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Livre très esthétique co-écrit par une navigatrice, Isabelle Autissier, et un écrivain, Erik Orsenna. le duo a très bien fonctionné et a produit un texte agréable à lire, qui coule bien, moins compliqué que les écrits personnels d'Erik Orsenna qui peuvent finir par embrouiller le lecteur et le lasser.

Ce n'est pas le cas ici et cette découverte du Grand Sud, de son histoire, de celle des marins qui ont tenté la grande aventure pour atteindre, toujours plus au sud, le Graal du pôle. Les auteurs donnent beaucoup d'informations intéressantes sur la faune qui peuple l'Antarctique.

Un tel périple amène inévitablement les questions métaphysiques et philosophiques, avec la recherche pour chacun du sens en dépassant ses rêves qui sont pourtant bien réalisés par la confrontation avec un univers auquel peu d'entre nous ont le privilège d'accéder.

Une rubrique écologique était nécessaire dans un tel livre. Sur ce plan, Erik et Isabelle font le job et envoie les bonnes alertes quant au réchauffement et à toutes ses conséquences.

De belles descriptions de l'Antarctique et des mers qui l'entourent, des références très intéressantes à ceux qui se sont aventurés dans ce continent fascinant. On pense à Charcot, Amundsen, Shackleton et tous les autres.
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Petit livre offert pour l'achat de deux livres de poche, la couverture, nous alléchant par la photo d'immenses icebergs turquoise, m'a attirée immédiatement.
En ce qui concerne le contenu, du livre, je ne m'attendais pas à grand chose, je ne pouvais donc guère être déçue.
Et déçue, je ne le fus point ! C'est un intéressant petit ouvrage combinant documentaire sur la faune et la flore (rare, mais existante) et la Nature en général en Antarctique, essai philosophique sur le goût de l'aventure, le besoin de découverte, la solitude du marin, le rapport de l'Homme à la puissance de la Nature, récit d'aventures, avec la narration du voyage lui-même, avec ces divers aléas (techniques, climatiques,...), condensé de culture générale/Histoire, avec de nombreux petits passages décrivant les expéditions et biographies des plus grands marins aventuriers qui ont participé à l'élaboration de notre connaissance de ce continent implacable, pamphlet écologique aussi, avec les remarques, de ci de là, nous faisant prendre un peu plus conscience des dégâts occasionnés par la présence (et surtout l'action) de l'Homme (diminution du nombre et de la taille des icebergs, disparition d'espèces emblématiques (phoques, pingouins, baleines...), sur d'immenses territoires, suite à la surchasse/pêche...
Bref, même si ce n'est pas forcément une lecture dont je me souviendrais à long terme, je ne la regrette pas, y remercie les auteurs de m'avoir fait découvrir ce monde du (très!) grand froid sous tous ses aspects.
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Un voyage en Antarctique en 2006 .D'un côté, Erik Orsenna, passionné de voile mais surtout écrivain.De l'autre, Isabelle Autissier ,d'abord une navigatrice de niveau mondial , tour du monde en solitaire, ingénieur agronome,enseignante à l' École Maritime,qui , au fil des années, deviendra aussi une excellente auteure. Lire Soudain seuls, vous comprendrez.
Ici, il s'agit d'un voyage de deux mois , en voilier, en compagnie de scientifiques en Antarctique. La partie navigation est intéressante la crainte des icebergs, les quarts de nuit, la mer agitée et incompréhensible, la peur de se retrouver bloqué pendant plusieurs mois ,comme tant d'autres, le retour sur les premiers explorateurs de la zone (Schakelton,Amundsen ,Weddell, Scott et d'autres) , l' évocation du massacre des phoques, le problème de la survie même de ce continent hostile, tout cela se lit avec grand plaisir malgré le ton un peu pédant d' Eric Orsenna
En 2019, notre perception à beaucoup changé.Nous croulons sous les informations sur le réchauffement climatique
Ce récit reste cependant agréable pour sa partie navigation et ses références historiques , plus pour les passionnés de là mer et d' aventure que pour les écologistes à la recherche de données scientifiques récentes

