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3,12

sur 182 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je suis une fan de Yôko Ogawa. J'ai donc littéralement arraché 'Les petites boîtes' de l'étagère de la bibliothèque municipale. le livre nous plonge comme d'habitude dans ce mélange de culture japonaise traditionnelle et de mystère subtilement insufflé dans chacun des mots du texte. Une école maternelle sans enfants, des lettres d'amour écrites en très petits et très complexes caractères, des symphonies 'de soi à soi' jouées sur une colline par des soirées de grand vent, des boîtes en verre provenant du musée et destinées à un dernier hommage; tous les éléments étaient présents pour une histoire à la fois onirique et singulière. Je m'attendais donc à un dénouement, ou mieux, à une sorte d'explication de tous ces phénomènes bizarres qui paraissaient pourtant parfaitement naturels aux protagonistes de l'histoire. Mais après plus de cinquante pages et pas d'évolution, le texte a commencé à se faire long et répétitif, onirique, certes, mais laborieux. Pour la première fois j'ai cru que je n' arriverai pas aux dernières pages du livre... Mais la fan de Yôko Ogawa que je suis ne s'avoue pas vaincue: je persiste dans l'espoir d'un final à la hauteur de mes espérances... Peine perdue. le livre termine comme il a commencé, et je ne suis pas sûre d'avoir vraiment compris le sens profond du texte... Mais ce n'est pas grave: je suis quand même et toujours une fan de Yôko Ogawa.
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Dans un monde triste duquel les enfants semblent avoir disparus, une femme vit seule dans un mausolée à la mémoire de ceux qui sont partis trop tôt...

Il s'agit d'un petit roman surréaliste, une métaphore du deuil parental, empreint de mélancolie. L'atmosphère éthérée et les images poétiques sont réussies, mais il ne se passe pas grand-chose. le rythme est lent, répétitif, et il n'y a pas vraiment d'intrigue. le vide laissé dans la vie des parents endeuillés est bien représenté, mais ça donne malheureusement un livre un peu ennuyeux. Habituellement, j'aime bien les livres de Yoko Ogawa, mais je n'ai pas accrochée à celui-ci, même si l'écriture demeure agréable et créative.
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C'est un roman déroutant, qui semble trébucher à maintes reprises en raison des multiples anomalies qui y sont glissées. Une curieuse femme habite dans une école maternelle désaffectée et elle s'efforce de se plier physiquement et mentalement aux dimensions d'un environnement conçu pour des enfants. D'autres personnages, mi-vivants mi-morts, hantent ce récit plein de bizarrerie surnaturelle. Déconcertant.
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Pas conquise du tout. La plume est très belle. Mais j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages. On ne comprend pas la raison de la mort des enfants de la ville. Si ça arrive dans d'autres lieux. On suit simplement la vie de quelques personnages sans comprendre le pourquoi. L'idée des petites apportent une autre image du défunt, un autre moyen de souvenir. Vivre le deuil d'une autre façon et de comprendre que chacun reagit à la douleur de la perte à sa manière.
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La couverture est belle, pleine de poésie et m'a attirée. Mais pas facile d'entrer dans cette histoire un peu étonnante. Rêve ? Conte ? Hors du temps, de la réalité. La narratrice vit dans une ancienne école maternelle, abandonnée, dans un monde à l'échelle des petits enfants. Elle s'y adapte. Des enfants morts au nom de qui les parents rassemblent dans des boîtes en verre des petits souvenirs liés à ces enfants perdus. Des instruments de musique minuscules, pendus aux oreilles, pour organiser les concerts "de soi à soi" lorsque le vent est de la partie et anime ces petits instruments artisanaux. Un "baryton" lui fait transcrire les lettres qu'il reçoit de sa bien-aimée hospitalisée, une ancienne coiffeuse qui fait des miracles avec les cheveux des enfants morts.
Bref, pas simple car on est dans un monde hors norme, où tout est légèrement décalé.
Si j'avais beaucoup aimé du même auteur "Petits oiseaux", "Cristallisation secrète", "La formule préférée du professeur", je n'arrive pas à entrer dans ce roman qui m'ennuie vraiment et que je termine car j'abandonne rarement un livre.
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D'habitude reconnaitre un bon Yoko Ogawa c'est facile : le bon est écrit à la première personne, le mauvais à la troisième. Pas ici, ce n'est pas bon du tout bien que cela soit à la première personne. On a ici une suite de "bizarreries" à la Ogawa mais sans le sensibilité habituelle, cela fait forcé, caricatural et c'est dénué de propos. On a l'impression que c'est un livre qu'elle s'est forcé à écrire pour son éditeur, une sorte de caricature en carton pâte de ce qu'elle fait d'habitude.
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Ogawa, ça passe où ça casse.

Ça a cassé. Il y a aucun contexte, rien expliquer, juste bon à faire des suppositions. La lecture à été chiante, j'ai même fini par lire en diagonale pour voir, qu'effectivement, il ne se passe rien du début jusqu'à la fin. Un livre sur , je suppose, le deuil parental. Maladroit et sans queue ni tête.
Là, c'est surtout mon portefeuille qui est en deuil.
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la libraire m'avait conseillé ce livre. Elle disait qu'il avait été son plaisir de l'été. La couverture était belle...Je l'ai acheté. J'ai été très déçu. Je ne sais pas si c'est un problème de traduction mais j'ai été incapable de m'approprier l'histoire. D'ailleurs je ne l'ai pas fini
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