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3,84

sur 3392 notes
Ça faisait un moment que je n'avais plus lu un livre de Guillaume Musso.
Je l'avais gardé pour une occasion et c'est en cherchant quel livre j'allais lire pendant les vacances que je me suis dit qu'il était temps que je lise Un appartement à Paris.
Dans cette histoire on fait la rencontre de Gaspard et Madeline. Gaspard est auteur et c'est via son agent qu'il loue un appartement à Paris pour écrire sa pièce. L'appartement qu'il loue est l'ancien atelier du peintre Sean Lopez.
Madeline, elle, a travaillé comme policière en Angleterre à la brigade criminelle. Elle a également loué un appartement à Paris pour se reposer et panser ses blessures.
Vous l'aurez évidemment compris, à la suite d'un malentendu les deux vont se retrouver dans le même appartement et c'est là que l'histoire commence… mais je ne vous en dirai pas plus !

Un appartement à Paris est un livre qui se laisse facilement lire, dès les premières pages on rentre dans l'histoire et celle-ci ne vous lâche plus. L'auteur mélange la peinture avec du thriller et je dois dire que c'est une combinaison qui m'a beaucoup plu.
Les deux personnages principaux ne m'ont pas laissé indifférent. Leur rencontre improbable fait qu'on est intrigué et qu'on est tenu en haleine jusqu'à la fin.

Pour conclure, avec son histoire addictive, sa plume facile à lire et ses personnages attachants, ce livre a été une belle surprise et j'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette histoire !
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Voilà le dernier opus de Musso que j'ai enfin fini, c'est toujours la même mécanique et là, je me suis ennuyée, le livre m'est tombé des mains. Je me suis forcée à le finir car je voulais savoir comment cette histoire allait finir, j'ai poussé un gros ouf de soulagement et je n'ai pas aimé, vraiment pas car le livre est pesant, long et truffé de lieux communs et connus dans d'autres livres. Et la fin, on en reste baba tellement c'est farfelu et invraisemblable, même pour une fiction.
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Certains de mes amis me reprochent d'être snob et de fustiger les auteurs à la mode. Pour ma défense, je réponds que j'aime certains auteurs à la mode et populaires (Pierre Lemaître, Amelie Nothomb...) et que j'ai déjà essayé Katherine Pancoll, Gilles Legardinier, Marc Levy et Joël Diker et que c'est de la merde. Bon, d'habitude j'argumente mais c'est pour planter le décor. Il manquait à mon palmarès, le plus populaire de tous: Guillaume Musso. J'ai demandé à une amie de me prêter un "bon Guillaume Musso" et elle a choisi Un appartement à Paris. En plus c'est cool car ça m'aurait permis de valider l'item "titre contenant un nom de pays ou de ville" dans mon challenge. Et ben non. Dès le prologue qui ne dure que 6 pages, j'ai eu envie d'abandonner. Je me suis forcée; j'ai lu jusqu'à la page 51 (soit 10% - ce qui est le minimum que je m'inflige pour les bouses) et j'ai craqué. Pourquoi ?
1) Invraisemblances et cucuterie: on nous le dit dans la 4eme de couverture: un homme et une femme très différents (je parie qu'ils vont finir amoureux) louent, à cause d'une bourde de l'agence, le même appartement. Non seulement ils vont cohabiter mais enquêter ensemble. Ça alors ! Car en plus, la dame est policière et spécialisée dans les cold cases et, devinez quoi, l'appartement est un ancien atelier de peintre, peintre qui a perdu son petit garçon, un col case terrible , bref, vous les voyez les grosses ficelles ?
Ah oui aussi, qui peut croire qu'une policière, même newyorkaise, a les moyen de louer pendant 1 mois une demeure d'exception en plein Paris, une villa art déco avec atelier et jardin dans une impasse privée et ça, juste pour se ressourcer ?
2) un style épouvantable: le prologue est écrit à la 2eme personne du singulier pour faire genre "ton inconscient te parle" ou "je suis un narrateur omniscient qui surveille le personnage". Ça ne fonctionne pas du tout tant c'est artificiel.
3) relis-toi Guillaume, par pitié ! Guillaume Musso et tous ces auteurs de daubes adorent ancrer le récit dans le réel avec des indicateurs de lieu et de temps hyper précis, genre Roissy, 20 décembre, 12h41 (qu'est-ce que ça peut foutre qu'il soit 12h41 ou 13h03 ?) du coup, quand Gaspar est incommodé par la chaleur, on tique. le pire, c'est quand il ouvre la baie vitrée de la terrasse et que "les oiseaux chantent". Sérieusement, fais attention Guillaume; les lecteurs que tu prends pour des cons pourraient se vexer.
4) une histoire abracadantesque: non seulement nos 2 enquêteurs (dont l'un est amateur) vont travailler sur les toiles disparues d'un peintre fou (fou de douleur d'avoir perdu un petit garçon) mais le prologue laisse entendre que Mélissa (ou Wendy, ou Je ne sais plus) a quitté la police après une affaire similaire non résolue et qu'elle a également été traumatisée par la rencontre avec le petit garçon de son ex de qui elle aurait voulu un enfant... bref, de la semoule.
Quand je pense qu'on abat des arbres pour publier ça, c'est navrant.
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Objectivement, je me suis lancée dans la lecture de ce roman simplement parce que la couverture était jolie. Comme les Musso me déçoivent pas mal depuis un moment, on est loin du temps des très bon "Et après..." ou "Parce que je t'aime", même si je ne me souviens pas de leurs histoires respectives, en fait... En lisant ce roman j'ai tenté d'oublier que c'était Musso qui écrivait, et je me suis laissée prendre au jeu.