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Voilà, je suis partie. J'ai attendu la fenêtre. Je suis passée. Voilà. Je n'en suis pas revenue.
« Salut au Grand Sud »… l'Antarctique. L'autre continent.
Nous sommes comme les icebergs, de la même eau. Accrochés, décrochés, dérivant, morcelés, partagés, voyageant, dérivant, déchirés, dansant, livrés , délivrés, fondant, renaissant.
Nous sommes de la même étoile.
Si l'Antarctique est peuplée de glace, taillée de mille dangers, elle est aussi pleine d'archipels.
Là où le tremblement des archipels d'Édouard Glissant rencontre l' « Iniji » d'Henri Michaux et « Mydriase » de le Clézio. A ces trois immenses plumes je dois de très beaux voyages.
A Isabelle Autissier et Erik Orsenna je dois ma première navigation en Antarctique.
Prendre cette route c'est changer de pôle, quitter sa branche , se mettre la tête à l'envers pour voir le monde au bon endroit.
Les mers australes sont dites inhospitalières, disons que c'est le seul endroit au monde où l'homme sait qu'il se doit de revêtir sa peau d'homme, où ce qu'il fera et dira ne supportera pas l'a peu près, l'arbitraire, là bas les mots responsabilité, humilité, force, intelligence, innocence, courage seront des seules armes. .
Des mots grands comme la grande voile : amitié, rêve, espoir, beauté.
A aucun moment au cours de cette lecture , le mot adversité n'est apparu.
L'antarctique n'est pas une ennemie, elle n'est pas à conquérir. L'Antarctique je la vois, je la perçois, je l'entends , la vis, et l'écris au féminin. Alors je comprends très aisément qu'Isabelle Autissier déploie avec tendresse et avec fierté l'elle de son navire : l'Ada.
Là bas une seule loi : passer le cap est une possibilité pas une victoire.
Il faut glisser vers le sud, passer la Terre de feu, jusqu'au bout de l'Argentine et puis tendre ses rêves, ses yeux vers les glaces. L'Antarctique est le seul continent qui ne fut jamais habité. Seules deux fleurs peuvent y pousser. Là bas les oiseaux ne sont pas de terre mais de mer. Grand comme 26 fois la France c'est une pays de montagne, de cratère, de lac. C'est le plus grand désert du monde. C'est une planète. « A ceux qui n'ont pas peur de la vie, il n'est pas de limites ». Voilà la coque des marins ! « à six nous partîmes, à six nous revînmes », voilà leur honneur.
Des personnages incroyables : Isabelle, Agnès, Erik, Joêl, Fabrice et Olivier.
Et Ada... , la magnifique et courageuse Ada.
Ada c'est bien plus qu'un bateau, c'est une odyssée !
Des noms beaux comme des gemmes, comme je les aime : le détroit de Drake, la cap Horn, la mer de Weddell, le soufflet de Neptune, l 'île Verne, l'île Hugo, la terre Adélie, lîle Levingston….
Charcot et son Pourquoi pas, Nordenskjöld et ses mains enflées par le froid.
Là bas c'est une histoire très ancienne.
Le premier craquement de l'oeuf monde.
Là bas le monde ne cesse jamais de casser sa coquille.
«  Quand notre planète n'était que enfant, il y a trois cents millions d'années, elle ne portait qu'un continent unique : La Pangée », depuis ce jours tous les rêves ont voyagé.
Beaucoup sont venus, certains avec le coeur en pavillon, d'autres, très nombreux massacreront phoques et baleines. Et puis le temps, les guerres, les coutumes des hommes quitteront le paysage, leur souvenir dévoré par les glace, recouverts par la lave sur l'île de la Déception.
Ce que fit l'humanité à l'Antarctique fut un massacre, un gâchis, une tragédie. L'Antarctique dernier continent découvert a subi mille barbaries.
Mais elle est là, présente, régnante, survivante.
Naviguer est une science, un savoir, c'est lire l'horizon comme s'écrit une légende.
C'est chercher un passage, un ancrage, c'est tenter de comprendre où se trouve le bon chemin, la bonne halte.
C'est l'Antarctique qui vous reçoit, vous n'y ferez jamais votre loi.
La glace sera bleue, blanche, couleurs de cendre, couleur rouge soleil. C'est un diamant, un joyau, L'Antarctique allumera devant vous ses feux. Feux de route, feux parfois de détresse lorsque que des chaloupes pleines de vieux touristes pleins aux as viennent débarquer leur cargaison comme on promène un stupide troupeau d'oie d'élevage.
