à l'amour. Il faut avoir connu ces moments. Ils durent rarement.
On peut toujours plus que ce que l'on croit pouvoir. Joseph Kessel
début intéressant faisant croire à un roman policier, une suite tirée par les cheveux et un happy end auquel on a du mal à adhérer...
bref plutôt décevant mais qu'on lit quand même très vite