Le Jardin Arc-en-ciel

J'aime la plume élégante et poétique de l'auteur.
J'ai aimé la douceur nostalgique de ses deux premiers romans.
C'est donc avec une totale confiance mêlée d'impatience que j'ai entrepris la lecture de ce « Jardin arc en ciel ».
Tout commence par une rencontre improbable entre deux femmes, tellement différentes par l'âge et le milieu social. Entre elle, c'est une histoire d'amour immédiate, évidente, foudroyante qui démarre.
Elles fusionnent leurs noms de famille pour en former un nouveau et s'installent avec leurs enfants dans une vieille maison délabrée, à la lisière d'un petit village de montagne si reculé qu'elles le surnomment Machu Picchu.
Et la vie s'écoule douce et harmonieuse sous l'oeil bienveillant du voisinage.

C'est là que pour moi, tout s'est gâché.
Trop de gentillesse, trop de tolérance dans ces pages. Je m'y suis non seulement ennuyée mais j'ai été agacée par toute cette mièvrerie.
Cul-cul la praline est un terme qui revient dans certaines critiques Babeliotes, et c'est ainsi que je qualifie ce roman.

Ce livre a fait le bonheur de beaucoup et c'est tant mieux. Moi, j'y suis restée insensible.

Défi ABC 2018-2019

Les bons sentiments ne font pas toujours les bons livres; nouvelle preuve ici. C'est d'une naïveté rare, d'une mièvrerie consternante, cela relève tellement du politiquement correct que cela en devient risible. Tout est appuyé, pesant, caricatural. Dommage.

Ouf, ce livre est enfin terminé!
Je me suis désespérément traînée dans ce livre qui nous fait partager le quotidien d'un couple japonais constitué de deux femmes.
Lors de leur rencontre, Izumi – fraîchement séparée, maman de Sosûke – empêche Chiyoko – lycéenne en classe de terminale – de se jeter sous les voies de chemin de fer. Elles décident rapidement de « fuguer », de prendre leurs distances par à rapport à la ville, aux parents de Chiyoko et, surtout, de s'isoler à la campagne afin de vivre pleinement leur vie de couple.
L'histoire aurait pu être sympa, développée de manière positive en creusant les personnages mais le récit se traîne, reste à la superficie des choses et l'auteur finit par le rendre caricatural et gnangnan. le tout finit en une espèce de roman feel good qui m'a fait penser à « Et puis, Paulette… » de Barbara Constantine – à cela près que les vieux ont été remplacés par deux lesbiennes et que l'action se passe au Japon, et non en France.
Flop total en ce qui me concerne…
Lien : https://letempslibredenath.w..

Dites moi que c'est un-une pré-ado qui a écrit ce livre ?
C'est rose bonbon, peace and love... c'est vraiment pas possible !
Sur un tel sujet faire preuve d'autant de naïveté ; et ces clichés dans l'écriture !
Comme chacun sait de la naïveté à la niaiserie il n'y a, dans le dictionnaire, que quelques sauts de puce à faire...

Manifeste pour les droits des homosexuels au Japon présenté comme l'histoire d'un joli couple de femmes élevant leurs deux enfants dans un patelin reculé. La délicatesse de l'auteure qui m'avait touchée avec le Restaurant de l'Amour Retrouvé s'y prête a priori particulièrement bien. Las, non seulement c'est mal écrit/mal traduit, voire les deux, mais surtout c'est d'une écoeurante mièvrerie. Ce roman est volontairement tire-larmes, téléphoné à l'extrême. Les scènes de la vie simple ne marchent pas quand elles ne sont pas totalement stéréotypées.

Cul-cul la praline a été ma conclusion. Grosse déception. J'attendais vraiment quelque chose de ce livre dont les deux thèmes sont l'homosexualité féminine au Japon et l'homoparentalité. J'attendais peut-être un petit côté militant aussi. Rien. Tout est clichés. Style sans style, inodore et sans saveurs. Sans relief et sans couleurs : je n'ai personnellement pas réussi à voir l'arc-en-ciel. Je n'ai même pas retrouvé la puissance de littérature japonaise, ni sa poésie, ni sa finesse. Je passe.

Déçue par le manque d'originalité de l'intrigue.
Le livre ne m'a pas transportée : clichés, histoire téléphonée...je n'ai pas retrouvé la magie de l'amour retrouvé...ni à travers les personnages, ni à travers l'histoire ou encore les descriptions des lieux...le prochain j'espère 🤞