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3,64

sur 607 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je suis peut-être passée complètement à côté de ce qu'il fallait comprendre implicitement mais en tout cas je n'ai pas du tout aimé ce livre que j'ai trouvé très long et incompréhensible.
Quant à "l'exploit" de ne pas se servir de la lettre "e", merci aux anglicismes dont j'ai horreur. Bref, j'ai le sentiment d'avoir perdu mon temps.
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Exercice de style au cours duquel l'auteur déroule une énigme policière en réalisant l'exploit de ne pas utiliser une seule fois, la voyelle E.
Belle performance, mais ça rend la lecture complexe et un peu tirée par les cheveux.
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Disparition égale déception.
Certes, il faut du talent pour écrire un livre sans utiliser la lettre "e" mais fan de la littérature française,je n'ai que peu apprécié les anglicismes.
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Bien…
Voilà, voilà, voilà…
Oui, oui, oui !
Et …

Tiens depuis ma chambre, j'entends les oiseaux de la nuit folâtrer dans le jardin ! Zut, j'en étais où déjà ! Bon, je relis ! Ah oui j'en étais à ce mot !
…Tiens ce n'est pas les moutons qui bougent là dans la bergerie, c'est marrant comme je les entends bien ! Et Rezut…
Elle est gentille la prof de français, mais pourquoi Perec !
Bon je crois que je n'aime pas Perec.
Et j'ai essayé à nouveau avec le mode d'emploi, et ben non, la vie est ailleurs !
Pour l'histoire de son immeuble, je préfère depuis celui d'Anne Vassivière, au moins il y a des passions, des frustrations des non-dits, des malentendus et quelques vrais amours !
Chez Perec, du mental, du mental et un peu d'absurde gratuit et un peu de mental. Il devait être joueur d'échec
Je vous ai dit que je n'aimais pas Perec !

Tiens je vais relire pour la 12ème fois le cycle de Dune !
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Quand j'ai débuté la lecture de ce livre, une question m'est venue en tête : "Qu'est-ce qui m'a pris ?"
Il m'a fallu presque un mois pour en venir à bout et heureusement que je l'ai lu sur mon lieu de travail. En effet, j'ai eu moins l'impression de perdre mon temps. Comment allier l'utile à l'agréable...? Utile oui. Agréable ? Seigneur, non !

La particularité de "La Disparition" ?
Sur presque 300 pages, il ne comporte pas une seule fois la lettre "E".
Mais là où la plupart des lecteurs de ce roman en lipogramme félicitent l'exploit accompli par l'auteur, je me permets d'émettre quelques réserves.
Premièrement, il faut savoir qu'il n'a pas écrit ce livre tout seul. Sa femme, Paulette Perec, a grandement contribué à la réalisation de celui-ci. Il aurait été appréciable de voir son nom également inscrit sur la couverture.
Deuxièmement, c'est tellement compliqué à lire que je n'ai sincèrement rien compris ou presque. L'histoire en elle-même est complètement tirée par les cheveux.
Troisième point et non des moindres puisqu'il s'agit de tout l'intérêt de ce pourquoi ce roman est né : très bien, c'est vrai, vous pouvez chercher, vous ne trouverez pas la lettre "E". Mais, à quel prix ? Au prix des anglicismes. Par exemple, pour remplacer le mot "demander", l'écrivain va utiliser le mot "aska". Mot qui n'existe pas à ma connaissance et qui est juste le dérivé de "ask" qui veut dire "demander" en anglais auquel il rajoute un "A" pour lui donner une connotation française. Il utilise également l'expression espagnole "poco à poco" pour remplacer "peu à peu".
Tous ces anglicismes et raccourcis m'ont donné le sentiment que Monsieur Perec me prenait pour une pigeonne.
Pour résumer, selon mon avis personnel, cet ovni littéraire est une prouesse dans son genre, mais j'estime que l'auteur a à moitié réussi son pari. En cause : les mots en anglais, espagnol ou latin ou carrément l'invention de ceux-ci.

Je me félicite d'avoir tenu bon et de l'avoir lu en entier, mais honnêtement, si ce n'est pas votre cas, passez votre chemin et gardez ce temps précieux pour la découverte d'autres ouvrages bien plus intéressants.
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Lu en Avril 2018
Roman très difficile à lire sans s'endormir. Je n'ai fait que bailler mais ce n'est pas l'histoire qui est assommante.
Georges Perec a écrit un roman de plus de 300 pages sans la lettre E. Bravo.
Cependant je suis déçue car il y a des phrases en anglais et d'autres en latin. Une sentence en anglais avec une faute d'orthographe pour éviter le E. C'est pareil, au lieu d'écrire "le living-room", il a noté "l'iving room". J'ai cherché mais je n'ai pas trouvé ce mot donc il n'existe pas, il a triché.
Lire cette histoire est épuisant également, surtout la compréhension. C'est un exercice intellectuel auquel il faut se préparer. Je suis fière de moi, j'ai réussi à lire le livre en entier !
Une petite erreur à la fin du roman pour un courrier où il n'y pas la lettre A et les personnages le remarquent. Une personne souligne qu'il n'y a qu'un Y, c'est faux, il y en a deux.
ça me donne envie de lire d'autres histoires de cet auteur qui s'amusait à des exercices linguistiques.

PS : J'ai été perturbée par l'épisode de l'homme zoophile. Je ne m'attendais pas à ce que ce roman évoque ce sujet.
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