Le courant circumpolaire… Je viens de réaliser que l'océan Atlantique, Pacifique, et l'Océan Indien mélangent leurs eaux autour de ce cercle austral. Ils tournent, se mélangent, forment un courant, glacial. Ils dansent autour d'une terre de glace et la protège.
Ce courant né de leurs amours est un des acteur majeur de notre climat. L'océan austral...
Il forme un « immense fleuve, le plus grand de la planète. Mille kilomètres de large, vingt quatre mille de long, charriant cent cinquante millions de tonnes d'eau à la seconde, cent cinquante fois plus puissant que tous les fleuves du monde réunis. Il luis faut trois ans pour faire le tour de la Terre ». Tout là-bas relève de l'espace, du cosmos. Les limites humaines sont emportées comme des fétus de paille.
Le 1er décembre 1959 à Washington, fut signé par douze pays, puis par trente trois autres , le traité de L'Antarctique.
Voici le préambule :
«  Les gouvernements de l'Argentine, de l'Australie, de la Belgique, du Chili, de la République Française, du Japon, de la Nouvelle-Zélande, de la Norvège, de l'Union Sud Africaine, de l'Union des républiques soviétiques, du Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, et des Etats Unis d'Amérique , reconnaissant qu'il est de l'intérêt de l'humanité toute entière que l'Antarctique soit à JAMAIS réservé aux seules activités pacifiques et ne devienne le théâtre ni l'enjeu de différends nationaux.. ». *
« C'est ainsi que le continent antarctique est devenu un royaume sans roi, une nation sans hymne et drapeau, une étendue sans frontières, le seul lieu du monde où personne ne peut vous demander vos pa piers.Une immensité, bien de l'humanité, consacrée à la Science et à la Paix ».
Le protocole de Madrid, de 1991, mené par Jacques-Yves Cousteau , ratifiera le fait que toute activité relative aux ressources minérales autre que la recherche scientifique est interdite. Cela jusqu'en 2041...N'oublions pas de nous réveiller à temps !
« Quatre mille mètres accumulés de glace permettent de remonter neuf cent mille ans en arrière. L'Antarctique est la lus grande bibliothèque du monde. Une prodigieuse mémoire. Elle retient 90 % des glaces du monde et 10 % de son eau douce. Même les noms sont notre mémoire. « On dirait les morceaux mélangés d'innombrables histoires, comme si le vent s'était engouffré dans la mémoire des explorateurs ou dans leurs bibliothèques et avait tout dispersé ».
Royaume de la Baleine à bosse et du krill, du plus grand au plus petit organisme, c'est un continent où l'homme n'est qu'un invité. A lui d'en respecter les usages.
Pays de glace, de nuit polaire, de demi jour, de jour sans nuit, de bleu étourdissant, de silence, de choc, de basculement, de chevauchement, de mouvement. Tout semble pourtant immobile Suspendu. Un espace bien plus qu'un continent. Un pays au choeur stellaire, où toute prière vient du ciel.Un paradis blanc en quête d'une étoile.
Ils n'atteindront pas l'Ile Marguerite. Ainsi en a décidé l'Antarctique. Mais ils ont atteint notre coeur.
Voilà le voyage accompli. « L'échec, crée le désir, le désir fou de revenir un jour ». Que serait un chemin sans désir ? ...une impasse.
L'Antarctique garde ses secrets, comme les navigateurs. Il est des lieux qu'on ne nomment pas, que l'on n'indique pas. On les garde. Les navigateurs savent raconter mais ne trahissent jamais.
C'est une loi de la Nature. La respecter, c'est tous nous protéger.
Merci à ces six exploratrices et explorateurs, merci d'avoir pris le temps de nous embraquer à bord de leur récit. D'avoir partagé leur heures de quart, leur heures d'éblouissement, d'émerveillement, leurs craintes, leurs heures d'espoir et cette seconde de renoncement dont nous soupesons toute la valeur.
Merci aux navigateurs qui gardent certains secrets.
Là bas le temps n'est pas le notre.
Là bas , un secret garde l'éternité.
Nous passons et l'Antarctique nous regarde.
En 1991, Isabelle Autissier devient la première femme à réaliser un tour du monde en solitaire en 139 jours et 4 heures.