Les premières pages ressemblent à du Musso, 100%, livraison nouvelle. Les personnages de Madeline et de Gaspard sont présentés de façon assez impersonnelle, comme d'habitude, l'auteur décrit explicitement ce qui devrait être dit de manière implicite, ce qui rend le récit assez lourd.

Et puis, surprise, plus l'histoire avance, plus l'intrigue devient intéressante, parce qu'elle parle d'art, et que l'enquête est d'office plus passionnante, car assez documentée sur le monde de l'art. Certes, ça n'est pas non plus "Le Scandale Modigliani" de Ken Follett que je n'avais pas très apprécié d'ailleurs, ça n'est pas non plus du niveau d'un Dan Brown, même si Musso y fait lui-même référence ironiquement lorsqu'un des personnages crie à l'autre qu'on n'est pas dans le Da Vinci Code, non mais!

Evidemment, plus les évidences sont grosses, plus elles sont trompeuses, l'enquête est rondement menée. L'auteur nous balade dans les rues de Paris puis aux Etats-Unis, qu'il affectionne tant. Je regrette d'avoir développé si peu d'empathie envers les deux personnages principaux. Sean Lorenz l'artiste maudit est un personnage déjà beaucoup plus fort... l'histoire aurait gagné à être encore plus centrée sur lui. de ce fait, la fin m'était égale. Je n'ai rien ressenti pour Madeline et Gaspard lors du dénouement final même si j'ai suivi avec curiosité leurs investigations.

Oui, je peux le dire, encore une fois, la fin n'est pas à la hauteur de l'intégralité du roman. Dommage. Un thriller divertissant tout de même.
Lien : http://www.unefrancaisedansl..
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Je ne voulais pas mourir idiot, j'ai lu un Musso !

Guillaume Musso est l'auteur français contemporain le plus lu.

Parfois, il faut bousculer ses à-priori, comme, par exemple, de se méfier des écrivains qui font un carton dans le box office.
Avant de choisir ce roman, j'ai regardé la quatrième de couverture et, parmi les commentaires, il y avait celui de Pierre Lescure qui qualifiait ce roman de « thriller extraordinaire ». Alors, ni une, ni deux, comme j'aime bien Pierre Lescure, j'ai donc fait l'acquisition de ce thriller, histoire de me faire ma propre opinion.

A mon humble avis, Pierre Lescure a légèrement forcé le trait. Mais je ne lui en veux pas car, dans la vie, on a tous plutôt tendance à flatter son prochain : à quoi ça sert d'égratigner un auteur qui, de toute façon, n'a pas besoin de vous pour vendre ses romans comme des petits pains ?

Si Guillaume Musso plaît au plus grand nombre, c'est qu'il sait raconter les histoires. Là-dessus, il n'y a pas de doutes. J'ai l'impression qu'il fait partie de cette génération d'auteur qui a appris la technique pour écrire un bon roman : savoir maîtriser les ficelles de la narration, savoir soutenir l'attention du lecteur, relancer l'intérêt, ne pas perdre le lecteur dans des considérations trop alambiquées…

Tout commence à Paris, en 2017. Gaspard est un dramaturge franco-américain qui vit sur la côte ouest des États-Unis. Son éditeur français lui a trouvé un chouette appart dans le 15°, près de Montparnasse, où il pourra s'isoler et se mettre en mode « écriture ». Il se trouve que cet appart a été loué, par mégarde, à une autre personne pour les mêmes dates !
La tuile ! le voilà en face de Madeline, une jeune femme, ex-flic, ayant vécu pas mal de temps entre Londres et New-York. Ni l'un ni l'autre ne veulent quitter cet appart bien confortable.