Astrid Shriqui Garain
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Isabelle Autissier, célèbre navigatrice et Erik Orsenna, que l'on connaît bien, ont parcouru les mers australes en 2006.
Ils ont écrit ce livre très vivant qui se lit comme un livre d'aventures.
On les voit sillonner des mers redoutables: mer de Weddell; arpenter des îles aux noms bien exotiques; îles Argentine, île de l'Elephant, îles Shetland du Sud, découvrir des bases scientifiques, américaines et ukrainienne ( la base Vernadsky) où l'accueil sera particulièrement chaleureux. C'est d'ailleurs depuis cette base que, du temps où elle s'appelait Faraday, les Britanniques ont découvert un trou dans cette couche d'ozone.
Deux ans plus tard, les Américains ont montré que l'ozone était détruite par un excès de chlore venant de diverses substances, des aérosols, des détergents, etc..

Le récit progresse au fur et à mesure que nous découvrons les carnets de voyage réalisés par les différents membres de l'équipage qui expliquent pourquoi ils éprouvent cette irrépressible fascination pour l'Antarctique.

Les récits s'entrecroisent avec l'évocation des navigateurs d'autrefois, bien sûr le célébrissime Amundssen et le commandant Jean-Baptiste Charcot à la fin du 19 ème siècle, qui était le fils du célèbre neuropsychiatre Jean-Martin Charcot, contemporain de Freud.
On vibre à chaque page du récit, notamment quand nos navigateurs passent par des points extrêmement dangereux, comme le détroit de Drake, ce passage entre le Cap Horn et la Péninsule Antarctique; à 56 °Sud, sur ce qu'on appelle "le boulevard des dépressions" ( une tous les trois jours en moyenne).
Un récit où interviennent aussi des préoccupations géopolitiques, comme l'évocation du Traité de l'Antarctique signé en 1959 et réservant l'Antarctique aux seules activités pacifiques, traité signé par de nombreux pays comme l'Argentine, l'Australie, la Belgique, le Chili, la France, le Japon, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, l'Union sud-africaine, la Russie (alors URSS), la Grande-Bretagne et les USA.
Le traité a été complété en 1991 pour assurer la protection de l'environnement en Antarctique et la limitation des activités relatives aux ressources minérales qui seront réservées aux seules fins de la recherche scientifique.
C'est ainsi que l'interdiction de toute exploitation est assurée jusqu'en 2041 et sera indéfiniment renouvelable.
Comment va Le Grand Sud? C'est la question qui se pose à la fin du livre.
Autant dans l'Arctique la hausse des températures entraîne des fontes irréversibles, autant le constat est plus nuancé dans Le Grand Sud:
En Antarctique, on ne constate un réchauffement que dans deux régions de cet immense continent : d'abord dans la Péninsule et plus bas, dans la partie occidentale (terre Mary-Byrd)..
Pour le moment..le courant circumpolaire continuerait de jouer son rôle d'isolement et de protection.
Un livre très intéressant donc, à la frontière entre le traité de géopolitique et le roman d'aventures...
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Voyage dans l'Antarctique avec Erik Orsenna et Isabelle Autissier. Les difficultés de navigation et les pièges dans cette zone extrême ou rien n'est comme ailleurs. Des récits de la conquête de ces terres par d'intrépides aventuriers s'ajoutent au récit de la navigation. Pas enthousiasmant mais intéressant.
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"petit" livre agréable à lire car Orsenna sait écrire, mélange de connaissances et d'humour - ce n'est pas une découverte - et Isabelle Autissier aussi, dont ce sont un peu les débuts ici (avant c'était plutôt 2 livres d'entretiens qui étaient parus mais, cette année 2006 elle avait semble-t’il écrit seule un livre sur Kerguelen. Depuis elle a écrit plusieurs livres.. C'est donc un peu décousu et je n'ai pas toujours distingué qui écrivait des deux (jusqu'à ce que je vois que la typo était différente selon que c'est l'un ou l'autre qui écrit..) - Orsenna notamment qui passe d'un sujet à l'autre sans doute à partir de notes disparates et de lectures diverses : il a toujours plusieurs plats sur le feu -. Avec lui ça part un peu dans tous les sens, comme les louvoiements obligés de leur bateau Ada pour éviter les icebergs. Mais on y apprend pas mal et on imagine un peu leur périple grâce aux cartes. Plaisant, sans plus.
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Quand une navigatrice chevronnée et un plaisancier académicien partent ensemble à la découverte du Grand Sud, pour connaître, partager, et toujours s'émerveiller.
Je lis beaucoup de récits d'aventuriers, d'explorateurs de tout poils. Celui-ci n'est pas le meilleur que j'ai lu, mais le style d'Orsenna est toujours aussi fluide, les apartés qu'il développe sur les tout premiers explorateurs (volontaires ou non) passionnants, et le constat réaliste. Alors, pourquoi bouder son plaisir?
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Antarctique. Une terre où je ne me rendrais certainement jamais, Bien trop froide et hostile à notre petite condition d'humain. Pourtant grâce à Isabelle Autissier, navigatrice première femme à avoir accompli un tour du monde à la voile en solitaire et Erik Orsenna, écrivain, membre de l'Académie française, j'ai l'impression d'y être allée bien au chaud dans le confort de mon chez-moi.
Vous apprécierez la mise en perspective historique des différents explorateurs qui ont traversés ce continent petit à petit. Vous vous prendrez au jeu de l'aventure et ferez partie de cette équipée à vocation scientifique prenant votre quart, surveillant les icebergs... Des cartes vous aideront à vous repérer et une bibliographie vous permettra d'aller plus loin. Un livre accessible et complet pour mettre un premier pied au Grand Sud. le regard sensible sur les paysages de ce bout du monde inconnu appellent à la contemplation d'un extrême hors-norme.
Lien : https://ecolalie.com
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SYNOPSIS : I Autissier embarque 5 coéquipiers (dont E Orsenna) à bord de l'Ada pour canoter à l'extrême sud de la Terre, en Antarctique.

PLUS QU'UN JOURNAL, ce livre est une ode à la nature, aux marins, à la mer… à toute la création. La plume jamais ne lasse. Des anecdotes historiques enrichissent le récit, les paysages dépeints avec sensibilité nous emmènent en voyage, et les pensées des auteurs nous donnent à méditer.
Dans une autre vie je serai navigatrice !
5/5
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