Il se trouve que cet appart a une histoire. Un célèbre artiste de street art, mondialement connu, y a séjourné. Cet artiste est décédé en 2015 d'une crise cardiaque dans une rue de New-York et son histoire est singulière. Il a connu l'enfer : soumis à un chantage financier, son ex-femme a été séquestrée, défigurée et son jeune fils a été mutilé puis assassiné devant les yeux de sa mère !

Ouah, c'est chaud !

Gaspard et Madeline vont être emportés dans une enquête effrénée pour démêler le vrai du faux. Une enquête qui les mènera de Paris à Madrid puis à New-York. Un train d'enfer, des coups de bol qui s'enchaînent les uns après les autres pour découvrir une vérité qui les libérera définitivement. Tout ça en six jours, montre en main ! Chapeau l'artiste.

Pour moi, ce roman est à la frontière entre le roman et le scénario de film. Tout n'est que dialogues et indications cinématographiques par des descriptions nécessaires au bon déroulement. Tout va très vite : il faut condenser l'action au risque d'ennuyer le lecteur. Inutile de vous dire qu'en six jours, il va s'en passer des choses !

J'ai envie de dire que ce « page-turner » a les défauts de ses qualités. Cependant, à vouloir plaire au plus grand nombre, on risque d'être trop lisse et trop fade.
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C'est la première fois que je lis un roman de Musso : je n'en crois pas mes yeux quand je vois qu'il est traduit dans 40 langues et considéré comme un auteur de talent. Je n'ai qu'un mot : mauvais! Les deux étoiles sont pour le papier et l'encre, encore qu'on peut même s'en passer.
La médiocrité, c'est le mal du siècle, surtout en France. Je ne compte pas les navets que j'ai lus cette année, tous Prix de ceci ou cela, du fait d'un abonnement collectif sur liseuse, instrument si pratique quand on voyage.
Quelqu'un a dit : aux États Unis on vous demande de montrer ce que vous avez fait, en France, qui vous envoie...
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Bouh la vilaine ! La vilaine fille qui n'avait jamais lu de livre de Guillaume Musso !
Le mal est réparé. Bon, j'avoue, on tourne vite les pages de ce "thriller" pur connaître la suite, et la fin. Par contre, que le style est plat, voire maladroit, que les situations sont convenues, que cette romance est niaise, que les personnages sont stéréotypés !
Autant vous dire que ce roman convenait parfaitement pour ce que j'en ai fait (une lecture de plage), mais pas plus. Deux semaines plus tard, j'ai oublié le nom des personnages et la fin du roman. Un bon story-teller ce Musso, mais décidément pas ma came !
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Le début donne envie, tout est là: un bel écrivain antisocial, une ancienne flic en mal de maternité... les ingrédients sont présents pour démarrer une histoire qu'on a envie de dévorer. La description de l'appartement est superbe, le Paris contemporain très réaliste ... mais voilà: on y croit guère à cette histoire.
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Un navet de plus c'est creux complétement décousu beaucoup d'incohérences et de débilités
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« L'art est un mensonge qui dit la vérité… »
Paris, un atelier d'artiste caché au fond d'une allée verdoyante.
Madeline l'a loué pour s'y reposer et s'isoler.
À la suite d'une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.
L'atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l'assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd'hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d'unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.
Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais.
Guillaume Musso signe un thriller addictif et envoûtant porté par des personnages profondément humains. Une plongée vertigineuse dans le monde mystérieux de la création.

Pas franchement convaincue ni emballée par "La Fille de Brooklyn", c'est avec une joie non dissimulée que j'ai retrouvé le plaisir addictif que me procure généralement les romans de Guillaume Musso.
Une enquête passionnante malgré sa noirceur, tissée avec soin autour d'un personnage principal mort mais omniprésent. Des personnages (principaux et secondaires) écorchés vifs attachants.
Les descriptions sont d'un réalisme bluffant (odeurs, froid,...). Tout est réuni pour faire du lecteur un enquêteur supplémentaire.
Tantôt glauque, tantôt tendre, "Un appartement à Paris" s'est révélé être un très bon moment de lecture.
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